Dictionnaire des rimes
Les rimes en : alanine
Mots qui riment avec "ine"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "alanine".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ine , ines , inne , innes , îne , înes , yne et ynes .
-
alvine
- Féminin singulier de alvin.
-
clarine
- (Élevage) Sonnette pendue au cou des animaux qu’on fait paître dans les forêts ou à la montagne.
- Le troupeau marchait en masse compacte, le sonnailler devant, et, près de lui, la brebis birane, faisant tinter leur clarine au milieu des bêlements. — (Jules Verne, Le Château des Carpathes, J. Hetzel et Compagnie, 1892, pages 1-16)
- Une rumeur immense et douce monte dans le vent du soir, vient caresser les falaises stériles ! aumône aux terres sans amour : des bruissements d’eaux lointaines, la respiration des forêts, l’aboi rauque d’un chien, les vagues cuivrées de l’horloge et des milliers de clarines tintinnabulant aux flancs des herbages, ritournelle des troupeaux en marche vers le soleil déclinant. — (Samivel, L’amateur d’abîmes, 1940, réédition Le Livre de Poche, page 179)
- Drue et meurtrissante, la pluie va tambouriner sur la campagne, cloquer les étangs et faire chanter les tuiles des toits en jeux de clarines. — (Henri Julien, Les Passe-Pays, Éditions Cheminements, 2004, page 98)
-
papavérine
- (Chimie) Nom donné d’abord à l’alcaloïde appelé depuis codéine.
-
décline
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de décliner.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de décliner.
- Il se réinvente, se transpose, se décline, se twiste à l’infini. — (France Mutuelle Magazine, n° 174, octobre-novembre-décembre 2022, page 53)
- Première personne du singulier du subjonctif présent de décliner.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de décliner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de décliner.
-
gibeline
- Féminin singulier de gibelin.
-
gonadotrophine
- (Biologie) Hormone glycoprotéique agissant sur les fonctions des gonades (ovaires et testicules).
- Nous nous sommes posé le problème de l’adjonction d’antiseptiques aux solutions hormonales, en particulier de formol, ce qui entraîne un blocage des fonctions aminées de la gonadotrophine. — (René Moricard, Facteurs hormonaux et cytoplasmiques de la division nucléaire: méiose et gonadotrophines, 1940)
-
pagine
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de paginer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de paginer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent de paginer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de paginer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de paginer.
-
antitoxine
- (Médecine) Substance sécrétée par l’organisme, dont l’effet est de détruire une toxine.
- On admet une antitoxine antagoniste de la toxine, et un antivenin antagoniste du venin. — (Émile Duclaux, Traité de microbiologie, 1899)
- N'attendez pas, car l’antitoxine perdra toute efficacité dès le moment où le consensus symptomatique se sera déjà produit. De même que vous ne pouvez, par le traitement de Pasteur, arrêter la rage après son éclosion, de même vous ne pouvez sérothérapiquement guérir le tétanos déclaré. — (L. Landouzy, Les Sérothérapies, Paris : chez Georges Carré & C. Naud, 1898, page 39)
-
lettrine
- (Imprimerie) Lettre majuscule, simple ou ornée d’un corps supérieur à celui du caractère employé pour le texte, que l’on place au début d’un chapitre ou d’un paragraphe et qui occupe une ou plusieurs lignes.
- Lettre majuscule qui se met au haut des colonnes ou des pages d’un dictionnaire, pour indiquer les initiales des mots qui s’y trouvent.
-
érine
- (Chirurgie) (Moins courant) Variante orthographique de érigne.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
cuisine
- (Construction) Pièce où l’on prépare et fait cuire les aliments.
- Zaheira disparut vers la cuisine, revint avec des plats alléchants, disposa gentiment l’eau et le pain sur la table. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans "Trois contes de l’Amour et de la Mort", 1940)
- Gaspard vit avec joie la femme poser une soupière fumante sur la table de la cuisine. — (André Dhôtel, Le Pays où l’on n’arrive jamais, 1955)
- Après avoir calculé le temps nécessaire pour sortir de la cuisine et venir tirer le cordon placé sous la porte, il resonna encore de manière à produire un carillon très significatif. — (Honoré de Balzac, Le Curé de Tours, 1832)
- (Par métonymie) Ensemble du personnel travaillant dans cette pièce à l’élaboration des plats.
