Dictionnaire des rimes
Les rimes en : apostème
Que signifie "apostème" ?
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- (Médecine) Tumeur extérieure qui suppure.
- Pour extirper la verrue, pour inciser l’apostème … il faut qu’ils soient à point.’’— (Eugène Sue, Les Mystères de Paris, 1843)
- Quelques fois, par injection subcutanée, on obtient seulement un apostème local. — (Università di Pisa, Archives italiennes de biologie: Volume 8, 1962)
- Le lendemain notre guide était si mal et ses membres si enflés par l’apostème de ses deux blessures, qu'il ne put aller plus loin. — (Daniel Defoe, Robinson Crusoé, 1719)
Mots qui riment avec "aime"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "apostème".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : aime , aimes , ème , èmes , ême , êmes , em , ems , emme et emmes .
- reclinghem
-
quinquérèmes
- Pluriel de quinquérème.
- pihem
-
sémème
- (Sémantique) Unité formée de sèmes, qui a pour correspondant formel le lexème.
- Ceci ne veut pas dire qu’une classe de sémèmes, « positionnée » dans un ensemble de textes d’une certaine période, est forcément applicable à toutes les occurrences des sémèmes dans les textes de cet ensemble. — (public.enst-bretagne.fr)
-
poème
- Ouvrage de littérature en vers.
- Devant le roi et sa suite guerrière (truste, Gefolschaft), le scalde déclame son poème qui s’envole d’une bataille peuplée d’êtres fantastiques et qui s’adapte aux structures sociales et mentales du groupe : […]. — (Patrick Louth, La civilisation des Germains et des Vikings, Genève : éd. Famot, 1976, page 243)
- Mais rien ne peut empêcher qu’un poème dénué de poésie soit plus que mort, intolérable. — (Georges Pompidou, Anthologie de la poésie française, Librairie Hachette, 1961)
- Mais pour d’autres, quelle angoisse ! et quelle injustice ! Les sentiments les plus nobles, les sujets les plus naturellement poétiques, les rythmes travaillés, les rimes recherchées, tout cela pour aboutir à cet enfant mort-né, pleuré de personne, qu’est un poème sans poésie. — (Georges Pompidou, Anthologie de la poésie française, Librairie Hachette, 1961)
- (Par analogie) Ouvrage analogue par la pensée, par le style, mais écrits en prose.
- Les poèmes en prose de Baudelaire.
- (Familier) Quelque chose de remarquable.
-
enthymème
- (Logique) Forme de raisonnement dans laquelle on réduit le syllogisme à deux propositions, dont la première est appelée « antécédent » et la seconde « conséquent ».
- Voyons un peu si, sans employer les enthymèmes des Stoïciens, je pourrai vous prouver cela par quelque bon exemple bien saisissable. — (Érasme, Éloge de la Folie, 1509, traduction par G. Lejeal.)
- [« Je pense, donc je suis »] n’est pas un enthymème dont la majeure serait : « Point de phénomène sans substance », ou : « Point d’action sans agent. » — (Jules Simon, Introduction de Œuvres de Descartes, édition Charpentier, Paris, 1845)
- On peut même sous-entendre l'une des deux prémisses, lorsqu'elle est évidente ; c'est ce qui fait l'enthymème, syllogisme abrégé qui convient beaucoup mieux à un raisonnement rapide, et que préfère l'orateur lorsqu'il veut être véhément et pressant. — (Jean-François Marmontel, Élém. litt. Oeuv. t. IX, p. 507, dans POUGENS).
- Si l'on dit que c'est le matin, car le soleil se lève, on fait un enthymème, car on omet la prémisse majeure du raisonnement (le soleil se lève toujours le matin), prémisse qui est souvent considérée vraie par expérience ou probabilité, sans être cependant fondée logiquement ou dans les faits. — (Charles Le Blanc, Le complexe d'Hermès, Presses de l'Université d'Ottawa, 2009, p. 116)
-
femme
- « celle qui enfante, qui donne la vie », participe moyen substantivé de *feo (« produire, enfanter »)[2][3][4] qui a donné fetus, fetura, fecundus, fenum, fenus (voir ces mots).
