Dictionnaire des rimes
Les rimes en : anthologie
Que signifie "anthologie" ?
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- (Littérature) Recueil de morceaux choisis en prose ou en vers.
- Anthologie des écrivains du XVIe siècle.
- L’anthologie de poésie grecque.
- Pour éditer et faire le choix des textes de cette anthologie, Valiquette retient les services d’Edmond Labelle. — (Jacques Michon, Yvan Cloutier, Histoire de l’édition littéraire au Québec au XXe siècle, Volume 2 : Le temps des éditeurs 1940–1959, 2004)
- (Vieilli) Collection de fleurs.
- (Par analogie) Collection des meilleurs éléments d’un ensemble.
Mots qui riment avec "i"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "anthologie".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : i , is , it , its , ix , ie , ies et y .
-
ahuri
?- Qui est pantois, stupéfait, déconcerté.
- La société [de M. Genès] nous était devenue tout à fait intolérable. […] la mesure était comble, nous en étions ahuris, abrutis. — (Gustave Flaubert et Maxime Du Camp, Par les champs et les grèves (Voyage en Bretagne), 1886, Le Livre de poche, 2012, page 186)
- (Familier) Qui est ou paraît stupide.
- Il est complètement ahuri.
- Ce roi ahuri représente le potentat africain cupide et sanguinaire, livrant ses sujets aux négriers venus du Nord. — (René Hénane, Aimé Césaire, le chant brisé, 1999)
-
réduit
?- Retraite ; petit logement.
- Aussi, dès qu'un paysan a réalisé une minime aisance , fait-il badigeonner d’ocre la façade et les murs intérieurs de son réduit […] — (Jean-Marie-Placide Munaret, Du médecin des villes et du médecin de campagne, mœurs et science, Germer Baillière, Paris, 1840, 2e édition refondue, page 89)
- Elle l’entraîna doucement vers le réduit qu’elles habitaient. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
- Puis l’habitude qu’il avait eue longtemps du monde, du luxe, lui en avait donné, en même temps que le dédain, le besoin, de sorte qu’à partir du moment où les réduits les plus modestes lui étaient apparus exactement sur le même pied que les plus princières demeures, ses sens étaient tellement accoutumés aux secondes qu’il eût éprouvé quelque malaise à se trouver dans les premiers. — (Marcel Proust, Un amour de Swann, 1913, réédition Le Livre de Poche, page 107)
- Vivre au château de Versailles, ce n’est pas bien nouveau. Les courtisans de Louis XIV se battaient pour y obtenir un réduit, et plusieurs centaines de logements occupaient la galerie des Batailles. — (Le Point, 11 janvier 2002)
- (Vieilli) Lieu où plusieurs personnes ont coutume de se rendre pour converser, pour jouer, pour se divertir.
- La maison d’Un Tel est un réduit très commode.
- Petit ouvrage de fortification construit à l'intérieur ou en arrière d’un plus grand, pour assurer une retraite aux défenseurs.
- L’ennemi entrait dans la ville par escalade ou par une brèche, sans que pour cela la garnison se rendît ; car alors, celle-ci renfermée dans les tours qui, je le répète, sont autant de réduits indépendants, pouvait se défendre encore […] — (Eugène Viollet-le-Duc, La Cité de Carcassonne, 1888)
- En 1944-1945, les Français assiègent une ville occupée par les Allemands, soucieux de garder jusqu’au bout leur base de sous-marins de La Pallice, attaquée à la bombe depuis 1943. Ils ont créé un réduit blindé autour de La Rochelle. — (L’Express, 24 mai 2004)
- (Sens figuré) — Le voilà, tout jeune, maître d’un réduit, dont son tempérament de chef de clan, qui va poindre, tentera de faire une citadelle. — (Joseph Caillaux, Mes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse, 1942)
- Pièce très petite.