- (Par métonymie) Ensemble d’ustensiles servant à préparer les aliments et qu’on peut transporter d’un lieu dans un autre.
- La poussière de craie donnait soif et cet automne était chaud. Je me souviens d’avoir bu un jour peut-être dix quarts de bouillon brûlant pris à la cuisine roulante. — (Alain, Souvenirs de guerre, page 111, Hartmann, 1937)
- (Par extension) Ordinaire d’une maison, repas qu’on y prépare habituellement.
- Cela intéressait vivement notre maître d’hôtel pourtant, car le voici ceint de son blanc tablier, la mine souriante, la bouche en cœur, le visage jambonné par la chaleur des fourneaux et venant connaître notre opinion sur sa cuisine. — (Gustave Fraipont, Les Vosges, 1923)
- Action de préparer à manger.
- Mais avec un petit poële net, propre, chauffé par l’électricité et pourvu de thermomètres, avec des températures absolument contrôlables et des écrans protecteurs, la cuisine pourrait devenir une distraction et un amusement même pour les dames âgées ou valétudinaires. — (H. G. Wells, Anticipations, 1901, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Société du Mercure de France, Paris, 1904)
- Il me quitte ; il doit acheter du jambon et du vinaigre, car les officiers l’ont naturellement chargé de leur cuisine, comme ils en chargent immanquablement tout professeur, tout prêtre, tout poète. — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914, 1916)
- (Cuisine) Art d’apprêter les mets, les aliments.
- Ils étaient parfaitement d’accord, surtout sur la nécessité d’appeler toute la pharmacie de la nature au secours de la cuisine. Piments, poudres anglaises, safraniques, substances coloniales, poussières exotiques, tout leur eût semblé bon, voire le musc et l’encens. — (Charles Baudelaire, La Fanfarlo, 1847 ; collection Folio, page 61)
- C’est chez la veuve Thorsdal que j’appris à savourer les délices de la cuisine islandaise. Le dîner se composait invariablement de poisson bouilli. — (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Paris : E. Plon & Cie, 1883, page 45)
- Au début du XXe siècle, la papesse de la cuisine bourgeoise, la célèbre madame Saint-Ange, écrira avec émotion, à propos d'un plat traditionnel dans les bonnes familles : « […]. » — (Maguelonne Toussaint Samat, Histoire de la cuisine bourgeoise: du Moyen Âge à nos jours, Éditions Albin Michel, 2001, page 120)
- Fierté des maîtresses de maison formées aux traditions familiales, la blanquette est, révérence gardée, à la cuisine française ce que Molière est au théâtre. — (Sylvie Girard-Lagorce, Grandes et petites histoires de la gourmandise française: traditions et recettes, Plon, 2003, De Borée, 2005, page 95)
- La cuisine française, ça me semble vieux et prétentieux, alors que la cuisine japonaise, ça a l’air… eh bien, ni jeune ni vieux. Éternel et divin. — (Muriel Barbery, L’élégance du hérisson, 2006, collection Folio, page 112)
- (Sens figuré) (Familier) Manœuvre ; intrigue.
- La cuisine électorale, parlementaire.
-
lapine
- (Mammalogie) Femelle du lapin.
- Connais-tu la différence entre un lapin et sa femelle ? Le mâle fait des pételles rondes, la lapine, pointue aux deux bouts. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- (Péjoratif) Femme qui a beaucoup d’enfants.
-
hermine
- (Zoologie) Espèce de mustélidé, petit mammifère carnivore dont le pelage est brun foncé dessus et blanchâtre dessous en été et blanc en hiver, sauf au bout de la queue, qui lui reste noir.
- Peau d’hermine. (Sens figuré) Une blancheur d’hermine.
- […] la blanche hermine, qui aime mieux mourir que d’avoir une tache sur sa fourrure de neige. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, 1840, édition Charpentier, 1859)
- Après plus de 300 000 ans isolé sur un archipel au large de la Colombie-Britannique, un petit animal devient une nouvelle espèce distincte : l’hermine haidarum, aussi appelée l’hermine haïda. — (Radio-Canada, Une nouvelle espèce d'hermines à Haïda Gwaii, en Colombie-Britannique, radio-canada.ca, 13 avril 2021)
- (Par métonymie) Fourrure que l’on fait avec la peau d’hermine.
