Dictionnaire des rimes
Les rimes en : affadit
Que signifie "affadit" ?
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- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de affadir.
- Troisième personne du singulier du passé simple de affadir.
Mots qui riment avec "i"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "affadit".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : i , is , it , its , ix , ie , ies et y .
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acidimétrie
- Mesure de la concentration d’un acide ou d'une base par des dosages acido-basiques.
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appris
- Participe passé masculin (singulier ou pluriel) du verbe apprendre.
- Mais, le temps de finir mes haricots sautés et de demander à boire pour Georgia et moi, j’ai appris d’elle que le surineur s’appelle Miguel Mercado, et que sa délicieuse partenaire est une Franco-Espagnole du nom de Lina Royale. — (Richard S. Prather, Un strapontin au paradis, traduction de Maurice Tassart, Gallimard, 1951, page 25)
- Première personne du singulier du passé simple du verbe apprendre.
- Deuxième personne du singulier du passé simple du verbe apprendre.
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aplasie
- (Médecine) Absence d'un organe provoquée par l'absence ou l'insuffisance de développement de son ébauche embryonnaire.
- L’aplasie mammaire est un arrêt du développement de la glande mammaire entrainant une absence de seins, l’aplasie surrénalienne, l’aplasie cutanée.
- L’aplasie cutanée congénitale est définie par l’existence, à la naissance, d’une ulcération ou d’une cicatrice cutanée d’aspect et de forme variables. — (Emmanuelle Odinet, L’Aplasie cutanée congénitale du vertex: à propos de deux cas familiaux, 1994)
- (Par extension) On parle également d'aplasie lors de l'arrêt de la multiplication cellulaire dans un tissu qui se renouvelle habituellement en permanence
- L’aplasie médullaire est une maladie du sang caractérisée par une diminution de la production par la moelle osseuse des trois lignées sanguines que sont les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes.
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tri
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du trio.
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accueillie
- Participe passé féminin singulier de accueillir.
- Arrivée dans la soirée à bord d’un avion militaire américain, la dirigeante a été accueillie à son arrivée par Joseph Wu, le ministre taïwanais des Affaires étrangères. — (journal Le Télégramme, édition Morlaix, 3 août 2022, page 4)
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amphibologie
- (Rhétorique) Arrangement des mots d’une phrase qui peut la faire interpréter en deux sens différents et même contraires.
- Il y avait souvent de l’amphibologie dans les oracles.
- Il y a dans cette phrase une amphibologie.
- L’inversion produit souvent des amphibologies.
- En français, des phrases comme Le chat saute sur la table., J’ai nommé mon fils Adolphe, contiennent une part d’amphibologie.
- Quoique la langue française s’énonce communément dans un ordre qui semble prévenir toute amphibologie, cependant nous n’en avons que trop d’exemples. — (Jean-Claude Polet, Patrimoine littéraire européen: actes du colloque international: Namur, 26, 27 et 28 novembre 1998, 2000)
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écrit
- Recouvert de signes graphiques, se dit spécialement d’un papier, d’un parchemin, etc., sur lequel on a écrit ; antonymes : blanc, vierge.
- Ce n’est pas un papier blanc, c’est un papier écrit.
- Papier écrit des deux côtés.
- Inscrit, marqué, enregistré au moyen de l’écriture ; antonyme : oral.
- Une autorisation écrite.
- Demain, vous aurez une interrogation écrite.
- (Droit) Qui a une valeur juridique fondée sur la jurisprudence, un code, etc. ; antonyme : coutumier.
- C’est un pays de droit écrit.
- Marqué.
- Cet homme porte le malheur écrit sur son visage.
- Il portait son crime écrit sur son front, sa condamnation écrite sur le front.
- Mot exprimant le fatalisme.
- Il était écrit là-haut que ce jour-là, il me faudrait passer par toutes les émotions. Cette dernière fut si forte, que je ne trouvai rien à dire ; je restai assis, les bras croisés, attendant ce qui allait arriver. — (François-Auguste Biard, Deux années au Brésil, 1862)
- Qui suppose un travail de composition, de rédaction, rédigé, soutenu, littéraire.
