Dictionnaire des rimes
Les rimes en : amecourt
Mots qui riment avec "our"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "amecourt".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : our , ours , ourt , ourts , ourd , ourds , oure , oures , ourre , ourres , ourg et ourgs .
- frocourt
- anchenoncourt
-
entour
- (Au pluriel) (Vieilli) Lieux circonvoisins.
- Une vallée environnée de bois qui formaient les entours de cette belle salle bâtie des mains de la nature. — (Chateaubriand, Natch. III, 52.)
- Tout s'égaie aux entours.Les bois sont pleins d'amours,De fleurs et d'harmonie. — (André Theuriet, Poésies, Le chemin des bois, En forêt, Le coucou ; Alphonse Lemerre éditeur, Paris, 1881, page 25)
- (Sens figuré) Ce qui entoure, ce qui concourt à.
- Allons, je veux savoir Tous les entours de ce procédé noir — (Voltaire, Enf. prod. v, 3)
- Il faut qu'ils aient certains entours et des facilités peu communes pour l'impression de ces feuilles — (Bachaum. Mém. secrets, tome XXX, page 54, dans Pougens)
- Un léger bruit venait de voler dans le profond silence, et elle avait levé la tête : quel était le médiateur divin qui passait ? peut-être le cher mort qu’elle pleurait et qu’elle croyait deviner à son entour. — (Émile Zola, Le Docteur Pascal, G. Charpentier, 1893, chapitre XIV)
- Circonlocution.
- Elle [Mme d'Alègre] épuisa tous les entours et les environs, avec une patience de ma part inexprimable. — (Saint-Simon, 475, 98)
- (Par extension) Entourage.
- Monseigneur, pour d'autres temps, leur était assuré [aux bâtards] par ses entours. — (Saint-Simon, 190, 60)
- Avec de tels entours, il fallait toute l'amitié du roi pour soutenir Chamillart. — (Saint-Simon, 70, 150)
- Nous sommes à vos pieds, madame, avec toute la colonie et tous les entours. — (Voltaire, Lettre à Mme de St-Julien, 3 octobre 1775)
- Même au temps de ma plus grande faveur auprès de madame la maréchale, j’avais toujours senti qu’il n’y avait que mon sincère attachement pour monsieur le maréchal et pour elle qui pût me rendre leurs entours supportables ; […] — (Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions, 1782-1789, Livre XI)
- La gaieté.... fait que nous nous plaisons par instinct en nous-mêmes, dans nos possessions, nos entours, notre esprit, …. — (Vauvenargues, De l'esprit humain, 23)
- Sa résolution fixée, il lui importait qu'elle ne mécontentât pas ses entours ; il pensait qu'en eux la persuasion aurait plus de zèle que l'obéissance. — (Ségur, Histoire de Napoléon v, 2)
- bertrancourt
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yogourt
- (Canada) (Suisse) (Belgique) Lait caillé préparé à partir de ferments lactiques.
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giaour
- (Religion) (Chez les Turcs) Infidèle ; mécréant ; non-musulman.
- — Et n'est-ce pas la ruine du glorieux empire de Soliman et d'Amurath, que ce retard général de toutes nos institutions? Les giaours ont marché, et nous, nous voilà toujours stationnaires ! Aussi les giaours nous battent, nous refoulent. Vois : à Tchesmé, les Russes brûlent nos vaisseaux; à Aboukir, Bonaparte rejette dans la mer nos régiments; à Héliopolis, Kléber défait, avec dix mille des siens, soixante mille des nôtres ! Partout, partout des défaites, et si nous cherchons parmi les giaours le secret de leurs victoires, nous sommes des giaours, disent les imans. Non, par la barbe de Mahomet ! mous ne sommes pas des giaours. — (Scipion M., « La révolte du sérail », 1807, dans La France littéraire, tome 12, Paris, 1832, page 73)
- Aziyadé me regardait fixement. Devant un Turc, elle se fût cachée ; mais un giaour n’est pas un homme. — (Pierre Loti, Aziyadé, 1879)
- Ce giaour, son Athènes natale abandonnée, vécut à Prague, à Florence, à Cologne, puis devint littérateur français à Paris. — (Jean Finot, La Revue mondiale, volume 168, 1925)
- Giaour. Expression farouche, d'une signification inconnue, mais on sait que ça a rapport à l'Orient. — (Gustave Flaubert, Dictionnaire des idées reçues)
- englancourt
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brandebourg
- (Habillement) Sorte d’ornement de broderie ou de galon qui va d’un bouton à l’autre de certains habits.
