Dictionnaire des rimes
Les rimes en : aise
Que signifie "aise" ?
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- (Psychologie) Sentiment de joie, de plaisir, causé par la présence, par la possession d’un bien.
- Tressaillir d’aise. Être transporté d’aise. Être ravi d’aise.
- Il ne se sent pas d’aise.
- Une nourrice, au plus épais, levait très haut son poupon, qui riait d’aise. — (Émile Zola, Au Bonheur des Dames, 1883)
- État commode et agréable.
- Être bien à son aise.
- Vous êtes là bien à votre aise.
- Se mettre à son aise.
- Travailler à son aise.
- Je ferai cela à mon aise.
- Ainsi surprise dans son immobilité de songe, on eût dit pourtant qu’elle s’ébrouait dans une aise sans bornes, comme ces jeux silencieux qu’on surprend la nuit dans les clairières. — (Julien Gracq, Le Rivage des Syrtes, José Corti, 1951)
- Il joua à faire tourner son verre dans sa main afin de lui faciliter les choses, de lui laisser l’aise, comme il crut comprendre qu’elle le désirait, de le regarder mieux. Elle le regarda mieux. — (Marguerite Duras, Moderato cantabile, Les Éditions de Minuit, 1958)
- (Au pluriel) Commodités de la vie.
- Me voilà sur les routes, moi aussi, à plus de trois kilomètres de mon palais, prêt à dormir dans un lit de hasard, sans aucune de mes aises ni de mes habitudes familières. — (Pierre Louÿs, Les aventures du roi Pausole, 1901)
- Comment cette jeune fille, habituée à toutes les aises de la vie, supporterait-elle les hasards de cette existence de privations ? — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, Éditions Amyot, Paris, 1858)
Mots qui riment avec "aise"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "aise".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : aise , aises , èse , èses , eize , èze et èzes .
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prosthèse
- (Linguistique) Métaplasme qui consiste dans l'addition d'une lettre ou d'une syllabe au commencement d'un mot, sans en changer le sens.
- La prosthèse ne constitue pas un préfixe. Il s'agit d'une forme destinée à faciliter la prononciation en formant une nouvelle syllabe à partir d'un ensemble de consonnes.
- La prosthèse est un phénomène fréquent du passage du latin au français dans les groupes du type consonne « s » et consonne (p, k, t). La voyelle prosthétique est le plus souvent « e ».
- Il existe des prosthèses spontanées en français populaire comme un « esquelette ». — (Blogue Au domicile des mots dits et écrits)
- (Chirurgie) (Vieilli) Remplacement d'une partie perdue, par des pièces artificielles ; prothèse.
- Elle ne portait pas de prosthèse et employait son petit bras pour faire tout ce qu’elle avait besoin de faire d'une manière très naturelle. — (Blog OverGround)
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anthèse
- (Botanique) Floraison.
- Les ornementations marginales sont caractéristiques des pétales imbriqués, dont la bordure ne porte aucune empreinte ni trace de recouvrement à l’anthèse. — (Nicolas Hallé, Monographie des hippocratéacées d’Afrique occidentale, 1962)
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irlandaise
- Féminin singulier de irlandais.
- Car une minorité de Noirs anglophones y étaient présents dès le tournant du siècle, et ce fut pendant longtemps un quartier où s’affrontaient Canadiens français et Canadiens anglais (d’origine irlandaise notamment) ; ces dernières années, il se « multi-ethnicise » de façon significative. — (Francine Dansereau, Trajectoires familiales et espaces de vie en milieu urbain, 2019, page 361)
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versaillaise
- Féminin singulier de versaillais.
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pèze
- (Populaire) & (Argot) Argent.
- Qu’est-ce que tu veux ! Du moment qu’pour chercher leur pèze y a des gnières qu’est encore dans la cambriole, faut bien qu’ils lavent leur part de stock. Pas vrai ? — (Francis Carco, Images cachées, Éditions Albin Michel, Paris, 1928)
- D'autres éditeurs, peut-être, n'ont qu'un souci : le pèze! (Il prononça le mot avec un frisson, comme s'il était ordurier, et en faisant le geste obscène de palper des billets.) Moi, le pèze... Si j'avais voulu, mon cher Psar, je serais un homme riche. — (Vladimir Volkoff, Le montage, Julliard/L'Âge d'Homme, 1982, p. 158)
- Relisez "le laboureur et ses enfants" de Jean de la Fontaine... Ici, sur le Plateau des Bateke, vous disposiez de tout pour vous faire du pognon, du pèze. ll est là, le pèze, là sous ces acacias qui enrichissent le sol et lui permettent de donner le meilleur manioc qui soit, les meilleurs légumes qui soient, le meilleur nyêbé... — (Djungu-Simba Kamatenda, Du pèze sous les acacias: récit, Les Editions du Trottoir, 1994, p. 37)
- gleize
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biaise
- Féminin singulier de biais.
