Dictionnaire des rimes
Les rimes en : armaucourt
Mots qui riment avec "our"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "armaucourt".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : our , ours , ourt , ourts , ourd , ourds , oure , oures , ourre , ourres , ourg et ourgs .
- flammerecourt
- ercourt
-
jour
- Période de vingt-quatre heures, commençant généralement à minuit ; en certains lieux et à certaines époques, le jour commençait plutôt avec le lever ou le coucher du soleil.
- C’est impossible, car le train va bientôt stopper à Ghéok-Tepé, puis à Askhabad, d’où il repartira aux premières lueurs du jour. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre VIII, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Le résultat de l’analyse sera connu dans deux jours. — Une semaine comporte sept jours.
- Un mois se compose de 28 à 31 jours. — Une année est constituée de 365 jours (366 pour une année bissextile).
- Le jour solaire moyen est plus long que le jour sidéral d’un peu moins de quatre minutes.
- (En particulier) (Métrologie) Unité de mesure du temps (compatible avec le Système international) dérivée de la seconde. Symbole d (du latin diurnus).
- 1 jour = 86400 secondes = 24 heures
- (Par extension) Date particulière du calendrier.
- Lorsque la troupe des pastoureaux entra dans Orléans, le jour de saint Barnabas, l’évêque de cette ville interdit à tous ses clercs d’assister à ses prédications ; car, disait-il, ce sont les souricières du diable. — (Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi, Histoire des Français, tome 5, 1836, page 194)
- C’est le 6 avril 1917, le jour du Vendredi-Saint, une semaine avant l’offensive du Chemin des Dames, que le maréchal des logis Clérisse s’envola sur un Sopwith-Clerget […]. — (Jacques Mortane, Missions spéciales, 1933, p. 124)
- Jour de la semaine. Un des sept noms de jour de chaque semaine.
- Quel jour sommes-nous ?
- (Agriculture) (Archaïsme) Étendue de terrain qu’un attelage pouvait labourer en une journée de travail.
- Son fief de Portieux avec ses jours de terres et ses fauchées de prés lui furent retirées; on le dépouilla du fief de Magnenville, […] — (Gustave Fraipont, Les Vosges, 1895, édition 1923)
- HOMMÉE, Mesure agraire employée en Lorraine, […]. C'est la dixième partie d'un jour de terre. — (Jean-François Michel, Dictionnaire des expressions vicieuses usitées dans un grand nombre de départemens et dans la ci-devant Province de Lorraine, Nancy, 1807, page 114)
- Soit 523 jours de terre, appartenant à la mainmorte, ou 1 jour 8 ommées 2, par parcelles ou en mesures métriques 36 ares 50 par parcelles (le jour valant 20 ares 44 et l’ommée 2 ares 0,4.) — (Paul Genay, Monographie de la commune de Chanteheux (Meurthe-et-Moselle), dans Monographies de communes, concours ouvert en 1897 par la Société des agriculteurs de France, Paris & Lille : J. Lefort - A. Taffin-Lefort, successeur, 1898, page 257)
- Le Collège acheta successivement : 1° — en 1625, la cense de Soreau pour 395 livres. Elle comptait 47 jours de terre, mais ce n'étaient que des triots. — (Le Collège des Jésuites de Charleville, dans Revue historique ardennaise, Paris : A. Picard & fils, 1906, page 149)
- Vie.
- Je lui dépeignis spontanément, et sans m’aider d’aucun texte ancien, la mélancolie douce du soir et la beauté de cette terre natale qui nous nourrit, non seulement de pain et de vin, mais encore d’idées, de sentiments et de croyances, et qui nous recevra tous dans son sein maternel, comme des petits enfants fatigués d’un long jour. — (Anatole France, Le crime de Sylvestre Bonnard, Calmann-Lévy ; réédition Le Livre de Poche, 1967, page 92)
- (Au pluriel) Vie.
- Il a mis fin à ses jours.
- Ses jours sont comptés.
- (Par extension) Cette même période sur d’autres corps célestes.