- Cavalerie, ma mie, à vous de donner l’exemple. Quittez vos vieilles fanfreluches, soutaches, brandebourgs ou plastrons ; pelisses engonçantes, habits vestes étranglant la taille ; tresses et torsades gênant les mouvements. Renoncez à ces couleurs éclatantes, cibles niaisement glorieuses, devant le tir certain des armes d’aujourd’hui. Disons ensemble ici, un dernier adieu à ces héroïques défroques, symboles encore si vivaces des sublimes chimères pour lesquelles nos pères versèrent le plus pur de leur sang ; cela fait, endossez gaiement votre nouvelle tunique qui, pour si sombre et si prussienne qu’elle soit, est aussi plus saine, plus commode, moins coûteuse, vous couvrant mieux les reins et vous tenant plus chaud au ventre. — (Émile-Marcelin-Isidore Planat dit « Marcelin », « Vieux Uniformes », in La Vie parisienne : magazine mensuel artistique et littéraire, 19 décembre 1868)
- Donc, dans un enchevêtrement de brandebourgs et d’épaulettes, plus constellé de boutons d’or qu’une prairie au printemps, coiffé d’une espèce de shako insensé, le « président-général » Béru se présente dans la cour. — (San-Antonio, Béru-Béru, III, 5, Éditions Fleuve noir, 1970)
- Le cavalier avait une redingote boutonnée jusqu’au cou, sanglée très étroit, sans brandebourgs mais un gibus tromblon d’une insolence rare. — (Jean Giono, Un roi sans divertissement, Édition Folio, 1972, page 87)
- godoncourt
- bazancourt
- drocourt
- ayencourt
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goure
- (Vieilli) Drogue falsifiée.
- Erreur.
- Gaffe, faux pas.
-
laboure
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de labourer.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de labourer.
- On laboure d’hiver pour débillonner la terre qui a porté les choux. — (Journal d’agriculture pratique, 1891)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de labourer.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de labourer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de labourer.
- craincourt
- blecourt
- delincourt
- goudelancourt
- buffignecourt
-
cour
- Espace découvert qui dépend d’une maison, d’un hôtel, etc., et qui est entouré de murs ou de bâtiments.
- Il n’y avait dans la cour, formée par quatre pauvres bâtiments, aucun être vivant, sinon les poules picorant le fumier […] — (Octave Mirbeau, Le Père Nicolas, dans Lettres de ma chaumière, 1885)
- […] je regardais les gens entrer dans la cour, les hommes en redingotes sombres, les femmes long voilées de noir. — (Octave Mirbeau, Contes cruels : Mon oncle)
- Les pailles, dont les couches épaisses recouvraient entièrement le sol de la cour, se doraient peu à peu d’un jaune pâle sous la lueur grandissante du crépuscule. — (Jules Case, La Fille à Blanchard, 1886)
- Cour d’honneur : La principale cour d’un château, d’un palais.
- (Par métonymie) Les maisons disposant d’une cour étant, par le passé, celles de personnages importants ou d’institutions, la cour désigne les assemblées qui s’y réunissent (cour du roi, cour de justice…), les dignitaires et autres personnes qui forment l’entourage habituel d’un souverain, la suite d’un grand seigneur, d’un prince. Se disait aussi des assemblées de vassaux que tenait le roi dans sa résidence.
