Dictionnaire des rimes
Les rimes en : allemande
Que signifie "allemande" ?
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- Espèce de danse vive et gaie, dont l’usage a passé de l’Allemagne dans d’autres pays.
- Danser l’allemande, une allemande.
- Airs sur lesquels on exécute cette sorte de danse.
- Jouer une allemande sur le piano.
- Recueil d’allemandes.
- (Théâtre) Répétition des déplacements et actions de jeu, sans s'attarder sur le texte, permettant aux acteurs de les mémoriser et de s'approprier l’espace scénique.
Mots qui riment avec "ande"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "allemande".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ande , andes , ende et endes .
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gourmande
- Femme gourmande.
- Or, le lendemain, la femme du savetier eut besoin d’être seule. C’était une gourmande qui, de temps en temps, moulait des gaufres qu’elle dissimulait dans une boîte et grignotait en cachette. — (Paul Crouzet, l’École et la Vie, volume 36, 1952, page 10)
- En sa qualité de gourmande, la Tonsard devint excellente cuisinière, et quoique ses talents ne s’exerçassent que sur les plats en usage dans la campagne, le civet, la sauce du gibier, la matelote, l’omelette, elle passa dans le pays pour savoir admirablement cuisiner un de ces repas qui se mangent sur le bout de la table et dont les épices, prodiguées outre mesure, excitent à boire. — (Honoré de Balzac, Les Paysans, 1845, première partie, chapitre troisième)
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mende
- Siècle.
- XXI. mendea zain dugu.
- Nous attendons le XXIe siècle.
- Existence, vie, époque.
- Zure mendean egin dituzun faltak.
- Les erreurs que vous avez faites dans votre vie.
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houppelande
- (Habillement) Pardessus, long manteau.
- Le chevalier de la paix attrapa sur le col de sa houppelande je ne sais quel insecte, qu'il écrasa sur son ongle à la lueur d'un réverbère. — (Nicolas Gogol, Les âmes mortes, 1842 ; traduction de Henri Mongault, 1949)
- Nous étions en hiver, et Mongenod n’avait point de manteau, car quelques larges gouttes de neige fondue et tombées des toits, le long desquels il avait dû marché, jaspaient le collet de sa houppelande. — (Honoré de Balzac, L’Envers de l’Histoire contemporaine, 1848, premier épisode)
- Deux ceintures d'or de broderie qui sont assises sur l'espaulle senestre de deux houppelandes. — (De Laborde, Émaux)
- Cependant il est un agent de la Compagnie, qui ne doit pas quitter son poste, c’est Popof, – Popof, notre chef de train, un vrai Russe, l’air militaire avec sa houppelande plissée et sa casquette moscovite, très chevelu et très barbu. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre V, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Mais du moins des provisions et une grande houppelande lui furent-elles laissées pour son confort. — (Robert Louis Stevenson, Les Gais Lurons, 1881, Traduction Jean-Pierre Naugrette, 2004)
- Un jour, il me trouva dans une allée du parc, assis sur un banc de pierre ; je me rappelle que je lisais le traité de Clarke sur l’Existence de Dieu. Selon mon habitude, j’étais enveloppé dans une épaisse houppelande. « Oh ! le cher petit trésor, dit-il en s’approchant. Mon Dieu, qu’il est donc joli là, si bien empaqueté ! Oh ! ne le dérangez pas. Voilà comme il sera toujours... Il étudiera, étudiera sans cesse ; mais, quand le soin des pauvres âmes le réclamera, il étudiera encore. Bien fourré dans sa houppelande, il dira à ceux qui viendront le trouver : « Oh ! Laissez-moi, laissez-moi. » Il s’aperçut que le trait avait porté juste. — (Ernest Renan, Souvenirs d’enfance et de jeunesse, 1883, réédition Folio, page 140)
- Qu’elle était jolie avec ses yeux doux, sa barbiche de sous-officier, ses sabots noirs et luisants, ses cornes zébrées et ses longs poils blancs qui lui faisaient une houppelande ! — (Alphonse Daudet, Lettres de mon moulin / La chèvre de monsieur Seguin, 1887, (réimp.1895) Charpentier et Fasquelle, pages 37-50)
- — Je crois que neuf heures viennent de tinter à la cathédrale. Ma bonne sœur, voici le moment de partir… — Vous avez raison. Je monte chercher nos houppelandes… — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 17)
- (Sens figuré)
- 30 décembre 42 – Oh ! passer vingt-quatre heures seulement loin d’ici, vingt-quatre heures seulement déposer cette horrible houppelande qu’est l’occupation, cette non moins lourde houppelande qu’est mon passé. — (Benoîte et Flora Groult, Journal à quatre mains, Denoël, 1962, page 252)
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défende
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de défendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de défendre.
