Dictionnaire des rimes
Les rimes en : apollinien
Que signifie "apollinien" ?
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- (Religion) Relatif à Apollon, le dieu du soleil et des arts.
- Le mythe apollinien.
- (Par analogie) Qui vise la perfection, l’esthétisme, la beauté pure.
- Le jeu d’ego consiste à se trouver génial en concordance avec les idéaux apolliniens de l’olympisme moderne.
- Il inscrivait la traduction parmi les sciences du langage en la bannissant, sans doute malgré lui, des temples apolliniens de l’esthétique. — (Charles Le Blanc, « Le complexe d’Hermès », dans Presses de l’Université d’Ottawa, 2009, page 107)
- Mais Martha Argerich aime les « mauvaises herbes », préfère les dionysiaques débraillés aux impeccables apolliniens. — (Renaud Machart, « Rencontres musicales improbables à Ramatuelle », dans Le Monde, 22 juillet 2010 [texte intégral])
- La plupart de ces musiciens m’ont d’autant plus passionné qu’une majorité d’entre eux ont eu des existences difficiles, parfois tragiques, loin des vies apolliniennes de la majorité des grands musiciens classiques. — (Jean-Claude Zylberstein, Souvenirs d’un chasseur de trésors littéraires, Allary Éditions, 2018, page 73)
Mots qui riment avec "un"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "apollinien".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : un , uns , unt , unts , in , ins , int , ints , ingt , aim , aims , ien , iens , éen , éens , yen et yens .
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commun
- Qui sert, qui peut servir à tout le monde ou seulement à plusieurs personnes.
- Un puits commun.
- Une cour commune.
- Passage, escalier, chemin commun.
- Cela est commun à tout le bourg, commun aux deux maisons.
- Les biens les plus précieux, répondit M. Bergeret, sont communs à tous les hommes et le furent toujours. L'air et la lumière appartiennent en commun à tout ce qui respire et voit la clarté du jour. — (Anatole France, Monsieur Bergeret à Paris, chapitre XVII, 1901)
- Partagé par différents êtres ou par différentes choses.
- La cour d’appel partagea alors les dommages, selon les principes de la faute commune, constatant que la victime s’était imprudemment aventurée sur un boulevard passager, sans prendre les précautions nécessaires. — (Orville Frenette, L'incidence du décès de la victime d'un délit ou d'un quasi-délit sur l'action en indemnité, Librairie de l'Université d'Ottawa, 1961, page 85)
- Le boire et le manger sont communs à l’homme et aux animaux.
- La vie végétative est commune aux animaux et aux plantes.
- Qualités communes.
- Traits, caractères communs.
- Ami commun.
- Péril commun.
- Des goûts communs les rapprochèrent.
- Cette douleur, cette joie m’est commune avec bien des gens.
- Entreprendre une chose à frais communs.
- La commune mesure de deux quantités.
- J’ai cela de commun avec lui.
- Cette affaire n’a rien de commun avec celle dont il s’agit.
- (En particulier) Mutuel, réciproque.
- D’un commun accord.
- Public, collectif.
- L’intérêt commun
- Le bien commun.
- Général ; ordinaire ; habituel ; moyen ; qui appartient ou peut appartenir à la plupart des hommes ou à un grand nombre d’hommes.
- Le meilleur préservatif contre les souris est un chat, non pas un chat angora, mais un chat à poil lisse et ras, rayé de gris et de brun, de la race commune appelée chat de gouttière. — (« Souris », dans la Grande encyclopédie illustrée d’Économie domestique et rurale, par Jules Trousset, Paris : chez Fayard frères, s.d. (vers 1875), page 2310)
- À huit heures et demie la directrice fut remplacée par une adjointe, Mme Galant, grosse femme assez commune, qui avait l’air d’une marchande des Halles cossue, plutôt que d’une institutrice. — (Léon Frapié, La maternelle, Librairie Universelle, 1908)
- […] une décence qu'on ne trouve pas à ce point dans les campagnes où la trivialité est si commune. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 31)
- C’est l’opinion commune.
- Une erreur très commune.
- Une destinée commune.
- L’usage en est fort commun.
- Il n’y a rien de si commun, rien n’est plus commun.
- Cette terre donne tant de revenu, année commune, bon an, mal an, en compensant les mauvaises années avec les bonnes.
- Répandu et abondant ; fréquent ; courant.
- Les melons sont fort communs cette année.
- Les bons muscats sont communs en Languedoc, en Provence.