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diérèse
- (Linguistique) (Grammaire) (Prosodie) Division d’une diphtongue en deux syllabes, le fait que deux voyelles consécutives se prononcent séparément.
- Le mot diérèse peut se prononcer en trois syllabes par diérèse, ou en deux par synérèse. Quant au mot « synérèse », impossible de le prononcer par diérèse.
- Le mot sanglier se prononce maintenant en trois syllabes par diérèse.
- Prononcer Nation en trois syllabes au lieu de deux, c’est faire une diérèse.
- [Célèbre diérèse ayant fait scandale, sur le mot lion :] « Vous êtes mon lion, superbe et généreux. » — (Victor Hugo, Hernani, III, 4)
- (Chirurgie) Opération qui consiste à diviser, à dilater ou à séparer des parties dont le rapprochement, l’union ou la continuité sont nuisibles.
- (Logique) Procédure dichotomique qui enrichit la compréhension d’un concept en en diminuant l’extension : A se divise en B et non-B ; schématisée dans l’arbre de Porphyre.
- Parmi les corps, les animés et les non-animés (tels les minéraux ou les plantes), parmi les animés ceux doués de raison (les hommes) et ceux qui ne le sont pas.
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pièze
- Unité de pression qui correspond à 1 sthène au mètre carré.
- L'unité MTS de pression est la pièze : c'est la pression uniforme qui, agissant sur une surface d'un mètre carré, produit une force d'un sthène. — (Georges Bruhat, Cours de thermodynamique à l'usage de l'enseignement supérieur scientifique et technique, 1926)
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plasmaphérèse
- (Médecine) Méthode de séparation physique (centrifugation) du plasma d'avec les éléments figurés du sang.
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mayonnaise
- selon Bescherelle[1] et Grimod de la Reynière sus-cité, corruption de bayonnaise → voir béarnaise.
- corruption de mahonnaise (non attesté en français avant mayonnaise) dérivé de (Port) Mahon, capitale de Minorque, en souvenir de la prise de cette ville par le Duc de Richelieu en 1756 mais le hiatus temporel entre la victoire française et le mot culinaire est très grand.
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béarnaise
- (Cuisine) Préparation à base de beurre, de jaune d’œuf, d’échalote et d’estragon, servie pour relever les viandes.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- carcinogenèse
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taise
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de taire.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de taire.
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catachrèse
- (Rhétorique) Figure de style qui consiste à détourner un mot de son sens propre en étendant sa signification : le pied d'une table, être à cheval sur une chaise, les ailes du moulin, la plume d’un stylo, les dents d’une scie. C'est « une métaphore dont l'usage est si courant qu'elle n'est plus sentie comme telle »[1].
- Il se souvint tout à coup d'une vieille chronique où il avait, pour flétrir, stigmatiser, juvénaliser les comportements bourgeois, […] projeté le feu rouge des catachrèses les plus imprévues, des synecdoches les plus arbitraires, des antonomases les plus follement tirées par les cheveux, […]. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, pages 81-82)
- (Musique) Action de sauver une dissonance d’une manière dure, inusitée[2].
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fournaise
- Grand four où brûle un feu violent.
- Pendant que l’un d’eux battait le briquet et faisait de la lumière, l’autre étala le charbon sur le gril rouillé […] et commença de faire jouer le soufflet jusqu’à ce que le combustible fût devenu une fournaise rougeâtre. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- (Canada) Calorifère, chaudière (appareil fabricant de la vapeur d’eau).
- (Par extension) Grand feu ou incendie qui consume tout.
- C'est pourtant du sein de cette fournaise, d'où la salamandre elle-même ne sortirait que calcinée, que le lendemain d’héroïques pompiers de Rouen et d’Orléans ont eu le courage et le bonheur d’arracher le double du grand livre de l’État, dont l'autre exemplaire avait, dit-on, péri la veille dans l’incendie du ministère des finances. — (Annales religieuses et littéraires de la ville et du diocèse d'Orléans, vol. 11, n° 10 du 3 juin 1871, Orléans : chez l'abbé Gélot & à l'imprimerie d'Ernest Colas, page 159)
- Les bourreaux se précipitèrent sur eux et les jetèrent à nouveau dans la fournaise. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- La partie basse de New York ne fut bientôt plus qu’une fournaise d’où nul n’avait chance d’échapper. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 243 de l’édition de 1921)
- (Par hyperbole) (Familier) Endroit où il fait très chaud.