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pechblende
- (Minéralogie) Variété cryptocristalline colloforme d’uraninite.
- Je possède aussi un exemplaire tiré de la mine de Neujahr, proche la même ville; la Pechblende s’y trouve engagée entre les couches alternatives d’une mine de fer brune. — (Mémoires de l'Académie royale des sciences et belles-lettres depuis l'avénement de Fréderic Guillaume II au throne, George Jacques Decker, Berlin, 1792)
- Le radium se trouve, comme l’uranium, dans la pechblende, mais en quantité infinitésimale. — (Françoise Giroud, Une femme honorable, Fayard, 1981)
- Des cailloux jaunes et noirs, Joliot-Curie vient d’en commander cinq tonnes à l’Union minière du Haut-Katanga : la pechblende. Avec un e, mais ici on prononce "blinde". — (Jean-Yves Lacroix, Pechblende, Albin Michel, 2016)
- Cette broche – le bolo stricto sensu – consiste ici en un triangle de résine transparente abritant un scorpion mort et monté sur une base de pechblende polie (U-235) en forme de pointe de flèche. — (Edward Abbey, Le Retour du gang, traduit de l'américain par Jacques Mailhos, Éditions Gallmeister, 2006, chap. 3)
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revende
- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe revendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe revendre.
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légende
- Inscription gravée circulairement près des bords et quelquefois sur la tranche d’une pièce de monnaie, d’un jeton, d’une médaille.
- Les anciennes pièces de cinq francs portaient pour légende « Dieu Protège La France ».
- Âme d’une devise, de ce qu’on y peut lire.
- Louis XIV avait pour devise le soleil avec cette légende : « Nec Pluribus Impar ».
- Liste placée sur un plan d’architecture, sur une carte topographique, géographique (mappemonde ou autre), etc., pour expliquer les lettres, les signes, les couleurs par lesquels on indique les différentes parties ou les endroits remarquables.
- Paroles qu’on trouve inscrites dans un tableau, ou dans une estampe, et qui semblent parfois sortir de la bouche des personnages.
- Une légende de Daumier.
- Notice explicative mise au bas ou au-dessous d’un tableau, d’un dessin.
- […], il fit une seconde halte pour lire ces mots : À la Belle-Étoile, écrits en légende sous une peinture qui représentait le simulacre le plus flatteur pour un voyageur affamé : c’était une volaille rôtissant au milieu d’un ciel noir, […]. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
- En 1866, M. l'abbé Jeuffrain, nommé récemment curé de Graville-Sainte-Honorine, remarqua dans la chapelle de sainte Honorine une pierre tombale de grande dimension, sans légende, mais chargée de traces d'incrustations héraldiques, au nombre de douze ou quatorze, et présentant les effigies d'un chevalier et de sa femme. — (Bulletin de la Commission des antiquités de la Seine-Inférieure, vol. 5, chez H. Boissel, 1882, page 293)
- Récit populaire, plus ou moins fabuleux, qui s’est transmis par la tradition.