- Quant à la forme, pas la moindre recherche ni même la moindre élégance; rien de la grâce ni de la finesse de son style écrit. Il parle pour se faire comprendre, voilà tout. — (Lemaitre, Les Contemporains,1885, p. 199)
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phénix
- (Mythologie) (Fantastique) Oiseau fabuleux qui, disait-on, était unique en son espèce, vivait plusieurs siècles et renaissait de ses cendres.
- Le phénix devint rapidement une figure familière dans les cercles paracelsistes, tout en suscitant des exégèses assez variées. — (Michael Maier, Sylvain Matton, Jacques Rebotier, Chansons intellectuelles sur la résurrection du Phénix, traduit du latin par M. L. L. M. (Monsieur L’abbé [Jean-Baptiste] Le Mascrier), Debure l’aîné, Paris, 1758, reproduction de J.-C. Bailly Éditeur, 1984)
- Autrement dit, le Phénix salamandrique habite dans le feu et il est l’âme iliastrique dans l’être humain. — (ibid.)
- Pour Paracelse, en effet, Adam et Ève existaient avant la chute dans un état de divine perfection qui est la « vie iliastrique » ; en revanche, après la chute, le corps de l’homme devint sujet à la corruption, et cet état correspond à la « vie cagastrique ». Toutefois au sein même de la vie cagastrique subsiste un résidu de la vie iliastrique. Ainsi y a-t-il dans l’homme à côté de l’âme cagastrique une âme iliastrique, qui correspond au phénix alchimique. — (ibid.)
- Jacques Gohory (1520–1576) insiste, en trahissant son vif intérêt pour la magie et son admiration pour Trithème, sur la signification alchimique du phénix. Après avoir décrit ce dernier d’après Pline et Albert le Grand, ainsi que le basilic, Gohory poursuit : « Je conclurai de tous ces mystères que dans les paraboles le Phénix, le Basilic, la Glaure [sic : hapax ?], la Mandragore, le Caméléon sont une même chose à propos de laquelle Roger Bacon écrit […] — (ibid.)
- Le phénix ce bûcher qui soi-même s’engendreUn instant voile tout de son ardente cendre — (Guillaume Apollinaire, « Zone », dans Alcools, 1913)
- Et je chantais cette romanceEn 1903 sans savoirQue mon amour à la semblanceDu beau Phénix s’il meurt un soirLe matin voit sa renaissance. — (Guillaume Apollinaire, « La Chanson du Mal-aimé », dans Alcools, 1913)
- (Sens figuré) Personne que l’on prétend être unique ou rare dans son espèce, que l’on trouve supérieure à toutes les autres personnes qui suivent la même carrière.
- Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois. — (Jean de La Fontaine, « Le Corbeau et le Renard », dans Fables)
- On craignit, en recevant ce phénix berruyer, de ne pas dire des choses assez spirituelles, et naturellement on se gourma devant Mme de La Baudraye, qui produisit une espèce de terreur parmi la gent femelle. — (Honoré de Balzac, La Muse du Département, juin 1843-août 1844)
- (Botanique) Genre de palmiers de nom scientifique Phœnix[1].
- Je fus introduit par un laquais en petite tenue — habit noir sur pantalon gris fer — dans un hall jonché de peaux de bêtes, entre des floraisons excessives de phénix et de lataniers. — (Maurice Dekobra, La Madone des sleepings, 1925, réédition Le Livre de Poche, page 28)
- (Agriculture) Variété de coq domestique du Japon dont les plumes de la queue sont très longues.
- Race de poules décoratives, originaires du Japon, de taille moyenne, à très longues plumes chez le coq.
- (Héraldique) Meuble représentant l’animal fabuleux du même nom dans les armoiries. Il est généralement représenté sous la forme d'un oiseau aux ailes éployées, la tête tournée vers l’angle chef dextre, le bas du corps disparaissant dans un brasier appelé immortalité en héraldique. On doit toujours blasonner la couleur du brasier.
- D'azur au phénix d’or sur son immortalité de gueules, qui est de Sermaize-les-Bains de la Marne → voir illustration « armoiries avec un phénix »
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analgésie
- (Médecine) Insensibilité à la douleur physique.
- En dehors de l’effet d’une analgésie intense, d’ailleurs non évaluée, ils n’excluaient pas un effet dépresseur sympathique mais celui-ci n’a pas été validé par des dosages de catécholamines. — ( Société française d’anesthésie et de réanimation, Sédation, analgésie et curarisation en réanimation, 2000)
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pertuis
- Ouverture ; trou.