- Ni vair ni hermine n’ornaient ce vêtement ; […]. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- A Augsbourg, dit-il, c'était alors la coutume que deux personnes, vêtues de longs manteaux rouges doublés d’hermine, ouvrissent le bal et exécutassent un menuet fort lent, une espèce de pavane, avec force révérences et gracieusetés. — (« Vie privée des Allemands au seizième siècle », traduit d'un article du Foreign quaterly Rewiew, dans la Revue britannique: Choix d'articles traduits des meilleurs écrits périodiques de la Grande-Bretagne, 3e série, tome 1, année 1833, Bruxelles : chez J. P. Meline, page 110)
- Sébastien Lambrusque, hérissé, malveillant, dédaigneux, exactement tel qu’il faut pour irriter l’hermine et s’aliéner le jury. — (Hervé Bazin, Chapeau bas, Seuil, 1963, Le Livre de Poche, page 108)
- Bande de fourrure symbolisant une haute charge de l’État, de l’université ou de l’Église. Elle orne certains costumes d’audience.
- Les avocats parisiens, selon un usage ancien, portent une épitoge sans hermine mais s’ils plaident en province, devant la cour d’assises ou en audience solennelle de la cour d’appel, ils portent une épitoge herminée.
- (Héraldique) Voir d’hermine.
- (Zootechnie) Synonyme de polonais (race de lapins) à cause de sa couleur blanche.
-
marsouine
- Femelle du marsouin.
- En dehors du type du prince russe, on se souvient également qu'en 1854 Doré faisait naître le premier Russe de la liaison d'un ours blanc avec une marsouine (cf. le chapitre I.3.4.). — (Charlotte Krauss, La Russie et les Russes dans la fiction française du XIXe siècle (1812-1917), 2007, page 202)
- Je cherche Bulle, une marsouine qui nous accompagnait, ainsi que Loul, la plus ancienne dauphine du d… — (Hugo Verlomme, Mermère, 2020)
- (Canada) (Injurieux) Personne qui mérite peu de considération (pour un homme, on dit : marsouin).
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
ivoirine
- Substance imitant l’ivoire.
- Le papier du Japon ne se mouille pas et se fixe simplement à l’aide de punaises: de même pour le bristol et l’ivoirine, qui se désagrégeraient au contact de l’humidité. — (Le coloriste enlumineur: journal d’enseignement du dessin, de la miniature, des émaux, de l’aquarelle, de la peinture sur verre, sur soie, etc., à l’usage des amateurs et professionnels, Volumes 1 à 3, Éditions Desclée de Brouwer, 1893, page 34)
- (Chimie) Ivoire reconstituée avec de la poudre d’ivoire et de la résine.
- Un homme âgé d’environ quatre-vingts ans, José Davillas, gisait en pyjama et pieds nus, ventre et visage au sol, dans une mare de sang séché sur le carrelage de sa salle bain, la poitrine transpercée par le fac-similé en ivoirine d’une pointe de sagaie Magdalénienne, des moulages incassables en résine qui se vendent cinquante euros, et par dizaines depuis des lustres, au magasin de souvenirs du musée national de Préhistoire des Eyzies-de-Tayac à quelques kilomètres d’ici. — (Peter D. Mason, Le Mystère Pradillac, Éditions Cairn, 2020, chapitre 1)
-
canine
- (Anatomie) Dent pointue d’un mammifère (excepté les rongeurs), au nombre de deux par mâchoire, qui sert principalement à rompre ou à briser les corps durs ainsi qu'à déchirer la chair, et qui se situe entre les incisives et les molaires.
- Près de la porte, contre le mur, une fourche se dressait, une de ces fourches d’acier aux longues dents puissantes et fines qui se plantent dans les gerbes de blé comme des canines de chat dans un ventre de souris. — (Louis Pergaud, La Vengeance du père Jourgeot, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
-
hémolysine
- (Biologie) Substance provoquant une hémolyse.
- On fait varier la quantité d’hémolysine utilisée pour sensibiliser les globules rouges. — (Bulletin de l’Association des diplômés de microbiologie de la Faculté de pharmacie de Nancy, Numéros 113 à 120, 1969)
-
métalloprotéine
- (Biochimie) Protéine comportant un ou plusieurs cofacteurs métalliques.