- Il est commun de croiser des cerfs dans ces forêts.
- (En particulier) (Mathématiques) Propriété valable pour plusieurs nombres ou entités.
- Diviseur commun.
- Le plus grand commun diviseur.
- Dénominateur commun.
- (Géométrie) Ce qui appartient à la fois à deux figures que l’on compare.
- L’angle a, le côté b et c sont communs à tel triangle et à tel autre.
- (Droit de la copropriété) Relatif à une communauté de biens.
- Époux communs en biens.
- Le contrat porte que les époux seront communs en biens.
- (Linguistique) Qualifie les mots, les termes ordinaires d’une langue, par opposition à ceux qui ne sont usités que dans les arts et dans les sciences.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Linguistique) Qualifie la langue qui est parlée le plus généralement dans un pays, ou parfois sert de langue d'échange (koiné).
- En France, le français est la langue commune.
- Qui est médiocre, qui ne sort pas de l’ordinaire, qui est peu estimable dans son genre.
- Il a fait un discours très commun.
- C’est un orateur fort commun.
- Une invention commune.
- Rien de plus commun.
- De peu de valeur et d’une qualité médiocre.
- Un marchand qui n’a que des marchandises très communes.
- Il n’y a là rien que de commun.
- Vulgaire, bas, par opposition à noble, distingué.
- Son langage est bien commun.
- Cette femme a des manières communes.
- Tu as tous les mauvais instincts. Par-dessus le marché, tu es commune. J’ai honte de toi. Dès ta petite enfance, j’ai compris que tu ne serais jamais une dame. — (Julien Green, « Moïra », 1950, réédition Le Livre de Poche, page 40)
- (Grammaire) Épicène, ayant une terminaison identique au masculin et au féminin [2].
- (Linguistique) Dans certaines langues, genre grammatical avec tous ses articles issu d'une fusion du masculin et du féminin, alors que le neutre demeure.
- Le mot lag (« loi ») est du genre commun en suédois.
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appalachien
- (Géographie) Relatif à la chaîne de montagnes des Appalaches, à sa région, à ses habitants.
- Un grand tapis appalachien recouvrait le plancher en pin à lattes larges sont les nœuds étaient gros comme des poings, et sur la droite une cheminée de pierre au foyer noirci par les soirées d’hiver grimpait le long du mur. — (Marc Levy, Un sentiment plus fort que la peur, chapitre 10)
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bambin
- (Familier) Bébé, enfant.
- Depuis le début, c’est un site révolutionnaire pour toutes les mamans hypercréatives et débordées, sur lequel tout est centralisé et trié par thème pour organiser le goûter d’anniversaire de ses bambins adorés. — (Lisa Gachet, Make my party, 2013, page 194)
- Mais supprimez donc la dictée de ces bambins! Qui protesterait? Nous? Certainement non. Eux? — (Pierre Louÿs, Une réforme dangereuse, 1904, dans Archipel, 1932)
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condylien
- (Anatomie) En lien avec un condyle.
- Une protubérance condylienne.
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brun
- De la couleur du marron clair tirant sur le noir. #5B3C11
- Ses yeux bruns étaient bordés de noir ou plutôt meurtris ; sa lèvre supérieure était ornée d’un duvet brun qui dessinait une espèce de fumée ; elle avait les lèvres menues, et son front impérieux était rehaussé par une chevelure jadis noire, mais qui tournait au chinchilla. — (Honoré de Balzac, Les Petits Bourgeois, 1844, version écrite par Balzac d’un roman inachevé, repris ensuite par un autre auteur)
- La plupart des maisons avaient un rez-de-chaussée en pierre, des étages faits de tournisses sombres et d’un hourdage de torchis brun. — (Claire-Lise Marguier, Le Sceau de la reine, Rouergue, 2014, page 179)
- (Par extension) Couleur sombre des cheveux.
- On distingue sept teintes naturelles de cheveux, réparties, en France, selon les proportions suivantes : 50 % de cheveux châtains, 20 % de cheveux gris, 10 % de cheveux blonds et noirs, 5 % de cheveux roux et 2,5 % de cheveux bruns et blancs. — (Pierre Bouhanna, Soigner et entretenir ses cheveux : Les Nouveaux Traitements du cheveu, Alpen Editions s.a.m., 2006, page 14)
- Les enfants sont là, deux beaux garçons bruns à l’air solide que j’ai déjà rencontrés, et je me découvre surtout une adorable petite-fille, qui éveille en moi un sentiment nouveau : […]. — (Marcelle Sortia, Le temps revient, éditions Dricot, 1987, page 187)
- (Politique) Fasciste ; nazi.