- Je te salue o vermeillette fante, Qui vivement entre ces flancs reluis : Je te salue o bienheuré pertuis, Qui rens ma vie heureusement contante. — (Pierre de Ronsard, Livret de folastries, à Janot parisien, édition conforme au texte original de 1553, collationnée sur l’exemplaire de la Bibliothèque de l’Arsenal, augmentée d’une bibliographie de chaque pièce de toutes les variantes, d’un glossaire et d’une notice, par Fernand Fleuret & Louis Perceau, Bibliothèque des curieux, 1920, page 94)
- D’un geste rapide, il entrouvre, comme disait Rabelais, sa braguette, et dirige un vigoureux et long jet d’eau blonde, avec adresse, sur les vingt pertuis du judas. — (René Boylesve, La leçon d’amour dans un parc, Calmann-Lévy, 1920, réédition Le Livre de Poche, page 81)
- (Marine) Trou, ouverture ; en particulier, ouverture pratiquée à une digue pour le passage des bateaux ou celle par laquelle l’eau passe d’une écluse dans un coursier pour faire mouvoir une roue.
- (Toponymie) Détroit, passage resserré entre une île et la terre ferme, ou entre deux îles. — (IHO SP-23, 4e édition (en préparation), Nomenclature des espaces maritimes au 01.01.2004, Commission nationale de toponymie [de France] (CNT), Service hydrographique et océanographique de la Marine (SHOM), au nom de l’OHI (Organisation hydrographique internationale), 2004)
- De ce côté, le rivage, capricieusement festonné, creusé de criques et d’anses, hérissé de caps aigus et de promontoires abrupts, allait se perdre dans ce confus enchevêtrement de détroits, de pertuis, de passes, qui donne aux cartes des continents polaires un si bizarre aspect. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
- Vers le large, un chenal bordé de vasières grises sinuait entre les étendues de joncs et accédait à la mer libre par un pertuis entretenu à travers la flèche des lagunes. — (Julien Gracq, Le Rivage des Syrtes, José Corti, 1951)
- (Toponymie) Étranglement d’un fleuve.
- Les pertuis de la Loire sont nombreux avant qu’elle n’atteigne la plaine.
- (Populaire) (Vieilli) Bouche.
- […] il avait encore, entre le nez et le menton, un sacré pertuis qui lui coûtait fort cher pour ce qu’il réclamait, étant toujours à sec, de fréquents et copieux arrosages. — (Louis Pergaud, L’Évasion de Kinkin, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- (Médecine) Petit trou dans l’oreille souvent présent au niveau de l’hélix.
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accourcit
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe accourcir.
- Troisième personne du singulier du passé simple du verbe accourcir.
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détruit
- Participe passé masculin singulier de détruire.
- Terme ultime d’une interrogation à laquelle, comme d’habitude, Flaubert n’apporte pas de solution, mais à quoi Maupassant répond (et cela aussi c’est déflaubertiser) : le livre va au néant - ou au feu -, car l’ouvrage qui se feuillette tout seul dans “Le Horla” sera détruit dans l’incendie sur lequel se clôt le récit. — (Liana Nissim, Le Letture/la lettura di Flaubert: Gargnano del Garda, Gargnano del Garda, 7-10 aprile 1999, 2000, page 191)
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de détruire.
- On détruit, on nettoie, on re-détruit, on re-nettoie. — (Philippe Labro, journal CNEWS, 7 décembre 2018, page 6)
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anordit
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe anordir.
- Troisième personne du singulier du passé simple du verbe anordir.
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muphti
- (Islam) Interprète de la loi musulmane.
- (Sens figuré) (Par euphémisme) Ecclésiastique de n’importe quelle religion revêtu d'un pouvoir (mot utilisé par les écrivains des Lumières pour ne pas avoir l’air de critiquer la religion catholique).
- Enfin le muphti fit condamner le livre par des jurisconsultes qui ne l’avaient pas lu, et l’auteur eut ordre de ne paraître à la cour de huit cents années. — (Voltaire, Micromégas, chapitre premier)
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suit
- (Louisiane) Suivi (participe passé).
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envie
- Chagrin ou haine que l’on ressent du bonheur, des succès, des avantages d’autrui.
- Sa nomination lui attire l’envie de bien des gens.