- Selon une légende qui a longtemps eu cours dans le Midi, des Hébreux seraient venus se fixer à Narbonne au temps du roi David, soit au XIe siècle avant l’ère chrétienne. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours - Avant-propos, 1937)
- Il n’y a rien d’étonnant à ce que les Féroë aient été considérés comme le domaine du dieu Thor et que les vieux se racontent les légendes des poulpitecs, du Kraken et des sirènes. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Un autre capitaine […] se promenait avec une Bible et exploitait le goût des indigènes pour le merveilleux et leur penchant à discuter les légendes bibliques, qui par certains côtés ressemblent à leurs légendes païennes, […]. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil, tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- « Des légendes? dit Natalie, qu’est-ce que c’est, des légendes?— Eh bien, dit Martin Paul, ce sont des fables, des contes; c’est ce qu’on fait semblant de croire vrai, tout en sachant que c’est faux; ce sont des illusions qu’on a quand la nuit est douce, que ça sent bon, que ça chante dans les herbes… » — (Maurice Bedel, La nouvelle Arcadie, 1934)
- Il se fabriquait une étrange réputation, personnage de légende qui voyait à travers le brouillard, savait se rendre invisible aux gabelous, capable de tout ! — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- « Rien qu’une légende, dis-tu ? Tu ne veux que des faits ? Les faits sont périssables, crois-moi, seule la légende reste, comme l’âme après le corps, ou comme le parfum dans le sillage d’une femme. » — (Amin Maalouf, Le rocher de Tanios, Grasset, 1993, collection Le Livre de Poche, page 290)
- (Par hyperbole) Récit mythique.
- Le biniou de Jozon Thoraval! Il avait sa légende, comme tout biniou qui se respecte; j’en puis faire aujourd’hui l’histoire […]. — (Charles Le Goffic, Le biniou du mobilisé (1871), dans Bourguignottes et pompons rouges, 1916, page 227)
- Ouvrage contenant le récit de la vie des saints.
- Des compositions d’un autre genre, appartenant de même à la littérature théologique, se sont continuées en latin, et en même temps ont commencé à être écrites en français; telles sont les légendes, traduites en général d’après un original latin, […]. — (Jean-Jacques Ampère, La Littérature française au moyen-âge, Revue des Deux Mondes, 1839, tome 19)
- Ce saint-là n’est pas dans la légende.
- Note : Cette acception qui en ferait un synonyme de synaxaire n’est guère attestée que dans l’expression « légende dorée ».
- (Par extension) Histoire fausse ; mensonge ; racontar ; idée reçue.
- Mais Estivareilles est surtout connu pour posséder plusieurs « menhirs christianisés », et il nous faut combattre une légende, celle de l’origine préhistorique de ces pierres levées. — (Histoire des communes de l'Allier, tome 2 : Arrondissement de Montluçon, ouvrage dirigé par André Leguai, Éditions Horvath, 1986, page 270)
- (Sens figuré) Personne célèbre, talentueuse ou héroïque qui a atteint un certain succès, une certaine notoriété dans un domaine, un milieu.
- Je suis une légende vivante. Cette chanteuse s’est hissée au rang des légendes de la pop. Ce footballeur est une légende.
- [S'adressant à Arthur.] Des chefs de guerre, il y en a de toutes sortes. Des bons, des mauvais, des pleines cagettes, il y en a. Mais une fois de temps en temps, il en sort un. Exceptionnel. Un héros. Une légende. Des chefs comme ça, il y en a presque jamais. Mais tu sais ce qu’ils ont tous en commun ? Tu sais ce que c’est, leur pouvoir secret ? Ils ne se battent que pour la dignité des faibles. — (Pierre Mondy, Kaamelott, Livre VI, 6 : Nuptiæ, écrit par Alexandre Astier.)
- (Cartographie) Tableau descriptif, non nécessairement complet, des conventions cartographiques permettant la lecture de la carte[1].
- (Cartographie) Mention dans le champ de la carte explicitant ou complétant un signe conventionnel ou fournissant un renseignement particulier[1].