- Le temps utile aux mesures est relatif aux objets : ainsi l'année et le jour jupitériens ne sont pas l'année et le jour terrestres. Les rotations sur soi ou autour du soleil ne sont pas les mêmes, les objets célestes n'ont pas la même vitesse, etc... — (Bernard Bachelet, Sur quelques figures du temps, Librairie J. Vrin, 1996, page 260)
- Période durant laquelle le soleil apporte sa lumière, pour une zone donnée de la Terre.
- Marthe n’était pas ordinairement matineuse, et elle n’avait pas l’habitude de voir lever le soleil pendant cette saison ; elle ne savait donc pas trop à quelle heure précise il serait jour. — (Hector Malot, La Belle Madame Donis, 1873)
- Le lendemain, j’ai vu la chambre dans la simplicité de la lumière du jour. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- Le jour parut, frileux et triste... De grandes brumes traînaient sur les prairies, le ciel était bas... — (Octave Mirbeau, Rabalan)
- Le jour naissait. Feempje se dressa sur son séant et ne reprit lourdement ses esprits qu'après quelques minutes. — (Francis Carco, Brumes, Éditions Albin Michel, Paris, 1935, page 56)
- Source de lumière ; percement par lequel la lumière peut pénétrer.
- Les « jours » ménagés dans les parois n’étaient donc point obstrués. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
- De grandes bâtisses aveugles, presque sans jours, grisâtres, salies par le temps et roussies par le soleil. — (Hippolyte Taine, Carnets de voyage : Notes sur la province, 1863-1865, Hachette, 1897)
- Un jour avait été fermé avec du papier goudronné. Des élèves s’étaient amusés à crever ce papier avec des pierres. — (Valery Larbaud, Fermina Márquez, 1911, réédition Le Livre de Poche, page 231)
- (Par extension) Lumière du jour ou parfois d’une autre source lumineuse.
- […] ; tous tenaient à la main droite ou des épées, ou des piques, ou des arquebuses, et quelques-uns, à la main gauche, des flambeaux qui répandaient sur cette scène un jour funèbre et vacillant, […]. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre VIII)
- C’était le jour morose d’avant la première aurore, qui éclaire le sommeil du monde et apporte les rêves énervés du matin. — (Pierre Louÿs, Aphrodite, Mercure de France, Paris, 1896)
- Un jour blafard éclairait les dorures de la salle dont la partie inférieure restait plongée dans la pénombre. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- Le faible jour que la lune répand sur les objets.
- (Par extension) Trou dans une surface continue ou un tamis.
- La laine tombe dans un grand cylindre sans arbre intérieur, en toile métallique à jours de 5 à 6 millimètres pour permettre aux impuretés de sortir. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- Le ventre dans lequel ses mains allaient avoir à travailler pendant cent quatre-vingt-sept jours n’était plus séparé de lui que par le réseau à jours octogonaux de la grille de sécurité. — (Roger Vailland, 325.000 francs, 1954, réédition Le Livre de Poche, page 95)
- Ces planches ne sont pas bien jointes, il y a un jour entre les deux.
- Il y avait un grand jour sous la porte.
- (Par extension) Espace ménagé dans l’étoffe d’un vêtement.
- Que penseraient les demoiselles Hermeline, si elles la voyaient arriver au pensionnat avec ces bas de coton blanc à jours, qu’elle mettait aujourd’hui pour la première fois, hypothèse qui était presque du domaine de la réalité, car les bas du dimanche finissent le plus souvent par devenir des bas de tous les jours. — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 102)
- (Vieilli) Manière dont un objet est frappé par la lumière.
- Ce tableau devrait être placé dans un autre jour.
- Mettre quelque chose dans son jour, le placer à un jour convenable, de manière qu’on puisse le bien voir.
- (Sens figuré) Manière de présenter quelqu'un ou quelque chose.
- Une chose qui s’offre, qui se présente, que l’on voit sous un jour favorable.
- Il me présenta la chose sous un jour si avantageux que j’acceptai sa proposition.