- On fait souvent vanité des passions même les plus criminelles ; mais l’envie est une passion timide et honteuse que l’on n’ose jamais avouer. — (La Rochefoucauld, Maximes -1664)
- L’envie est plus irréconciliable que la haine. — (La Rochefoucauld, Maximes -1664)
- Notre esprit d’envie, de méfiance et de dissensions nous empêchera, longtemps encore je le crains, de nous mettre d’accord ; […]. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Sentiment de vouloir jouir d’un avantage pareil à celui d’autrui.
- Votre sort, votre bonheur est digne d’envie.
- Ce pauvre, tout ce qu'il a, tout ce qui lui reste, c'est l'envie – et surtout pas le désir. Le désir renvoie à la joie de l'existence [...], il est l'augmentation de la puissance d'exister, alors que l'envie est la négation de ce qui existe maintenant, négation qui relève de la fuite perpétuelle dans un devenir-soi-autre qui n'aboutit jamais. « Il a envie, c'est tout ce qu'il a. » — (Sébastien Mussi, Le nous absent, Liber, Montréal, 2018, page 61)
- Désir, volonté.
- Rien n’empêche tant d’être naturel que l’envie de le paraître. — (La Rochefoucauld, Maximes, 1664)
- Des envies folles lui venaient de rosser Blanchette à coups de trique ; mais cela ne changerait rien à la situation, et, furibond il sacrait comme un païen pour se soulager un peu. — (Louis Pergaud, L’Argument décisif, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Céline Thiébault était alors une jeune fille « bienfaisante », une de ces grandes filles brunes qui paraissent vingt ans au lieu de quinze, de celles qu’à la campagne on compare volontiers à une pouliche et que les hommes, vieux et jeunes, détaillent avec une basse envie, un violent désir. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 19)
- Avoir envie, une extrême envie de dire, de savoir, d’apprendre, etc.
- Je n’ai nulle envie de vous nuire.
- Si l’envie lui en prend. L’envie lui a pris d’aller à Rome.
- L’odieux d’une chose.
- De Mesmes n’avait rien oublié pour jeter sur moi toute l’envie de la collusion avec les ennemis de l’État. — (Cardinal de Retz, II, 251)
- Besoin corporel.
- Néologisme anglo-saxon, l’urgenturie désigne une envie impérieuse et brusque d’uriner difficilement contrôlable et aboutissant le plus souvent à une perte d’urine. — (« L'incontinence urinaire par urgenturie : un besoin impérieux d’uriner », 30/09/14, Cours étudiants en soins infirmiers, sur le site infirmiers.com (www.infirmiers.com))
- Petites portions de peau qui se détachent autour des ongles, et causent une assez vive douleur si on les arrache.
- Les petites peaux autour des ongles sont appelés des « envies ». Il s’agit de petits fragments de peau, adhérents à la peau sous-jacente et souvent douloureux ou sensibles. Ils ne donnent qu’une envie (d’où leur nom) : les arracher. — (www.dermatonet.com, 2017)
- Désir, notamment d’ordre alimentaire, exprimé par la femme enceinte pendant sa grossesse.
- Potard.– Pendant sa grossesse, ma femme a eu des envies ruineuses… elle ne voulait manger que du melon et des fraises…Norine.– Moi, j’avalais des boîtes de sardines.Potard.– J’aurais préféré des sardines, parce que les melons et les fraises… au mois de janvier… ça coûte cher !… mais j’avais peur que le petit n’en fût marqué. — (Eugène Labiche, L’affaire de la rue de Lourcine, 1857, Scène 12)
- Tache de naissance sur la peau qu’on pensait ressembler aux objets dont la mère aurait eu envie pendant sa grossesse.
- Les envies sont comme des nuées : on y voit ce que l’on veut. — (Charles Bonnet, Consid. corps org. Œuvres, t. VI, page 400, dans Pougens)
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adonis
- Jeune très beau, bel homme, bel éphèbe.
- Et puis qu’est-ce que deviendrait la repopulation, s’il fallait condamner au célibat tous ceux qui ne sont pas des adonis. — (André Gide, Les Faux monnayeurs, 1925)
- Sans être un adonis, c’était un garçon au-dessus de la trentaine, avec les cheveux et les dents de son âge, avec de bonnes épaules dans un bon veston et assez de figure pour satisfaire son monde. — (Hervé Bazin, Chapeau bas, Seuil, 1963, Le Livre de Poche, page 266)
- Son corps n'est plus tellement d'un éphèbe. Il a beau ne vivre qu'à l'ombre pour conserver sa peau blanche laiteuse, il commence à n'être plus un Adonis. — (Henri Charrière, Papillon, éditions Robert Laffont, 1969, page 401)
- (Botanique) Synonyme de adonide.