- « celle qui allaite[5][4] », apparenté à filius, fellare (« téter, sucer »).
-
pénultième
- (Rare) Avant-dernier.
- Un chasseur m'a assuré avoir tué un corbeau, qui avait les cinq pénultièmes plumes des ailes d'un beau blanc. — (Antoine Delarbre, Essai zoologique sur l'Auvergne, Paris : chez A. J. Dugour, an VI/1798, note 1 page 80)
- Dans vos deux pénultièmes lettres, par exemple, parlant de ce que vous avait dit M. de Luze, vous supposez m'avoir écrit qu'il disait que je n'avais point couché à Calais dans la même chambre que M. Hume, fait qui est très-vrai. — (« Lettre à M. du Peyrou, de Wooton, le 8 janvier 1767 », dans les Œuvres complètes de Jean-Jacques Rousseau, correspondance : tome 4, Paris : chez J. Lefebvre & Cie, 1830, page 247)
- Saillie intercoxale de l'abdomen, large; ses deux pénultièmes segments échancrés en demi-cercle. — (Jean Théodore Lacordaire, « Tribu XVIII : Asidides », dans l’Histoire naturelle des insectes: Genera des coléoptères, tome 5, part. 1, Paris : Librairie encyclopédique Roret, 1859, page 153)
- Cette différence n'est pas pour nous surprendre, puisque nous avons déjà constaté que ces formes sont les seules qui admettent les proparoxytons pénultièmes, dans la mesure même où les fournit la langue. — (Philologie et linguistique: mélanges offerts a Louis Havet par ses anciens élèves et ses amis a l'occasion du 60e anniversaire de sa naissance le 6 janvier 1909, Hachette, 1909, page 91)
- Amédée ne venait-il pas de l’appeler Arnica, en accentuant la pénultième de son nom d’une manière qui lui parut italienne ? — (André Gide, Les Caves du Vatican, 1914)
- corbehem
-
monème
- (Linguistique) (Désuet) Plus petite unité isolable du langage.
- Ce monème personnel est en fonction sujet. — (Samia Naïm, La rencontre du temps et de l’espace: approches linguistique et anthropologique, 2006)
- Le verbe peut se définir par sa flexion temporelle qui est une propriété unique du verbe français tandis que la flexion en genre, en nombre et en personne peut se trouver dans d'autres monèmes. — (Carole Tisset, Un jour fut le verbe, dans Le Verbe dans tous ses états: Grammaire, sémantique, didactique, sous la direction de Céline Vaguer & Belinda Lavieu, Presses univ. de Namur, 2004, page 39)
-
gemme
- (Minéralogie) Pierre fine, pierre précieuse, pierre ornementale ou synthétique répondant à des critères de dureté, d’éclat, de couleur et de transparence.
- Sainte Hildegarde donne peut-être le motif de cette insistance, lorsque parlant, dans le quatrième livre de sa Physique, des gemmes, elle dit que le Diable les hait, les abhorre et les dédaigne, […]. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
- Peu de gemmes sont parfaitement pures, la plupart renferment des corps étrangers ou présentent divers accidents de cristallisation. Ces accidents sont considérés comme des inclusions, qu'il faut se garder de décrire comme « défauts », car leur présence n'entraîne pas forcément une dépréciation de la gemme.
- (Exploitation forestière) Suc résineux du pin recueilli par entaille pratiquée dans le tronc.
- Durant les grandes chaleurs, la gemme suinte davantage chez les résineux.
- La gemme purifié donne la térébenthine.
- Thérèse était restée souvent avec les hommes, retenue par leurs propos touchant les métayers, les poteaux de mine, la gemme, la térébenthine. — (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
- (Botanique) (Vieilli) Bourgeon.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Zoologie) Excroissance charnue qui se forme sur le corps de certains animaux, tels que les polypes.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Héraldique) Nom donné dans les armoiries à la résine du même nom quand un meuble y fait référence (pin, pot…). Elle est généralement d’argent mais on doit le préciser dans le blasonnement. Ce terme est employé quand la résine est représentée coulante. Elle est alors dite dégoulinante. Elle est figurée sous la forme de coulures. Il y a une sorte de dynamique dans la gemme qui n’apparait pas pour la résine seule (statique, figé).