- La superoxyde dismutase est une métalloprotéine dont l’activité enzymatique consiste à faire la dismutation de l’anion superoxyde en dioxygène et peroxyde d’hydrogène. — (Maurice Santelli, Chimie bio-organique, 2012)
-
enracine
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de enraciner.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de enraciner.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de enraciner.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de enraciner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de enraciner.
-
balancine
- (Marine) (Vieilli) Cordage qui soutient une vergue par ses deux extrémités ou par une seule et qui sert à la tenir suspendue horizontalement ou à l’incliner d’un côté ou de l’autre.
- Toute voile carrée a deux balancines.
- chacun put apercevoir Robert suspendu aux balancines du petit perroquet à cent pieds en l’air. — (Jules Verne, Les Enfants du capitaine Grant, 1846)
- (Marine) Cordage permettant de régler la hauteur d'un espar sur un voilier.
- (En particulier) Corde qui soutient le gui.
- Les deux balancines qui soutiennent le gui cédèrent ainsi que six des cercles qui maintiennent la grand'voile le long du mât. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
-
gouine
- Mot normand[1] signifiant autrefois « femme » du terme scandinave kvinna (même sens). Le mot est plus tard devenu péjoratif. Le normand a aussi les termes gouënipe ou couénipe « femme de mauvaise vie ».
- Auguste Creuzé de Lesser[2] tire ce mot de la reine Goïne (à rapprocher avec le gaélique coinne, « femme », l’anglais queen, « reine ») qui trompait son mari et le fit périr pour fuir avec son amant :« Quoiqu’en amour à la bonté j’incline,Je n’en ai pas pour la reine Goïne ;Et jusqu’à nous son nom un peu changéVint justement en proverbe érigé. » — (La Table ronde, 1810)
- Auguste Scheler[3] soulignant que l’ancien français avait godine (sens identique), propose une racine god : le verbe godailler (« boire avec excès ») ayant subi lui aussi une évolution vers gouailler (« s’amuser ») d’où gouaille. Cette racine, selon ce même auteur faisant référence au philologue allemand Friedrich Christian Diez, n’est pas issue du latin gaudere (« jouir »), mais est plutôt d’origine celte et se retrouve dans le gallois god (« luxure »), l'ancien français godon (« femme de mauvaise vie ») ou, plus proche de nous, godelureau.
- De l’arabe قينة, qayna (le « ق -q » arabe étant souvent retranscrit en « g », comme dans le mot qahba donnant gaupe, et comme il est fréquemment prononcé dans certains dialectes, tel قلب qalb (« cœur » en français), prononcé « galb » en Tunisie et dans la Péninsule arabique). Une qayna était une esclave-musicienne au Moyen-Orient, d'où la réputation de femme de mauvaise vie.
- Probablement issu plus ou moins directement de la racine indo-européenne gʷḗn ("femme"). À rapprocher du sens 2.
-
chafouine
- Féminin singulier du nom commun chafouin.
-
pipérine
- (Minéralogie) Péperin.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
philippine
- (Jeux) Jeu qui consiste, quand on trouve une amande double, à la partager avec quelqu’un, et par la suite, pour gagner, à être le premier qui aborde l’autre en disant « Bonjour philippine ».
- (Botanique) Une amande double.
- L’amande bessonne, jumelle ou philippine est un prétexte à toutes sortes de jeux joyeux… — (Anne-Sophie Rondeau, L’amandier, Actes Sud, Le nom de l’arbre, 1997, page 90)
- Mot qu’on dit quand deux personnes commencent à prendre la parole en même temps pour dire la même chose.
- j'aurais du mal à te donner l'origine du truc, mais c'est un truc de gosses, quand on dit la même chose au même moment, on dit philippine et on fait un vœu. — (site www.marmiton.org, 17 février 2004)
-
castine
- (Art) Pierre calcaire, d’un gris blanchâtre, qui, mêlée avec certains minerais de fer, en facilite la fusion.
- Pour fondre les matières étrangères du minerai, on ajoute en outre un fondant qui est destiné à former avec la gangue terreuse des silicates fusibles ou laitiers. La nature du fondant dépend de celle de la gangue : si celle-ci est argileuse, comme c' est le cas le plus fréquent, on emploie du calcaire (castine des ouvriers) ; si elle est calcaire on ajoute de l'argile (erbue). — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 189)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.