- eygurande
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lande
- (Agriculture, Géographie) Étendue de terre inculte et stérile.
- Des landes et des coteaux calcaires ou marno-calcaires plus ou moins pâturés à flore xérothermique se rencontrent en différents points de la vallée de la Lanterne […] — (Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises : les associations végétales de la vallée de la Lanterne, thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, p. 100)
- Ils paissent sur des landes granitiques ou dans les dépressions plus humides des plateaux caussenards. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Les landes siliceuses connaissent souvent une grande abondance de Fougères : au Pays basque la Fougère-aigle constitue d’importants pâturages qui rougeoient à l’automne. — (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, p.14)
- Les 20 à 30 millions de moutons pacageaient presque toute l'année sur les landes ; une faible part pacageait les jachères. — (Henri Noilhan, Histoire de l'agriculture à l'ère industrielle, Paris : E. De Boccard, 1965, p. 137)
- (Par extension) Végétation qui croît sur une telle terre.
- […] Rabalan sortit de sa maison, misérable masure en torchis, croulante, à peine couverte de quelques paquets de lande sèche en guise de toit, […]. — (Octave Mirbeau, Rabalan)
- […] l’association à Scleranthus se dégrade assez rapidement ; les différents stades observés (disparition progressive des espèces annuelles au profit des Géophytes —que gênaient les labours— puis des Hémicryptophytes) aboutissent à la lande à Cytisus scoparius et à Calluna […] — (Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises : les associations végétales de la vallée de la Lanterne, thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, p. 32)
- Tansley considérait les landes comme un bon exemple de végétation subclimacique: un stade faisant partie de la succession de végétation des sables et graviers acides et nus, succession qui menait à une forêt caducifoliée arrivée à maturité. — (Nigel R Webb, Étude sur les biotopes et les habitats perdant leur valeur pour la protection de la nature par suite de la succession écologique, page 12, Conseil de l'Europe, 1997)
- […]; d’autre part, la nature d’un terrain non agricole, spontanément, ce n’est pas le bois, mais la broussaille, la friche, la lande, la ginestaie, la garrigue, la genévraie, le maquis, la pelouse rase… ou le désert ! — (Acta geographica, Société de géographie, 1986, page 103)
- pierremande
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commende
- (Histoire) Administration temporaire des revenus d’un bénéfice donnée autrefois par l’autorité ecclésiastique en attendant la nomination du titulaire.
- La commende était une dérogation au droit commun.
- (Histoire) Bénéfice donné par le roi à un séculier pour une abbaye régulière avec permission de disposer des fonds.
- Après sa mort, la commende fut introduite dans l'abbaye et ce devint, comme pour la plupart des monastères auxquels on l'imposa, le signal et le principe d'une décadence profonde et rapide. « Désormais, dit Mgr Péchenard, […] l'abbé n'est plus ni le chef réel, ni le modèle obligé de sa communauté. Il est nommé par la puissance séculière. C'est quelque séculier, cardinal, évêque, prêtre, simple tonsuré, parfois un étranger à l'état ecclésiastique. — (Dr J. Jailliot, Recherches sur l'Abbaye de Chehery, dans la Revue d'Ardenne & d'Argonne : scientifique, historique, littéraire et artistique, publiée par la Société d'études ardennaises "La Bruyère", Sedan : impr. Laroche, mars 1896, n°3, page 89)
- Mais, rappelle sœur Anne Claire, c'est surtout la commende, cet accord entre le pape et le roi de France (1516) prévoyant que les abbés seraient nommés par le roi, qui a détérioré la vie communautaire. — (Martine de Sauto, Une abbaye témoin d'une histoire tourmentée, Journal La Croix, page 11, 26-27 juillet 2014)
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glande
- (Anatomie) Organe dont la fonction est, soit de filtrer le sang, soit d’élaborer des produits ou des éléments nécessaires tant à la reproduction qu’à l’entretien de la vie.