- De gueules à la fasce d’or chargée d’une plante de bruyère de sept pièces de sinople fleuries de pourpre sur une terrasse isolée aussi de sinople, accompagnée en chef de deux pots de résine d’argent dégoulinant de gemme du même et en pointe d’un mouton aussi d’argent, la tête de face, qui est de la commune de Brach de Gironde → voir illustration « armoiries avec 2 pots de gemme »
- merckeghem
- tatinghem
-
alem
- Ancien étendard ottoman.
- TABLALEM, s. m. (Hist. mod.) titre que l’on donne chez les Turcs à tous les gouverneurs des provinces ; on le donne aux visirs, bachas, begs. Alem est un large étendart porté sur un bâton, surmonté d’un croissant ou d’une demi-lune. Le tabl est un tambour. Les gouverneurs sont toujours précédés de ces choses. — (L’Encyclopédie)
- L’émir alem, vulgairement miralem, porte-enseigne de l’empire, est directeur de tous les intendans, & fait porter devant lui une cornette mi-partie de blanc & de verd. — (L’Encyclopédie)
- On porte devant lui trois queues de cheval tressées avec art. Un étendard de couleur verte, nommé alem, & deux autres étendards fort larges, qu’on nomme bairak. Les autres bachas n’ont point un tabulchana si considérable ; ils ne font porter devant eux que deux queues de cheval avec les trois étendards. Un beg n’a qu’une seule queue de cheval avec les étendards. Les officiers inférieurs n’ont qu’un sanjak, ou étendard, & ils ne font point porter la queue de cheval devant eux. — (L’Encyclopédie)
-
carême
- (Christianisme) Temps d’abstinence et de jeûne qui comprend quarante-six jours entre le mardi gras et le jour de Pâques, et pendant lequel un certain nombre de jeûnes, d’abstinences et d’autres privations sont ordonnées par l’Église.
- Prêtres idiots et cruels ! à qui ordonnez-vous le carême ? Est-ce aux riches ? ils se gardent bien de l'observer. Est-ce aux pauvres ? ils font carême toute l'année. — (Voltaire, Dictionnaire philosophique, 1769)
- Elle jeûna tout un carême, et resta sans commettre le moindre péché ; […]. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Les vendanges amènent infailliblement les mariages ; c’est, avec les veillées de carême, la saison de l’année qui rend les garçons entreprenants, attendrit le cœur des filles et fait le plus d’amoureux. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, page 26)
- Toutes les femmes semblent échappées d'un carême ; elles se jettent à la viande, goulues; et pleines, et repues, elles laissent négligemment échapper « qu'un rien les indigestionne. » — (Edmond de Goncourt & Jules de Goncourt, Histoire de la société française pendant le directoire, 1864, 3e édition, page 189)
- Une chance qu'y a toi qui m'aimes assez pour m'endurer C'est comme pendant l' carême, quand j' volais des candy J' me considère lucky d'avoir ma Rosalie La ville est polluée, l'air est pur dans mon lit. — (chanson Le frigidaire, Tex Lecor, album Le frigidaire, 1971)
- (Par extension) Tous les sermons qu’un prédicateur prêche pendant un carême.
- Le carême du Louvre de Bossuet.
- (Québec) (Vulgaire) Juron manifestant la colère, l’indignation, la surprise ou l'étonnement s'il est situé en début de phrase. Précédé du pronom « en », il peut également signifier un grand volume.
- Sors donc, carême! Tu sais que je vais te sortir de toute façon !
-
septantième
- Élément ordinal, correspondant au cardinal septante.
- Le septantième précède le septante-et-unième et suit le soixante-neuvième.
- Donnez-moi le septantième de ces gâteaux.
- (Au masculin) Fraction obtenue en divisant septante fois.
- Donnez-moi le septantième de ce gâteau.
-
mésembryanthème
- (Botanique) Genre de la famille des mésembryanthémées.