- Zanetta frissonna. Quelque chose d'ancien, de subtilement vivant se composait et se décomposait dans cette végétation au rythme ralenti par la fournaise de l'été. — (Jacques-Pierre Amette, Un été chez Voltaire, Éditions Albin Michel, 2009)
- Après avoir traversé une chambre fraîche et sombre meublée de deux charpoy et préservée de la fournaise caniculaire par la taille minuscule des fenêtres, ils pénétrèrent dans une deuxième pièce, plus lumineuse, où se trouvaient deux lits […]. — (Alison McQueen, La promesse d'un ciel étoilé, traduit de l'anglais par Isabelle Chapman, Paris : Éditions France loisirs, 2015, Presses de la Cité, 2017)
- Comment pouvez-vous tenir dans cette fournaise ? - Cette chambre est une vraie fournaise.
- (Sens figuré) Zone de combat.
- Quatre classes d’individus bien distinctes s’agitent dans cette fournaise politique : les nobles ou gros, le clergé, la bourgeoisie, les paysans ou métayers. — (Alexandre Dumas, La Vendée après le 29 juillet, La Revue des Deux Mondes, tome 1, 1831)
- Bitche n’est plus qu’une vaste fournaise : le sifflement des obus, les craquements de l’incendie, l’effondrement des maisons, […], toutes les terreurs, tous les fracas emplissent l'air. — (Général Ambert, Récits militaires : L’invasion (1870), page 431, Bloud & Barral, 1883)
- L’édifice entier de la civilisation se lézardait, croulait et s’anéantissait dans la fournaise de la guerre. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 405 de l’édition de 1921)
- J'ai vu certes ces foules paisibles soulevées par la voix d'un prophète et s'en allant fondre à sa suite dans la fournaise du combat. — (Antoine de Saint-Exupéry, Citadelle (1948), CXXXVII)
- geraise
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punaise
- Nom désignant de nombreuses sortes d’insectes, souvent de forme plate, qui émettent une odeur désagréable lorsqu’ils sont effrayés ou tués.
- Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises !Échouages hideux au fond des golfes brunsOù les serpents géants dévorés des punaisesChoient, des arbres tordus, avec de noirs parfums ! — (Arthur Rimbaud, Le Bateau ivre)
- Les punaises ont des mœurs particulières ; elles attendent que la bougie soit soufflée, et, sitôt dans le noir, s’élancent. Elles ne se dirigent pas au hasard ; vont droit au cou, qu’elles prédilectionnent ; s’adressent parfois aux poignets ; quelques rares préfèrent les chevilles. On ne sait trop pourquoi elles infusent sous la peau du dormeur une subtile huile urticante dont la virulence à la moindre friction s’exaspère… — (André Gide, Les Caves du Vatican, 1914)
- C’est ainsi que parmi les insectes nous trouvons beaucoup d’espèces d’animaux comme la punaise qui exhalent une odeur fétide. — (Marcel Hégelbacher, La Parfumerie et la Savonnerie., 1924, page 15)
- […] dans l’atelier sordide où nous nous réunissions, aux murs moisis et chargé de punaises qui avaient du moins l’utilité, en nous empêchant de dormir, d’éterniser nos conversations. — (Michel Leiris, L’âge d’homme, 1939, réédition Folio, pages 184-185)
- (Par analogie) (Péjoratif) Personne petite, malingre, peu imposante.
- Peut-être n’avait-il jamais pensé qu’il était si petit. Lucien se promit de l’appeler punaise, dès le lendemain matin à la récréation. — (Jean-Paul Sartre, L'enfance d’un chef, 1938)
- (Familier) (Par extension) Personne malveillante.
- A celle-ci je pourrais dire, si elle n’avait pas rendu sa vilaine âme au diable : « Si je suis encore en vie, sale punaise, ce n’est vraiment pas de ta faute. » La suite de mon histoire vous prouvera combien est justifiée mon apostrophe. — (J'ai été fusillé… 30 mars 1944 : à Dagnac, commune de Villac, canton de Terrasson, Dordogne, récit d’André Pommarel, rapporté par René Delmas, Paris : Éditions Éditeur Indépendant, 2007, page 18)
- Petit clou court, à tête plate et large, dont on se sert pour fixer au mur ou sur une planche des feuilles de papier, des images, des affiches, etc.