- Je suis entré ce soir au café « Sturm ». Les Berlinois de la Société ne fréquentent jamais ce dancing vulgaire où la jeunesse brune et les « sous-offs » de la garnison fraternisent. — (Xavier de Hauteclocque, La tragédie brune, Nouvelle Revue Critique, 1934, page 77)
- (Héraldique) → voir de brun.
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arlequin
- De l’ancien français Hellequin (« Satan »)[1]. La maisnie Hellequin (« escorte d’Hellequin ») désigne une chevauchée de démons, halequin signifie « génie malfaisant ». Entre 1571 et 1580, un zanni, paysan bouffon de la commedia dell’arte, donne à Paris une nouvelle interprétation de son personnage en empruntant au Hellequin français son nom et son comportement de petit diable. Emprunté par l’italien sous la forme Arlecchino, il fait alors le tour de l’Europe. (1585) Harlequin désigne un personnage de théâtre. — (Histoire plaisante des Faicts et Gestes de Harlequin Commedien Italien Contenant ses songes et visions, sa descente aux enfers pour en tirer la mère Cardine, Paris, Didier Millot, 1585)
- Selon Frédéric Ozanam[2], cet Hellequin serait apparenté au germanique Elfen Koenig (« roi des elfes ») altéré en Erlkönig (« roi des aulnes »).
- D’après Antoine Court de Gébelin, de l’italien el lecchino ou al lecchino (lecchino (« gourmand », « lécheur de plats », « lèche-cul »)), ce qui correspond au caractère originel de l’Arlequin du théâtre italien.
- De la racine germanique harl- (« bigarré ») avec le suffixe diminutif -kin (= -ken, -chen) — (Michel Desfayes, Origine des noms des oiseaux et des mammifères d’Europe y compris l’espèce humaine)
- De l’italien allocco (chouette hulotte) avec le suffixe diminutif -ino, ayant donné allochino, puis arlochino, en référence aux mouvements comiques et mécaniques de l’Arlequin italien et à son masque. — (Edmond Stoullig, Revue d’art dramatique)
- De harle ou herle (« oiseau de rivière bruyant au plumage bicolore noir et blanc ») avec le suffixe diminutif -quin. — (Commentaires aux Œuvres de Rabelais)
- D’après Gilles Ménage[3], du surnom d’un acteur italien qui aurait reçu le nom d’Harlecchino (« petit Harlay ») à cause de son intimité avec le président de Harlay, hypothèse probablement fausse[3].
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antédiluvien
- (Vieilli) Qui a existé avant le déluge.
- La source parait venir perpendiculairement d'une grande profondeur; son analyse chimique fait présumer que le réservoir souterrain qui la produit contient des corps animaux antédiluviens, puisqu'il se trouve dans la composition de cette Eau, qui est légèrement alcaline, du phosphate et une matière organique azotée de nature albumineuse et gélatineuse. — (Notice sur l'eau minérale naturelle albumineuse de Villaines-Saint-Aubin, 1851, page 2)
- Le déluge historique, ainsi que l’indique la qualification historique , est un fait de notre temps géologique, et l’époque antédiluvienne des géologues se rapporte à un passé qui est de beaucoup antérieur au déluge de Noé, au déluge de Deucalion et de Pyrra. — (Joseph Bourlot, Histoire de l’homme antédiluvien, âges du mammouth, de l'ours des cavernes et du renne, 1868, page 8)
- Ce monde n’est plus. Rien, répétons-le, n’en reste aujourd’hui. Quand nous en tirons par hasard quelque figure et que nous essayons de le faire revivre par la pensée, il nous semble étrange comme un monde antédiluvien. C’est qu’en effet il a été lui aussi englouti par un déluge. il a disparu sous deux révolutions. — (Victor Hugo, Les Misérables, 1862)
- Granoux l’intéressait comme un animal antédiluvien. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, 1871)
- Le monde antédiluvien, qui déjà hantait mon imagination, devint un de mes plus habituels sujets de rêve ; souvent, en y concentrant toute mon attention, j’essayais de me représenter quelque monstrueux paysage d’alors, toujours par les mêmes crépuscules sinistres, avec des lointains pleins de ténèbres ; puis, quand l’image ainsi créée arrivait tout à fait au point comme une vision véritable, il s’en dégageait pour moi une tristesse sans nom, qui en était comme l’âme exhalée, — et aussitôt c’était fini, cela s’évanouissait. — (Pierre Loti, Le Roman d'un enfant, 1890)
- (Sens figuré) (Souvent ironique) Très ancien, vieux, démodé.