- Sur le premier plan, à gauche de l’acteur, une ottomane placée dans un petit réduit demi-circulaire et orné de tapisseries […] — (François Ancelot et Léon Laya, La Lionne : comédie en deux actes, mêlée de chant, 1840, page 1)
- Et ce fut lui qui, ce soir-là, rejoignit Yasmina dans le réduit noir qui lui servait de chambre. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina, 1902)
- Installé dans un petit bureau, plutôt un réduit —10 mètres carrés— aux sièges en Skaï, sous les combles du palais, en plein quartier Saint-Jean, le nouveau maître des lieux se distingue. — (L’Express, 15 janvier 2004)
- Le jour de son enlèvement en mars 1998 alors qu’elle avait dix ans et se rendait à l’école, son ravisseur l’a jetée, après un long trajet en camionnette, dans un réduit sans lumière, dans une cave. — (Le Monde, 3 janvier 2007)
- Résultat d’une opération de réduction.
- Le mécanisme est schématiquement celui-ci : en protégeant telle catégorie, le système expose les autres. Puis en protégeant alors telle autre, il expose encore plus fortement celles laissées en dehors, et ainsi de suite, jusqu’à un réduit de laissés-pour-compte qui sont exclus de tout. — (Le Monde, 13 janvier 2007)
- (Spécialement) (Canada) Premier liquide obtenu, avant le sirop d’érable, de l’évaporation de l’eau d’érable.
- Après le quatre-quarts au chocolat avec caramel et glace à la vanille, le vigneron nous a versé quelques gouttes de vin de paille, donc un vin fait à partir de raisin qui a séché pendant des mois sur de la paille pour mieux concentrer ses sucres et ses saveurs. Le tout avait quelque chose du réduit d’érable, mais avec beaucoup plus de fruité et de confit. — (Cyberpresse, 24 mars 2006)
-
ennuie
?- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de ennuyer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de ennuyer.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de ennuyer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de ennuyer.
- Mes enfants auront tout leur bien, celui de leur mère et le mien ; mais ils ne veulent sans doute pas que leur père s’ennuie, se moinifie et se momifie !… — (Honoré de Balzac, La Cousine Bette, 1846)
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de ennuyer.
-
aplanie
?- Participe passé féminin singulier de aplanir.
-
abêti
?- Qui est devenu stupide.
- Et elle était là, à genoux encore aujourd’hui, devant son lit de mort, en cheveux grisonnants, avec ses yeux couleur de cendre, dans sa face blême de nonne abêtie par le célibat. — (Émile Zola, Le Docteur Pascal, G. Charpentier, 1893, chapitre XII)
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anéantie
?- Participe passé féminin singulier de anéantir.
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cri
?- (Linguistique) Code ISO 639-3 du forro.
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alourdi
?- Participe passé masculin singulier de alourdir.
-
poésie
?- Art de faire des ouvrages en vers.
- La poésie de la renaissance ne peut pas se contenter de cette simplicité biblique, et, pour célébrer cette nuit de réparation, elle appelle la Joie, personnage allégorique… — (Saint-Marc Girardin, L'Épopée chrétienne, dans la Revue des deux mondes, V.6, 1850, page 156)
- Ce cabinet était la demeure favorite du roi; c’était là qu’il prenait ses leçons d’escrime avec Pompée, et ses leçons de poésie avec Ronsard. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre III)
- Mais il était poète aussi et la poésie, à cette époque d’absolutisme et de barbarie, était chose dangereuse lorsqu’on avait l’esprit aussi caustique que Thierrat; […]. — (Gustave Fraipont, Les Vosges, 1895)
- La poésie du Divan et la poésie populaire, issues de classes sociales différentes, ont su parfois puiser aux mêmes sources d’inspiration : mais ce qui forme entre elles cloison étanche, c’est la forme de la langue : la poésie du Divan emploie le vers métrique, la poésie populaire le vers syllabique. — (Nimet Arzık, Anthologie des poètes turcs contemporains, Gallimard (NRF), 1953, page 10)
- (Spécialement) Différentes matières que l’on traite en vers et des différents styles qu’on y emploie.
- Poésie sacrée.
- Mais le seul nom qui ait été sauvé de l’oubli, dans la poésie profane, est celui de ce médiocre rimeur de Mathieu-le-Juif, d’Arras, qui vivait au XIIIe siècle […]. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- Poésie noble, élevée, poésie burlesque.
- Poésie familière.