- 22 août 1940 – J’ai eu le temps de lire la moitié du Verdun de Jules Romains, pour voir sous quel jour y était décrit Pétain. — (Benoîte et Flora Groult, Journal à quatre mains, Denoël, 1962, page 66)
- Quand Grégori fut traduit en justice, celle-ci se montra sous son jour le plus français. — (Julian Barnes, L’Homme en rouge, Mercure de France, 2020, traduction Jean-Pierre Aoustin, page 220)
- (Peinture) Imitation de la lumière qui se répand sur les objets représentés dans un tableau.
- Dans ce tableau, le jour vient d’en haut.
- (Industrie minière) L’ensemble des tâches effectuées en dehors de la mine proprement dite.
- Dans le cas où un ouvrier d’une catégorie du fond serait, pour insuffisance physique, déplacé dans un service de jour, cet ouvrier sera reclassé dans la catégorie du jour de même numéro. — (Décret n°48-234 du 12 février 1948 relatif au statut du personnel des exploitations minières et assimilées en Algérie, article 11, Journal officiel de la République française, 13 février 1948, page 1566)
- (Industrie minière) Installations situées à l’extérieur d’une mine.
- Remonter au jour.
- Jour de la semaine où a lieu la réception des relations d'une personne.
-
courre
- (Archaïsme) (Chasse) Forme ancienne de courir jusqu’au XIIIe siècle.
- La mutilation des chiens qui pouvaient être à la garde des troupeaux, et qui avait pour but de les empêcher de courre le daim, s’appelait lawing et était d’un usage général. — (Walter Scott, Ivanhoé, ch. I, note du traducteur, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Charles comptait rencontrer cent personnes chez son oncle, chasser à courre dans les forêts de son oncle, y vivre enfin de la vie de château. — (Honoré de Balzac, Eugénie Grandet, 1834 ; page 233 de l’édition Houssiaux de 1855)
- — J’irai dès aujourd’hui à la toilette de ma belle-sœur, et je prierai mon frère de venir courre un cerf à Chambord avec moi. — (Alfred de Vigny, Cinq-Mars, Michel Lévy frères, 1863)
- (Archaïsme) (Désuet) Courir.
- elle [Mme de Clèves] le [Le duc de Nemours] vid coure la bague — (Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1678)
- behericourt
- bettaincourt
-
parcourt
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de parcourir.
- En moins de quelques minutes il parcourt ces différens états; il recommence, et ne décesse jusqu'à son coucher. — (Louis Victor Frédéric Amard, La Folie et moyens de la guérir, 1807, page 15)
- Saint-Savinien se parcourt à pied, ses rues étroites et tortueuses étant difficilement compatibles avec la voiture. — (journal Sud-Ouest, supplément Guide saison 2022 Charente-Maritime, page 58)
-
ksour
- Pluriel de ksar.
- etoupefour
- agencourt
- boulancourt
-
concoure
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de concourir.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de concourir.
- boussicourt
- aubercourt
-
troubadour
- (Moyen Âge, Poésie) Ancien poète épique et/ou lyrique de langue d’oc.
- Tel que Cédric le Saxon était à trente ans, il n’avait pas besoin de tout ce clinquant du troubadour français pour se recommander aux oreilles de la beauté. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Ainsi, la poésie lyrique des troubadours et des trouvères, et surtout la portion de cette poésie qui roule sur les sentimens de galanterie chevaleresque, n’a pas une source latine ; cette poésie est née avec la galanterie chevaleresque elle-même. — (Jean-Jacques Ampère, La Littérature française au moyen-âge, Revue des Deux Mondes, 1839, tome 19)
- Qu’est-ce que la poésie des troubadours ? L’exaltation de l’amour malheureux. — (Denis de Rougemont, L’Amour et l’Occident, 1939)
- Lire les troubadours, c’est remonter à la source de la poésie, et d’une poésie exigeante. […] Les troubadours sont les poètes à qui l’on doit les plus anciens poèmes intégralement conservés dans une langue européenne moderne — (Michel Zink, Les Troubadours - une histoire poétique, Perrin, 2013, page 9)
- Il est à peine croyable qu’une forme poétique aussi élaborée que celle des premiers troubadours n’ait pas eu d’antécédents. — (Paul Zumthor, « Troubadours et trouvères », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 13 avril 2014)
- (Par analogie) Appartenant à la grande confrérie des conteurs et chanteurs errants, ce troubadour marocain ne possède pour toute fortune qu’un âne famélique, un vieux haïk en lambeaux, une pipe et une blague à kif et un petit instrument primitif à deux cordes, un gimbri, attribut de son état. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 32)
- (Péjoratif) Ellipse de style troubadour.