- Toutes sortes de véhicules antédiluviens, berlingots, pataches, guimbardes, se traînèrent, geignant, grinçant, par les rues. — (Nicolas Gogol, Les âmes mortes, 1842, traduction de Henri Mongault, 1949)
- Abraham empoigna son fusil dans son dos, embrassa le demi-cœur à son cou, et se planta en lisière d’une grotte creusée à flanc de coteau. Quelques compagnons, équipés de mousquetons antédiluviens, l’imitèrent. Un feu dérisoire s’abattit sur les assaillants, quelques-uns décrochèrent, mais d’autres, plus nombreux, se lancèrent avec fougue à l’attaque des cavernes. — (Philippe Morvan, Les Fils du Ciel, Calmann-Lévy, 2021, page 143)
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ambrosien
- (Liturgie) Relatif à saint Ambroise.
- Chant ambrosien.
- Messe ambrosienne.
- Relatif à la bibliothèque Ambrosienne, à Milan.
- Le palimpseste ambrosien est dans le plus triste état ; il est mutilé, d'une écriture souvent évanide. — (Egger, Journal des savants, janvier 1877)
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fuégien
- Relatif à la Terre de Feu.
- J’ai goûté au jus très doux des pommes fuégiennes, petits fruits dont la peau dure protège la pulpe blanche des morsures des vents polaires. — (Luis Sepúlveda, Le Monde du bout du monde, 1989 ; traduit de l’espagnol du Chili par François Maspero, 1993, page 27)
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coquin
- Le latin coquinus (« culinaire, de cuisine ») peut être accepté du point de vue sémantique (→ voir cuistre issu latin *coquistro de coquere) ; mais le substantif, en latin médiéval coquinus au sens de « mendiant » n’est apparemment qu’une latinisation du français et cela supposerait une formation demi-savante qui ne correspond pas aux formations populaires des mots français issus du latin[2].
- Comme coquet[1] dérivé de coq mais aucun des dérivés ne présentant un sens proche de coquin[2].
- Le dérivé de coque au sens de « coquille » pour désigner un mendiant ou un gueux portant une coquille pour faire le faux pèlerin (→ voir coquillard) est impossible du point de vue chronologique : coquin apparait au douzième siècle[2].
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citadin
- Celle qui habite une ville ou une zone urbaine.
- […] ô riche et chanceux Hérault, toi qui verses au cœur des citadins déprimés l'intarissable joie liquide de tes litres vendus par toi trente sous et revendus, par l'épicier ou sur le zinc, trois francs. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Pour le monde développé , le XIXe siècle est le siècle par excellence de l’urbanisation. Pour l'Europe (sans la Russie), le nombre de citadins (critère des 2 mille habitants) passe de 31 millions en 1800 à 170 millions en 1910. — (Paul Bairoch, « Croissance démographique et urbanisation : une perspective historique et internationale », dans Croissance démographique et urbanisation : politique de peuplement et aménagement du territoire : séminaire international de Rabat (15-17 mai 1990), Association internationale des démographes de langue française, Presses universitaires de France, 1993, page 9)
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neurochirurgien
- Chirurgien spécialisé dans les opérations du système nerveux.
- Le procès d’un neurochirurgien, poursuivi pour des opérations abusives sur 24 patients dont deux sont décédés, s’est ouvert hier à Clermont-Ferrand. — (journal 20 minutes, n° 896, 31 janvier 2006))
- Il y a un an, j'aurais été capable de dire qui j'étais en quelques mots seulement: Martin Lemeunier, fils de Pierre - neurochirurgien - et de Nadège (…) — (Mikaël Ollivier, Frères de sang, 2006, Éditions Thierry Magnier, 2006, page 7 ISBN 9782844204349)
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basin
- Étoffe croisée dont la chaîne est de fil et la trame de coton.