- Art et manière de faire des vers, de la simple versification.
- Il a choisi un genre de poésie convenable à son sujet.
- Qualités essentielles au genre poétique.
- La poésie est une clameur, elle doit être entendue comme la musique. Toute poésie destinée à n’être que lue, est enfermée dans sa typographie n’est pas finie, elle ne prend son sexe qu’avec la corde vocale tout comme le violon prend le sien avec l’archet qui le touche. — (Léo Férré)
- Ouvrage en prose qui tient de l’élévation et du sentiment poétiques.
- Il y a de la poésie dans Pascal, dans Bossuet.
- Les écrits de Platon sont pleins de poésie.
- Liberté, richesse particulière aux pensées, aux expressions, aux tours que l’on emploie dans la poésie.
- La poésie du style
- C’est la poésie du style qui a fait le succès de l’œuvre de Chateaubriand.
- Ce qu’il y a d’élevé, de touchant dans une œuvre, dans le caractère ou la beauté d’une personne, dans les aspects de la nature ou dans une situation.
- Il y a de la poésie dans ses regards, dans sa manière de s’exprimer.
- La poésie d’un paysage.
- La poésie d’un tableau.
- Un peu de poésie est introduite par le biais du soleil couchant. — (Bruno Chenu, Disciples d'Emmaüs, Bayard, Paris, 2003, p. 100)
- Ensemble des ouvrages en vers composés dans une langue, ou selon leurs caractères communs les plus généraux, ou des traits auxquels se reconnaît la manière d’un poète.
- Si les pièces qu’on y insère n’ont pas toutes le même mérite, au moins est-on sûr de n’y jamais rencontrer de ces fades et plattes rimailles qui, tant de fois on servi de prétexte à calomnier la Poésie. — (Journal de Paris, no 1, 1er janvier 1777, page 1)
- La poésie française.
- La poésie anglaise.
- La poésie de Victor Hugo, de Lamartine.
- La poésie grecque nous charme par son naturel.
- Tableau de la poésie française au XVIe siècle, par Sainte-Beuve.
- Une histoire de la poésie anglaise.
- Ouvrage en vers ; il ne se dit guère que des Ouvrages de peu d’étendue et s’emploie surtout en parlant des modernes.
- Les poésies de Malherbe, de Racan.
- Recueil de poésies satiriques, de poésies morales, de poésies fugitives.
- (Éducation) (Belgique) (Plus rare) Classe de cinquième secondaire, équivalente à la première française, où l’on enseigne la poésie.
-
albuminurie
?- (Médecine) Maladie dans laquelle on émet des urines qui contiennent de l’albumine.
- Si les reins sont plus insuffisants encore, l'influence de l'orthostatisme se traduit en outre par l'apparition d'albumine, ou l'exagération d'une albuminurie déjà existante. — (Georges Dieulafoy, Manuel de pathologie interne: Volume 3, 1904)
- Quand le malade ne succombe pas, la convalescence est ordinairement longue. […]. L’albuminurie peut continuer pendant des mois. — (Charles-Albert Vibert, Précis de toxicologie clinique et médico-légale, Paris, Baillière, 1907, p.225)
- Décédé à Paris le 11 novembre 1872, des suites d’une albuminurie, son corps a été transporté le soir même pour être inhumé dans un caveau de famille, à Sedan. — (Eugène Dupont, Notice nécrologique de François Clément Sauvage, dans La vie rémoise, vol.4, 1869-1872)
- Quand il est amené dans notre clinique, on constate mouvement subfébrile à 37,8 ; albuminurie légère. Au point de vue psychique, dépression avec anxiété et préoccupations hypocondriaques. — (C. I. Urechia, « Les psychoses grippales », dans les Annales médico-psychologiques, 14e série/91e année, tome 1 (janvier-mai 1933), Paris : chez Masson & Cie, 1933, p. 460)
-
logis
?- Endroit où l’on demeure.
- Si une semaine s’écoulait sans escapade, on le voyait s’ennuyer, dépérir et fureter dans le logis pour trouver une issue. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- Ces ensembles sont composés d’un bon logis auquel s’accole une grange en large. — (Beauvechain, Incourt et Jodoigne, Editions Mardaga, 2006, page 274)
-
abonnie
?- Participe passé féminin singulier du verbe abonnir.