- La présure ou chymosine ou encore lab-ferment est une enzyme sécrétée par les glandes gastriques des Mammifères jeunes. Extraite de la caillette de veau, la présure, en présence d'ions calcium coagule la caséine. — (Claude Audigié & François Zonszain, Biochimie structurale, 1991, page 121)
- (Par extension) Certaines tumeurs accidentelles qui se forment en quelque partie du corps.
- Il lui est survenu une grosse glande à la gorge, au sein.
- Les glandes de l’aine, du cou.
- (Par analogie) (Botanique) Petits mamelons arrondis ou ovales, destinés à sécréter les sucs particuliers à diverses espèces de plantes.
- Glandes écailleuses, lenticulaires, miliaires, etc.
- (Au pluriel)(Argot) Rage, colère.
- Et j'ui ai dit : "Toi tu m'fous les glandes / Pis t'as rien à foutre dans mon monde / Arrache-toi d'là t'es pas d'ma bande / Casse-toi tu pues, et marche à l'ombre !" — (Renaud, Marche à l'ombre, 1980)
- (Familier) Paresse.
- Bon bah j'ai terminé mon taf, à moi la glande !
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entende
- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe entendre.
- Un monsieur et une dame passent devant moi, interrompant leur conversation pour que je ne les entende pas, comme s’ils me refusaient l’aumône de ce qu’ils pensent. — (Henri Barbusse, L’Enfer)
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe entendre.
- Le seul bruit qu’on y entende, c’est le sabot d’un âne ou d’un mulet qui arrache une étincelle aux cailloux luisants du pavé ou le fron-fron monotone d’une guitare qui bourdonne au fond d’une cour intérieure. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
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tende
- (Boucherie) → voir tende de tranche.
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brigande
- (Droit) (Rare) Celle qui exerce habituellement le brigandage.
- Il n’attendra jamais qu’on lui rappelle qu’il a été, à dix-sept ans, stuartiste, jacobite et cavalier ; qu’il a presque aimé la Vendée avant la France ; que si son père a été un des premiers volontaires de la grande république, sa mère, pauvre fille de quinze ans, en fuite à travers le Bocage, a été une brigande, comme madame de Bonchamp et madame de Larochejaquelein. — (Victor Hugo, Les Feuilles d’automne, Ollendorf, Paris, 1909 (1re édition 1831), page 11)
- La petite brigande n’était pas plus grande que Gerda, mais elle était plus forte, elle était trapue ; son teint était brun, ses yeux noirs : ils étaient inquiets, presque tristes. — (Hans Christian Andersen, traduit par Ernest Grégoire, Louis Moland, La Reine des Neiges, Garnier, Paris, 1873, page 256)
- loublande
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étende
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de étendre.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de étendre.
- iguerande
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amende
- (Droit) Peine pécuniaire imposée par la justice.
- Un travail conduit démocratiquement serait réglementé par des arrêtés, surveillé par une police et soumis à la sanction de tribunaux distribuant des amendes ou de la prison. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, Chap.VII, La morale des producteurs, 1908, p.347)
- Durandus eut beau exciper de son ignorance, il ne fut libéré qu’après s’être vu condamner à une amende. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- Citoyen islandais, M. Jón Kristinsson fut convaincu en 1984 de deux infractions au code de la route par le tribunal correctionnel du district d’Akureyri, qui lui infligea une amende. — (Conseil de l'Europe, Annuaire de la Convention Européenne des Droits de l'Homme, Martinus Nijhoff Publishers, 1990, vol.33, page 137)
- Un chien parisien coûte 75 € par an en motocrottes à la mairie de Paris. Ce montant correspond environ au prix de l’amende (sous forme d’écotaxe) pour une crotte de chien à New York. — (Franck Bien et Sophie Meritet, Microéconomie - Les défaillances de marché, Pearson Education France, 2014, page 102)
- Vous serez mis à l’amende.