- Bien sûr, il n’attendait pas un miracle de cette longue feuille rugueuse couverte d’un duvet blanchâtre, mais il eut soudain une envie désespérée de chercher, dans cette prairie aux couleurs chatoyantes et aux odeurs capiteuses, les plantes médicinales dont le nom lui revenait à la mémoire : l’aconit, la belladone, l’ergot de seigle, la stramoine, la jusquiame, le colchique, la digitale, l’adonis, le sénevé, le raisin d’ours, la gentiane, le muguet, la saponaire, la prêle, la potentille, la quintefeuille, le tussilage, le millepertuis, le genévrier, la mille-feuille, l’orchidée, l’aunée, le mélilot et la myrtille. — (Branimir Šćepanović, La Bouche pleine de terre, 1975. Traduit du serbo-croate par Jean Descat, 1975. Éditions du Rocher, 2008, pages 77-78)
- Plus dangereux, l’adonis d’été (Adonis aestivalis) est une petite plante annuelle aux feuilles découpées en fines lanières, caractérisée par une belle floraison rouge vif. — (Cécile Lemoine, Les plantes toxiques, 2004)
- (Zoologie) Synonyme de azuré bleu céleste.
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poésie
- Art de faire des ouvrages en vers.
- La poésie de la renaissance ne peut pas se contenter de cette simplicité biblique, et, pour célébrer cette nuit de réparation, elle appelle la Joie, personnage allégorique… — (Saint-Marc Girardin, L'Épopée chrétienne, dans la Revue des deux mondes, V.6, 1850, page 156)
- Ce cabinet était la demeure favorite du roi; c’était là qu’il prenait ses leçons d’escrime avec Pompée, et ses leçons de poésie avec Ronsard. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre III)
- Mais il était poète aussi et la poésie, à cette époque d’absolutisme et de barbarie, était chose dangereuse lorsqu’on avait l’esprit aussi caustique que Thierrat; […]. — (Gustave Fraipont, Les Vosges, 1895)
- La poésie du Divan et la poésie populaire, issues de classes sociales différentes, ont su parfois puiser aux mêmes sources d’inspiration : mais ce qui forme entre elles cloison étanche, c’est la forme de la langue : la poésie du Divan emploie le vers métrique, la poésie populaire le vers syllabique. — (Nimet Arzık, Anthologie des poètes turcs contemporains, Gallimard (NRF), 1953, page 10)
- (Spécialement) Différentes matières que l’on traite en vers et des différents styles qu’on y emploie.
- Poésie sacrée.
- Mais le seul nom qui ait été sauvé de l’oubli, dans la poésie profane, est celui de ce médiocre rimeur de Mathieu-le-Juif, d’Arras, qui vivait au XIIIe siècle […]. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- Poésie noble, élevée, poésie burlesque.
- Poésie familière.
- Art et manière de faire des vers, de la simple versification.
- Il a choisi un genre de poésie convenable à son sujet.
- Qualités essentielles au genre poétique.
- La poésie est une clameur, elle doit être entendue comme la musique. Toute poésie destinée à n’être que lue, est enfermée dans sa typographie n’est pas finie, elle ne prend son sexe qu’avec la corde vocale tout comme le violon prend le sien avec l’archet qui le touche. — (Léo Férré)
- Ouvrage en prose qui tient de l’élévation et du sentiment poétiques.
- Il y a de la poésie dans Pascal, dans Bossuet.
- Les écrits de Platon sont pleins de poésie.
- Liberté, richesse particulière aux pensées, aux expressions, aux tours que l’on emploie dans la poésie.
- La poésie du style
- C’est la poésie du style qui a fait le succès de l’œuvre de Chateaubriand.
- Ce qu’il y a d’élevé, de touchant dans une œuvre, dans le caractère ou la beauté d’une personne, dans les aspects de la nature ou dans une situation.
- Il y a de la poésie dans ses regards, dans sa manière de s’exprimer.