-
alogie
?- (Rare) (Désuet) Absurdité, impertinence.
- (Psychologie) Perte de la faculté de parler.
- Pauvreté du discours ou de son contenu reflétant la pauvreté de la pensée[1]
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aérologie
?- Science qui s’occupe des mouvements et variations barométriques et thermiques de l’atmosphère.
- C’est pourquoi il [Jules Marie Charles Jaumotte] est considéré, à juste titre, comme l’un des fondateurs de l’aérologie synoptique. — (Ciel et terre, volume 87, Société belge d’astronomie, météorologie et de physique du globe, Bruxelles, 1971)
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prix
?- Estimation d’une chose, ce qu’elle se vend, ce qu’on l’achète, ce qu’on la paie.
- Le sucre était connu des anciens qui ne l’employaient qu’en très-petite quantité et comme médicament ; il y a 200 ans à peine, il se vendait seulement chez les pharmaciens, à un prix très-élevé. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 119)
- Nul n’oserait contester que, depuis 1918, les spéculations sur les denrées alimentaires ont été générales et sans frein. Le public se doute bien un peu qu’on l’affame et que les hauts prix maintenus malgré toutes les tentatives sont factices. Mais qui accuser ? — (Albert Noret, Les Féodaux du Blé, E. Figuière, 1930, page 110)
- […], depuis la Seconde Guerre mondiale, les nations d’Europe occidentale ont laissé dépérir leur industrie charbonnière, tant il était facile de se procurer, en abondance et à bas prix, le pétrole du Proche et du Moyen-Orient. — (Panayiotis Jerasimof Vatikiotis, L’Islam et l’État, 1987, traduction d’Odette Guitard, 1992, page 178)
- Il existe aujourd’hui des masques de soudeur automatiques pour un prix d’environ 100 € qui s’opacifient instantanément lorsque l’arc électrique se produit ; […]. — (Henri Charlent et Patrick Agostini, Traité des installations sanitaires, Dunod, 2009, page 91)
- Valeur financière donnée à un objet exprimée en unité monétaire d’un pays.
- […], des marchands d’un champagne dont la médiocrité n’était dépassée que par son prix qui ne cessait de monter, ne se préoccupaient plus, à Montmartre comme à Montparnasse, que d’adapter les soi-disants plaisirs de Paris à des images étrangères et le plus souvent chromolithographiques. — (Jean Valmy-Baysse, La curieuse aventure des boulevards extérieurs, Éditions Albin-Michel, 1950, page 237)
- Pour tous les ouvriers et toutes les ouvrières du textile la condition empirait avec la hausse des prix, […]. — (Henri Manceau, Des luttes ardennaises, 1969)
- Ce qu’il faut payer en contrepartie d’un bien ou d’un service.
- On vient en foule me réclamer le prix du louage, mais je n’ai un peu d’argent qu’à Nouakchott. Les propriétaires devront donc attendre. — (Louis Frèrejean, Mauritanie, 1903-1911: mémoires de randonnées et de guerre au pays des Beidanes, présenté et annoté par Geneviève Désiré-Vuillemin, Éditions Karthala, 1995, page 149)
- (Sens figuré) Coût, dépense, pour obtenir quelque avantage.
- Les Américains s’étaient rendu compte du prix que leur coûteraient leurs tergiversations,et ils voulurent frapper un grand coup, de toutes leurs forces, […]. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 245 de l’édition de 1921)
- Il a acheté la victoire au prix de son sang.
- (Sens figuré) Mérite d’une personne, excellence d’une chose.
- Je connais tout le prix de votre affection.
- (Sens figuré) Récompense.
- On doit faire de bonnes actions sans en attendre aucun prix.
- Ce retour épuisant sur soi-même était peut-être au moment d’obtenir son prix. — (François Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Grasset, 1927)
- (Spécialement) Récompense accordée au vainqueur d’une compétition ou d’un concours.