- La ficoïde (Mesembryanthemum crinifolium) – pour faire plus simple, nommons-là mésembryanthème à fleurs de crinum – est une espèce annuelle de ficoïde aux innombrables fleurs blanches, roses, rouges ou jaunes, qui s’épanouissent tout l’été. — (Robert Elger, Audrey Caron, Plantes relax pour jardin sans souci !: 100 % Bio, 2012)
- (Zoologie) Variété de mollusque gastéropode comestible.
- linghem
-
dème
- (Histoire) Circonscription administrative de base instaurée lors de la révolution isonomique de Clisthène qui eut lieu de 508 ou 507 à 501 av. J.-C. à Athènes.
- La ville, je l'abhorre, et mon dème me manque — (Aristophane, Les Acharniens, traduction Pascal Thiercy, Bibliothèque de la Pléiade, 1997, vers 33, ISBN 2-07-011385-X)
- Circonscription administrative de la Grèce équivalente à une municipalité urbaine.
- tournehem
-
énanthème
- (Médecine) Éruption rouge se situant sur la membrane muqueuse à l'intérieur d’une cavité naturelle, la cavité buccale par exemple.
- De nombreuses maladies infectieuses s’accompagnent d’érythème buccal le plus souvent sans spécificité, à l’exception de la rougeole où l’énanthème est un des signes diagnostiques les plus précoces et les plus spécifiques. — (Pierre Tonnellier, Odonto-stomatologie essentielle de l’omnipraticien, 1983)
- monguilhem
-
blême
- Très pâle, plus que pâle. — Note d’usage : S’utilise surtout en parlant du visage, du teint.
- Un cadavre, visage blême, ricanait là, sous la lune. — (Paul et Victor Margueritte, Le Désastre, Plon-Nourrit & Cie, 86e éd., p. 163)
- Adieu, vous voyez trop en mon visage blêmeQue m’arracher à vous c’est m’ôter à moi-même. — (Jean de Mairet, Sophonisbe III, 4 — cité par Littré)
- À cet objet d’horreur, l’œil troublé, le teint blême,J’ai demeuré longtemps plus morte que lui-même. — (Jean de Rotrou, Antigone I, 2 — cité par Littré)
- La main des Parques blêmesDe vos jours et des miens se joue également. — (Jean de la Fontaine, Fables XI, 8 — cité par Littré)
- La disette au teint blême et la triste famine […] — (Nicolas Boileau, Le Lutrin V — cité par Littré)
- Mais doit-il vouloir que pour lui nous ayons toujours le teint blême ? — (François de Malherbe, III, 1 — cité par Littré)
- (Par extension) Qualifie un objet d’une couleur très pâle.
- Un matin blême.
- Le destin … est jaloux qu’on passe deux fois au-delà du rivage blême. — (François de Malherbe, VI, 17 — cité par Littré)
- Il dit : Un souffle impur, exhalé sur l’autel, des cierges allumés chasse la flamme blême. — (Masson, Helvétiens, v — cité par Littré)
- Il avait tout terni sous ses mains effrontées.Les blêmes voluptés sur sa trace ameutéesSortaient, pour l’appeler, de leur repaire impurQuand son ombre passait à l’angle de leur mur. — (Victor Hugo, Les Chants du crépuscule, XIII, 1835 — cité par Littré)
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noème
- (Philosophie) Objet de la pensée, ce qui est pensé, en phénoménologie.
- L’impossibilité est celle de désastreindre le « noème » de sa « noèse ». — (Revue de métaphysique et de morale, 1961, volumes 66 à 67, page 242)
- C’est ce qu’a compris Husserl : car si le noème est pour lui un corrélatif irréel de la noèse, dont la loi ontologique est le percipi, la noèse au contraire, lui apparaît comme la réalité, dont la caractéristique principale est de se donner à la réflexion qui la connaît, comme “ayant été déjà là avant”. — (Jean-Paul Sartre, L’Être et le Néant : essai d’ontologie phénoménologique, Gallimard, « Tel », 1976, page 17)
- (Rhétorique) Figure de rhétorique qui consiste à dire une chose pour en faire comprendre une autre.
- radinghem
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.