- La cour ! s’écria un chevalier de Malte ; mais tant qu’il y aura un roi, il y aura une cour, c’est-à-dire des flatteurs, des parasites, des fats qui se croiront seuls nobles, et dépouilleront la noblesse. — (Julie de Querangal, Philippe de Morvelle, Revue des Deux Mondes, tome 2, 4, 1833)
- Un courtisan est un homme de la cour du roi, j’entends un homme qui a une charge ou un emploi domestique dans le palais, qui est le premier écuyer, chambellan, grand veneur […] — (Hippolyte Taine, Philosophie de l’art, Germer Baillière, Paris, 1865, page 134)
- L’Invincible Armada devait avoir pour amiral le marquis de Santa-Cruz ; mais il mourut pendant les préparatifs, et le commandement fut donné au duc de Medina-Sidonia, marin de cour, dont la présomption égalait l’ignorance. — (Frédéric Zurcher et Élie-Philippe Margollé, Les Naufrages célèbres, Hachette, Paris, 1873, 3e édition, 1877, p. 11)
- L’empressement des envoyés des puissances pour venir adresser leurs félicitations à la cour des Tuileries avait été extrême. — (Albert Mansfeld, Napoléon III, Paris, 1861, vol.2, page 301)
- Cour plénière : Assemblée de vassaux.
- (Sens figuré) Entourage d’une personne, gens empressés à lui plaire.
- Et tous de le flatter, et de l’entourer d’une cour dont il ne peut être dupe, mais dont se gonfle sa vanité. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Cette charmante femme a toujours autour d’elle une cour d’admirateurs. - On le croit puissant ; aussi a-t-il une véritable cour.
- (Monarchie) Le souverain et ses ministres ; le gouvernement d’une monarchie.
- La cour célébrait les noces de madame Marguerite de Valois, fille du roi Henri II et sœur du roi Charles IX, avec Henri de Bourbon, roi de Navarre. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre I)
- Recevoir un ordre de la cour.
- Il est bien, il est mal à la cour, en cour.
- Respects que l’on rend à une personne, assiduités que l’on a auprès d’elle, en vue de lui plaire, d’obtenir sa bienveillance, etc.
- […] elle accepta de lui des fleurs, de ces menus témoignages de tendresse qui encombrent toutes les cours faites à des prétendues […] — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- Tribunal supérieur.
- La cour de cassation.
- Cour d’appel.
- Cour d’assises.
- Cour des comptes.
- La jurisprudence de la cour est constante à cet égard.
- Prêter serment devant la cour.
- La cour suprême.
- La cour des pairs : Se disait autrefois de la chambre des pairs constituée en haute cour de justice, pour connaître d’un crime d’état. La Haute cour se dit du Sénat dans des circonstances semblables.
- (Droit) Tribunal.
- Il s’était formé à cette époque non pas des tribunaux —la justice se respectait, elle n’ordonne pas l’assassinat des innocents,— mais des cours prévôtales. — (Réponse de M. Raspail père à l’avocat général, lors du procès de François-Vincent Raspail le 12 février 1874)
- (Par métonymie) (Vocabulaire des écoliers) Récréation.
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bravoure
- Courage guerrier ; vaillance.
- Sa figure, une de celles que la bravoure a marquées de son cachet, offrait le type que cherche aujourd'hui l'artiste quand il songe à représenter un des héros de la France impériale. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Il avait plus de cran au front. Il était même très brave, d'une bravoure innocente. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 258)
- Certes, Jean-Luc en tira l’avantage essentiel en utilisant ses talents de conteur qui transformaient en acte de bravoure sa fuite devant les policiers. Mais il eut le bon goût de m’associer dans le récit de son épopée. — (Jean-Pierre Hoss, Impasse Valmy, Mon Petit Éditeur, 2013, p. 41)
- Cependant jamais soldats ne méritèrent plus d'être victorieux ; ceux de la brigade d’Austrasie, surtout, donnèrent l'exemple de la plus grande bravoure : […]. — (Charles Cunat, Le bailli de Suffren: Sa vie, ses voyages, La Rochelle : Éditions la Découvrance., 2008)
- gelaucourt
- ancourt
- oradour
- etricourt
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.