- Rien n’y manque : le photographe n’a oublié ni le tapis de velours ponceau et les livres dorés sur tranches, ni le fauteuil vaguement Renaissance agrémenté de punaises en cuivre et lourdement capitonné. — (Pierre Froger, Autrefois… chez nous : Livre de raison d’une Famille de l’Ouest, Angers : chez H. Siraudeau & Cie, 1950, page 89)
- En passant devant le panneau où les vues du film étaient affichées, Frédéric fit semblant de s’arrêter pour voir et, protégé par son manteau, dans la bousculade du public, il fait sauter les quatre punaises qui retenaient la photographie de Suzy Prim, dansant devant la mer sur un rocher, tel le personnage de l’ouate Thermogène sur l’affiche de Cappiello. — (Alexandre Vialatte, Fred et Bérénice, Le Rocher, 2007, page 67)
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cymaise
- (Désuet) Variante orthographique de cimaise.
- Et au regard des lancieres jambes de cheminée et cymaises, le voisin les pourra percer tout outre le dit mur, pour y asseoir les dites lancieres et cymaises afleur du dit mur. — (Coust. génér., tome I, page 201, (XVIe siècle))
- S’il est petit, il [le dôme] n’est plus qu’une calotte ignoble qui s’élève au-dessus des entablements tout exprès pour rompre la ligne harmonieuse de la cymaise. — (François-René de Chateaubriand, Itinéraires de Paris à Jérusalem 97)
- immunoélectrophorèse
- péloponnèse
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foutaise
- (Familier) Chose sans importance, sans utilité, sans intérêt, dénuée de sens.
- Quand il arriva vers chez Doni, pouf ! il prit une première bûche en jurant des « tonnerre de Dieu ! » contre ce sale chemin que le père Bréda, le cantonnier (un feignant qui n’avait fait que sept ans et la campagne d’Italie, quelle foutaise !) entretenait salement mal. — (Louis Pergaud, La Guerre des boutons, 1912, livre I)
- Un éditeur […] lui proposa de rafistoler les manuscrits d'un grand faiseur feuilletonnesque. […]. Henri se mit à la besogne, remania l'infâme et crasseuse foutaise du romancier célèbre, pimenta cette ratatouille sans goût. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 32)
- (Familier) Mensonge, fausseté.
- Quand on parle de racisme, on pointe toujours les autres.Eux sont racistes, pas moi !Foutaise. On a tous nos préjugés. — (Richard Martineau, « Le racisme ordinaire », Le Journal de Montréal, 4 octobre 2020)
- On ne peut tout de même pas espérer d’être récompensé au Ciel quand on a, pendant toute sa vie, manqué de respect à la République qui est notre mère à tous que nous sommes…– Comédie ! Foutaise ! s’écria le curé. C’est une manœuvre ! » — (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, collection Le Livre de Poche, page 190)
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navarraise
- Féminin singulier de navarrais.
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dièse
- (Musique) (Solfège) Symbole graphique, formé de deux doubles barres croisées, (♯) appartenant à la famille des altérations et dont la fonction est d’indiquer sur la partition, que la hauteur naturelle de la note associée à ce dièse, ou à la clef, sur la ligne où se place la note, doit être élevée d’un demi-ton chromatique.
- Cette note est marquée d’un dièse. Dans le ton de sol, il y a un dièse à la clef, sur la ligne du fa.
- (Quelquefois) Note haussée d’un demi-ton, abstraction faite des signes.
- Il y a deux dièses dans le ton de ré.
- (Quelquefois) Touche d'un instrument à clavier provoquant l'émission d'un dièse au sens qui précède
- Il est de fait, poursuivit l’artiste, que mes dix doigts ayant dix ans de travaux forcés sur les cinq octaves, je manipule assez agréablement l’ivoire et les dièses. — (Henry Murger, Scènes de la vie de bohème , 1848)
- (Courant) (mais erroné) Le symbole #, dont le nom est en réalité croisillon.
- Appuyez sur la touche dièse de votre téléphone.
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jèze
- (Familier) Appellation populaire des jésuites.
- Le jeune jèze enfourcha son vélo. — (Jean de La Guérivière, Les Bons Pères, 2008)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.