- Le basin, l’acier, le lacet épuraient et ne fabriquaient pas les lignes serpentines de cette élégance, comparable à celle d’un jeune peuplier balancé par le vent. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Emma, vêtue d'un peignoir en basin, appuyait son chignon contre le dossier du vieux fauteuil. — (Gustave Flaubert, Madame Bovary, 1857)
- Les hommes sont habillés comme des gravures de modes. Quelquefois, cependant, ils portent de petites vestes blanches de basin avec le pantalon pareil, la ceinture rouge et le chapeau andalou ; mais cela est rare, et ce costume est d’ailleurs assez peu pittoresque. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
- — Que tu as bon air, mon fils ! disait ma mère. Va ! dans ta veste de basin, tu sembles déjà un petit curé tout craché. — (Anatole France, L’Étui de nacre, 1892, réédition Calmann-Lévy, 1923, page 143)
- (Tissage). Tissu damassé présentant des effets de bandes longitudinales que l’on obtient par la juxtaposition d’armures de satin effet de chaîne et de satin effet de trame, ressemblant, de cet fait, fortement au basin naturel.
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contiens
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de contenir.
- Deuxième personne du singulier de l’indicatif présent de contenir.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de contenir.
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contrevint
- Troisième personne du singulier du passé simple de contrevenir.
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circonvins
- Première personne du singulier du passé simple du verbe circonvenir.
- Deuxième personne du singulier du passé simple du verbe circonvenir.
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agnelin
- Qui concerne les agneaux.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (En particulier) Qualifie la laine obtenue lors de la première tonte des agneaux ou de jeunes moutons.
- La laine agneline.
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refrain
- Un ou plusieurs mots qui se répètent à la fin de chaque couplet d’une chanson, d’une ballade, d’un rondeau, etc.
- Et, au moment où je sors, j’entends un refrain d’opérette s’échapper de la bouche en cœur de M. Caterna. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre VI, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- S’accompagnant de son gimbri, il nous chante, d’une voix tantôt gutturale, tantôt nasillarde, d’interminables mélopées, que l’assistance reprend aux refrains avec des battements rythmiques des mains. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Ernest Leroux, Paris, 1904, page 33)
- Heureux comme un prince, il s’engagea dans le bois par le sentier de la Côte se tenant à quatre pour ne pas entonner son refrain favori . — (Louis Pergaud, L’Argument décisif, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Depuis l’Argonne de 1914, le chant d’abeilles des balles s’est inscrit dans mes circonvolutions cérébrales comme, dans la cire d’un disque, un refrain prêt à jouer dès le premier tour de manivelle […]. — (Marc Bloch, L'étrange défaite : La déposition d'un vaincu, 1940, FolioHistoire Gallimard, 1990, page 86)
- Il avait fait considérablement pire avec un 45 tours dont le refrain était : « Ah ce qu’il est joli le petit Rocheteau », un nanar de niveau olympique, mais tout marchait, tout se vendait, même n’importe quoi, surtout n’importe quoi. — (Vincent Duluc, Un printemps 76, Éditions Stock, 2016)
- (Sens figuré) (Familier) Ce qu’une personne ramène sans cesse, à toute occasion, dans ses propos.
- « Tu devrais te marier », me disait mon père.Pendant les dernières semaines de mes vacances à Villeneuve, c’était devenu son refrain. — (Paul Guth, Le mariage du Naïf, 1957, réédition Le Livre de Poche, page 5)
- Qu’il suffise de dire que c’était le moment où « la paix négociée » était le refrain rabâché par les ennemis de l’Angleterre. — (Agatha Christie, Les Enquêtes d’Hercule Poirot, 1968, L’Enlèvement du Premier ministre (nouvelle))
- Oui, oui, on connaît bien ce discours. C’est le vieux refrain de l’éducation progressiste. Mais on a déjà essayé de l’appliquer et ça n’a pas marché. — (Seymour Papert, traduit par Étienne Cazin, L’enfant et la machine à connaître : Repenser l’école à l’ère de l’ordinateur, Dunod, Paris, 1994, page 25)
- Je passai les heures qui suivirent à rédiger des missives à ce joueur de golf. Monsieur Saito rythmait ma production en la déchirant, sans autre commentaire que ce cri qui devait être un refrain. — (Amélie Nothomb, Stupeur et tremblements, Albin Michel, 1999, page 11)
- (Marine) (Rare) Retour des houles ou grosses vagues qui viennent se briser contre les rochers.
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disjoins
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe disjoindre.
- Deuxième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe disjoindre.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe disjoindre.
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bovin
- Relatif au bœuf et aux autres bovins : les veaux, les vaches ou les taureaux.