- À ce moment, il avait ri plus d’une fois de ces leçons, qui lui paraissaient d’un troubadour par trop rococo. — (Hector Malot, Un mariage sous le Second Empire, 1873)
- (Sens figuré) Personne tentant de séduire par les paroles charmantes, la simplicité et la beauté, mais sans avoir les pieds sur terre.
- Au lieu de faire des phrases sentimentales à la jeune fille, et de se poser en troubadour, comme avait fait son ami, il avait su s’attirer l’estime et la confiance du père, ce que l’autre avait sottement négligé. — (Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, Charles Guérin, G.H. Cherrier, éditeur, Montréal, 1853, IV, 2)
- tonnencourt
- oradour
- briancourt
-
recoure
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de recourir.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de recourir.
- dricourt
-
bonjour
- Formule de salutation utilisée lorsqu’on rencontre quelqu’un. Note : Selon le moment de la journée, on utilisera bonjour ou bonsoir.
- Bonjour, monsieur le Président.
- Bonjour, mon ami.
- Cependant la prairie s’était peuplée. D’un pré à l’autre, on disait : « Bonjour » ou « Beau temps » ; c’était tout. — (Marcel Arland, Terre natale, 1938, réédition Le Livre de Poche, page 107)
- Formulation de salutation utilisée lorsqu’on quitte quelqu’un dans la journée comme on dirait bonne journée, ou la nuit bonsoir, bonne soirée. Note : Emploi courant au Québec mais très rare en France, quoique consigné dans le Trésor de la langue française[1] ou le Grand Larousse de la langue française[2].
- S’élançant vivement dans la voiture, il prit les rênes, donnant à Pierre à peine le temps de se placer près de lui, et lança le cheval au grand trot.– Bonjour, monsieur Charles !– Adieu, mes enfants !– Bonjour, monsieur Pierre !– Bon voyage ! bonne santé !– Que le bon Dieu vous conduise ! — (Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, Charles Guérin, G.H. Cherrier, éditeur, Montréal, 1853, I, 2, pages 19–20)
- Bien le bonjour !
- (Québec) Bonsoir. (S'utilise là où les Français disent bonsoir).
- (Populaire) (Péjoratif) Interjection marquant une réticence, un refus[3], un jugement de médiocrité.
- Un verre ça va, trois verres, bonjour les dégâts. — (Slogan du Comité français d’éducation pour la santé, 1984)
- Une fois, à une exécution, je m’approche d’une fille. Pour rigoler, je lui fais : « Vous êtes de la famille du pendu ? »… C’était sa sœur. Bonjour l’approche ! — (Alexandre Astier, Kaamelott, Livre I, 2005, épisode La Coccinelle de Madenn)
- Tu as tort, disait-elle, elle va s'y habituer, et après, bonjour ! — (Pierre Lemaitre, Le Silence et la Colère, Calmann-Lévy, 2023)
- (Rare) Formule de politesse utilisée lorsqu’on quitte quelqu’un au téléphone :
- Par formalisme, à la place de au revoir, puisque l’on ne peut pas voir son interlocuteur au téléphone ou que l’on ne l’a jamais rencontré ; ou éventuellement, pour signifier à son interlocuteur que l’on n’a pas envie de le revoir, alors qu’il s’attendait à la formule courante au revoir.
- bouttencourt
- arnoncourt
- deniecourt
- caours
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.