- Les compliments de ce maire quand Pasteur obtint, à la fin de la rhétorique, plus de prix qu’il ne pouvait en porter; les nouveaux conseils de Romanet réveillèrent l’ambition normalienne. — (René Vallery-Radot, La vie de Pasteur, Hachette, 1900, Flammarion, 1941, page 18)
- Joint à la désignation de la récompense, se dit aussi du gagnant ou de l’ouvrage qui a remporté cette récompense.
- Ce peintre est un prix de Rome.
- Compétition ou concours où est offerte cette récompense.
- Nos pères étaient donc plus sages que nous lorsqu’ils repoussaient l’idée des courses. En 1820 il se présentait seulement sur nos hippodromes 120 concurrents se disputant 60 prix. — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France, École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
- Chaque dernier jeudi d'octobre, l’Académie française ouvre le bal des prix littéraires d'automne en décernant son Grand Prix du roman. Une semaine après, viennent le Goncourt et le Renaudot. Puis le Fémina et l’Interallié. — (Daniel Garcia, Coupole et dépendances: Enquête sur l'Académie française, Éditions du Moment, 2014, chapitre 7)
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achromie
?- (Nosologie) Absence ou réduction de la pigmentation naturelle de la peau.
- Les altérations pigmentaires sont constituées par l’hyperchromie, l’achromie et l’hyperpigmentation. — (Société française de dermatologie et de syphiligraphie, Annales de dermatologie et de syphiligraphie: Volume 81, 1954)
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amatie
?- Participe passé féminin singulier du verbe amatir.
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amoindri
?- Participe passé masculin singulier de amoindrir.
- On allait faire savoir au cavalier Rampin que s’il ne mettait pas fin à son attitude incompréhensible, inconcevable, on rendrait publiques ses origines et que lui, personnalité unanimement respectée, héros national en quelque sorte, en sortirait ridiculisé, à tout le moins amoindri, surtout « désexemplarisé », si j’ose ce néologisme. — (Yves Amiot, Le cavalier Rampin, 1991, page 235)
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affermi
?- Participe passé masculin singulier de affermir.
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admit
?- Troisième personne du singulier du passé simple du verbe admettre.
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accueillie
?- Participe passé féminin singulier de accueillir.
- Arrivée dans la soirée à bord d’un avion militaire américain, la dirigeante a été accueillie à son arrivée par Joseph Wu, le ministre taïwanais des Affaires étrangères. — (journal Le Télégramme, édition Morlaix, 3 août 2022, page 4)
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amblyopie
?- Trouble de la vue se manifestant par une différence d’acuité visuelle entre les deux yeux.
- L’amblyopie fonctionnelle ne s’opère pas et ne se traite que par rééducation.
- Uhthoff expose assez longuement les observations quʼil a pu faire dans sa clientèle privée sur lʼamblyopie par strabisme. — (Henri Dor, Edouard Meyer, Revue générale dʼophtalmologie: Volumes 42 à 43, 1928)
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académie
?- (France) (Nom collectif) Assemblée de gens de lettres, de savants ou d’artistes reconnus par leurs pairs, qui a pour mission de veiller aux usages dans leurs disciplines respectives et de publier des ouvrages tels que des dictionnaires, des grammaires, etc.
- L’Académie française, qui depuis 1694 a donné sept éditions de son Dictionnaire et commence à publier la huitième, donne au début de l'année 1932, la première édition de sa Grammaire rédigée en conformité des articles 24 et 26 de ses statuts des mois de mars et d’avril 1634. — (Préface, Grammaire de l’Académie française, 1932)
- (France) Divisions territoriales de l’Université de France dont chacune est dirigée par un recteur.
- L’académie de Paris, de Lyon, de Bordeaux, de Poitiers, etc.
- Le recteur de cette académie.
- Cette ville est du ressort de telle académie.
- Lieu d’enseignement avancé.
- (Beaux-arts) Figure entière, nue ou drapée légèrement.
- À un confrère malheureux qui ne parvenait pas à vendre ses « académies » de Montmartroises : « Fiche-leur des bas noirs et tu m’en diras des nouvelles ». — (Léon Daudet, Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux/L’Entre-Deux-Guerres, Grasset, 1915, réédition Le Livre de Poche, page 205)
- (Vieilli) Maison de jeu.