- Cette lésion très fréquente dans l’espèce bovine ne doit donc jamais être considérée comme significative. — (Yan Chérel, Patrice Couillandeau, Christian Spindler, Olivier Lecomte, Thibaut Larcher, Autopsie des bovins, 2006)
- (Par analogie) (Péjoratif) Qui tient des bovins.
- […], et le bellâtre à tête plus ou moins simiesque, bovine, équine, porcine, corvidée ou batracienne, — toute la lyre esthétique ! — exulte devant son miroir, se tient pour la copie la plus parfaite de l’Antinoüs, et se fait a lui-même les yeux doux. — (Auguste Dietrich, 31 décembre 1911, « Préface » de Fragments sur l'histoire de la philosophie, par Arthur Schopenhauer, Paris : Librairie Félix Alcan, 1912, p. 12)
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napolitain
- (Géographie) Relatif à Naples ou à ses habitants.
- Quand nous respirâmes un peu, la marquise trouva chez moi l’homme avec qui je croyais finir ma vie, Gennaro Conti, le grand compositeur, d’origine napolitaine, mais né à Marseille. — (Honoré de Balzac, Béatrix, 1838-1844, première partie)
- Il y avait dans cette galère quatre jeunes gens de Marseille, cinq prêtres napolitains, et deux moines de Corfou, qui nous dirent que de pareilles aventures arrivaient tous les jours. — (Voltaire, Candide, chapitre 28)
- Ce jour-là, pour faire honneur à sa nation, il avait remplacé ses vêtements napolitains par une jaquette bordée de rose à la Provençale. — (Alphonse Daudet, Lettres de mon moulin - La Mule du pape)
- Crème glacée napolitaine, crème glacée à la fraise, la vanille, et au chocolat.
- Baiser napolitain.
- (Linguistique) Qui appartient à la langue de la région de Naples.
- Beaucoup de mots napolitains ressemblent à de l'italien.
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estudiantin
- (Vieilli) Relatif aux étudiants, à leur vie.
- Mihály était fasciné par cette simplicité et ce laisser-aller estudiantin. Voici un homme qui a réussit l’impossible, pensa-t-il avec envie, pendant que Waldheim engloutissait le jambon cru tout en discourant. — (Antal Szerb, Le voyageur et le clair de Lune, 1937, page 173, édition Viviane Hamy, traduction par Charles Zaremba et Natalia Zaremba-Huszvai)
- Je sortais du restaurant, après avoir fumé une cigarette, je voyais un petit rassemblement estudiantin où le débat semblait être chaud et mouvementé. — (Hamid Touali, Amnay le Berbère ou l’identité clandestine, 2016)
- Ici, je voudrais me concentrer sur ce que les étudiants apprennent réellement dans ces jobs factices imposés — des leçons qu’ils ne tireraient pas d’activités ou de passe-temps estudiantins plus traditionnels, comme réviser ses examens ou organiser des fêtes. — (David Graeber, traduit par Élise Roy, Bullshit jobs, Les liens qui libèrent, 2018, ISBN 979-10-209-0633-5)
- Pourtant la bouffée de révolte estudiantine du printemps 2012 nous a rappelé que les mouvement populaires sont imprévisibles. — (Gérald Baril, Si près, si loin, les oies blanches, Montréal, XYZ, 2020, p. 317)
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filonien
- Qui présente des filons.
- Terrains filoniens, terrains éruptifs réduits à de très petites dimensions, et tirant leur nom de ce qu'ils comprennent toutes les roches ou filons, pierreuses et métallifères.
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acanthoptérygien
- (Ichtyologie) Super-ordre des téléostéens caractérisé par des nageoires rayonnées.
- Notre acanthoptérygien consacre ses derniers instants à tout éclabousser tout du sang qu’il perd. — (Benoît Landais, Délire à bord, 1996)
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bactérien
- (Biologie) Relatif aux bactéries.
- Comment surveiller, diagnostiquer et refréner la fièvre Q dans son élevage ? La lutte contre cette zoonose bactérienne très répandue dans les troupeaux de ruminants est encore floue. — (« Santé animale : Un comité d’experts pour lutter contre la fièvre Q », le 30 octobre 2020, sur le site de La France agricole (www.lafranceagricole.fr))
- La numération bactérienne est l'opération de comptage des micro-organismes dans un milieu de culture ou le résultat de cette opération.
- Le feu bactérien est l'une des plus dangereuses maladies des arbres tels que poiriers, pommiers, cognassiers etc.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.