- La poésie d’un paysage.
- La poésie d’un tableau.
- Un peu de poésie est introduite par le biais du soleil couchant. — (Bruno Chenu, Disciples d'Emmaüs, Bayard, Paris, 2003, p. 100)
- Ensemble des ouvrages en vers composés dans une langue, ou selon leurs caractères communs les plus généraux, ou des traits auxquels se reconnaît la manière d’un poète.
- Si les pièces qu’on y insère n’ont pas toutes le même mérite, au moins est-on sûr de n’y jamais rencontrer de ces fades et plattes rimailles qui, tant de fois on servi de prétexte à calomnier la Poésie. — (Journal de Paris, no 1, 1er janvier 1777, page 1)
- La poésie française.
- La poésie anglaise.
- La poésie de Victor Hugo, de Lamartine.
- La poésie grecque nous charme par son naturel.
- Tableau de la poésie française au XVIe siècle, par Sainte-Beuve.
- Une histoire de la poésie anglaise.
- Ouvrage en vers ; il ne se dit guère que des Ouvrages de peu d’étendue et s’emploie surtout en parlant des modernes.
- Les poésies de Malherbe, de Racan.
- Recueil de poésies satiriques, de poésies morales, de poésies fugitives.
- (Éducation) (Belgique) (Plus rare) Classe de cinquième secondaire, équivalente à la première française, où l’on enseigne la poésie.
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ralenti
- Mouvement à vitesse plus basse.
- Et puis, si aucun cataclysme soudain n’a décisivement transformé l’aspect naturel des choses, d’un seul coup, depuis un siècle, il est cependant vrai qu’au ralenti une catastrophe inéluctable impose à cette partie de la France, cette fatale loi d’impermanence. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- (Cinéma) Déroulement d’un film, à vitesse plus basse que la norme.
- La scène de la chute est présentée au ralenti.
- (Technique) Régime de ralenti d'un moteur à combustion interne.
- Les gaz poussèrent des bulles dans le naphte, une sorte de glouglou régulier qui couvrait le bruit du moteur au ralenti. — (Georges Arnaud, Le Salaire de la Peur, 1950)
- Je viens pour le réglage du ralenti de ma voiture.
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allogamie
- (Biologie) Cas de reproduction sexuée où le gamète mâle vient d’un autre individu que le gamète femelle.
- L’allogamie (fécondation croisée) généralisée est dans une large mesure la conséquence de ces caractéristiques, avec une réserve pour les espèces de forêts denses équatoriales. — (Alphonse Nanson, Génétique et amélioration des arbres forestiers, 2004)
- Le prix de l’allogamie forcée est l’incertitude d’un partenaire : du pollen viendra-t-il à temps ? Au contraire, l’autofécondation est plus propice à une nombreuse descendance et évite les pertes de pollen à la dispersion. — (Marc-André Sélosse, La fleur, entre hésitations et intrigues, Jardins de France, septembre-octobre 2016)
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affranchit
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de affranchir.
- Troisième personne du singulier du passé simple de affranchir.
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fit
- (Linguistique) Code ISO 639-3 du finnois tornédalien.
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apprécie
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe apprécier.
- J’apprécie leurs présentations de la démarche pérégrinaire qui, par la suite, devait largement me servir de viatique : ni mystico-dingo, ni ambiance trek. — (Alain Cazenave-Piarrot, Voyage vers Compostelle, 2015)
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe apprécier.
- Il ne voit rien à fond ; des hommes et des lieux, il en apprend les noms ; des choses, il en apprécie les surfaces ; il a son mètre particulier pour tout auner à sa mesure. — (Honoré de Balzac, L’Illustre Gaudissart, 1834)
- Le caractère oxydant ou réducteur d’une espèce s’apprécie toujours par rapport à une autre espèce sur l’échelle des potentiels redox. — (François Badin, Les véhicules hybrides, 2013, page 190)
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe apprécier.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe apprécier.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe apprécier.
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desservie
- Participe passé féminin singulier de desservir.
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anesthésiologie
- (Médecine) Branche de la médecine qui se consacre à l’anesthésie.
- L’anesthésiologie comprend actuellement l’étude concomitante de l’anesthésie proprement dite et celle de la réanimation. — (,Louis Noël Marcenac, G. Leroy, Anesthésiologie vétérinaire, 1967)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.