- En effet, la perspective de devoir détruire une partie de leur propriété intellectuelle pourrait s’avérer encore plus dissuasive que des amendes.— (Raphaële Karayan, La destruction d'algorithme, nouvelle arme de dissuasion massive de la FTC, L’Usine digitale, 23 mars 2022)
- (Proverbial) C’est la coutume de Lorris, les battus paient l’amende ou, simplement et plus ordinairement, Les battus paient l’amende : se dit en parlant de quelqu’un qui est condamné, tandis qu’il devrait être dédommagé.
- Amende honorable : sorte de peine infamante qui était ordonnée par justice et qui consistait à reconnaître publiquement son crime et à en demander pardon.
- (Sens figuré) Faire amende honorable d’une chose : en demander pardon.
- Vous avez manqué aux égards qui lui sont dus, il faut que vous en fassiez amende honorable.
- villesequelande
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tisserande
- Ouvrière, artisane qui tisse de la toile.
- On a parlé très bas d'enfants mangés par l'ogre ou volés par les filles des eaux, de tisserandes de la Mort et de chevauchées d'outre-monde. — (Marguerite Yourcenar, Archives du Nord, Gallimard, 1977, page 25)
- Là où d’autres tisserandes respectent le modèle traditionnel du tapis tufté jaune de style glaoui, orné de classiques motifs en diamant, elles expérimentent des teintures fabriquées avec des plantes de l’Anti-Atlas et inventent des motifs d’une grande originalité. — (Lonely Planet, Maroc: Marrakech et le Centre du Maroc, 2012)
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limande
- (Ichtyologie) Une de certaines espèces de poissons osseux marins, poissons plats au corps ovale, comestibles, dont la limande commune.
- Certes les cardines ressemblent beaucoup à des limandes, mais avec une différence essentielle : elles sont gauchères, alors que les limandes sont droitières. — (Henriette Walter et Pierre Avenas, La Fabuleuse histoire du nom des poissons, éditions Robert Laffont, 2011)
- Tout en vitupérant, elle ramasse le gallinacé et l'ausculte. Las ! poupoule ressemble plus désormais à une limande qu'à une Bresse blanche. — (Frédéric Dard, San-Antonio : En avant la moujik, Paris : Éditions Fleuve noir, 1978, chapitre 5)
- (Par analogie) Cardine.
- On donne parfois à la cardine le nom de fausse limande, ou même de limande tout court, au risque de provoquer des confusions. — (Henriette Walter et Pierre Avenas, La Fabuleuse histoire du nom des poissons, éditions Robert Laffont, 2011)
- (Sens figuré) Prostituée, morue.
- Il avait donc guetté Céline et, un soir, il l’avait hélée : hé limande ! Céline avait filé à grand pas, mais il l’avait rejointe. — (Joris-Karl Huysmans, Les Sœurs Vatard, 1879)
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multiplicande
- (Arithmétique) L’un des deux opérandes de la multiplication.
- Dans la multiplication de quatre par trois, quatre est le multiplicande, trois est le multiplicateur.
- Soit +A à multiplier par +B. La valeur absolue du produit sera composée avec la valeur absolue A du multiplicande, comme la valeur absolue B du multiplicateur est composée avec l’unité ; c’est-à-dire que, d’après les notations admises, cette valeur absolue du produit sera AB. Quant au signe du produit, comme le multiplicateur +B a le même signe que l’unité positive, ce produit aura le même signe que le multiplicande, c’est-à-dire +.Ainsi, le produit de +A par +B est +AB.Soit +A à multiplier par −B. La valeur absolue du produit sera, comme ci-dessus, AB. Mais le multiplicateur −B ayant un signe contraire à celui de l’unité positive, le produit aura un signe contraire à celui du multiplicande, c’est-à-dire −.Ainsi le produit de +A par −B est −AB. — (Hippolyte Sonnet, Algèbre élémentaire avec de nombreuses applications à la géométrie et aux questions les plus simples de physique, de mécanique, etc, 1848, p. 90)
- irlande
- yvrandes
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.