- Il a perdu son argent dans une académie.
- (Vieilli) Lieu où les jeunes gens apprenaient l’équitation.
- Il mit son fils à l’académie.
- Au sortir de l’académie, il partit pour l’armée.
- (Histoire) Institut d’enseignement supérieur du protestantisme.
- Attiré à Sedan, sans doute par les avantages que l’académie naissante de cette ville procurait aux savants étrangers qui voulaient contribuer à sa célébrité, il y arriva dans les premiers jours de novembre 1603, […]. — (Jean-Baptiste-Joseph Boulliot, Biographie ardennaise ou Histoire des Ardennais qui se sont fait remarquer par leurs écrits, leurs actions, leurs vertus et leurs erreurs, Paris, 1830, vol. 2, page 60)
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mythomanie
?- (Vieilli) Recours systématique aux mythes.
- Une seule exception à la mythomanie, exception caractéristique : parce qu’elle fut durable et profonde, se remarque dans l’histoire de l’art : — chez les Néerlandais. Le génie germanique, en opposition au vieux génie romain, ne s’est jamais affolé de traditions qui lui sont étrangères. La race du Nord n’est point porté à dissimuler l’homme sous le dieu et le héros. Chez elle, l’homme de la nature, comme on eût dit au XVIIIe siècle, s’affirme et s’étale carrément, tel qu’il est, sans nimbe ni auréole. — (W. Burger, Nouvelles tendances de l’art dans Revue Germanique, volume 19, page 71, 1862)
- La mythomanie — Les patriarches antédiluviens nommés par la Genèse sont-ils des mythes. […] La mythomanie est une véritable maladie de notre époque et bien des savants qu’on croit sérieux et graves n’ont pas échappé à la contagion. — (Fulcran Vigouroux, Les Livres Saints et la critique rationaliste : histoire et réfutation des objections des incrédules contre les Saintes Écritures, volume 3, pages 443-445, 1887)
- En effet, certains des arguments critiques avancés par les détracteurs de la mythomanie de l’époque s’adressent indifféremment aux ethnologues, aux mytholoques, et aux membres du Collège de sociologie. — (Dominique Lecoq, Jean-Luc Lory, Écrits d’ailleurs : Georges Bataille et les ethnologues, page 128, 1987)
- (Médecine) Tendance pathologique psychique, plus ou moins volontaire et consciente, au mensonge.
- J’essaierai de vous exposer, dans une histoire d’ensemble, l’histoire de la Mythomanie. — (La Mythomanie : Étude psychologique et médico-légale du mensonge et de la fabulation morbides, Dupré, 25 mars 1905, p. 1)
- Sa mythomanie est un moyen de nier la vie… de nier, et non pas d’oublier. — (La Condition humaine, Malraux, éd. Gallimard, 1933, p. 45)
- Chez l’enfant et l’adolescent, les principaux troubles sont : le mensonge, la mythomanie, les délires imaginatifs, l’hystérie. — (Léon Michaux, Psychiatrie infantile, 1967)
- Par mythomanie, j’entends évidemment cette attitude qui consiste à défaire auprès des auditeurs/lecteurs la perception qu’ils auraient pu avoir d’une situation, d’un évènement, en leur imposant un autre, « inventée », modifiée, « fausse ». — (Relectures de Madeleine Monette par Ricouart, éd. Summa Publications, Inc., 1999, p. 75)
- (Par extension) Fabulation, fait d’inventer et de raconter un mensonge.
- Il a installé chez les Zaïrois la mythomanie, le mensonge surréaliste. — (L’illusion tragique du pouvoir au Congo-Zaïre par Bwatshia, éd L’Harmattan, 2007, p. 119)
- Celui-ci avait nié en bloc, parlant de « mythomanie » alors que nous lui faisions part de plusieurs témoignages concordants. — (Policiers infiltrés à Lyon : le préfet lance une enquête, Burlet, sur le site rue89.com, « Celui » corrigé en « Celui-ci, » 27 octobre 2010)
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abonnit
?- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe abonnir.
- Troisième personne du singulier du passé simple du verbe abonnir.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.