Dictionnaire des rimes
Les rimes en : acquérons
Que signifie "acquérons" ?
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- Première personne du pluriel de l’indicatif présent de acquérir.
- Première personne du pluriel de l’impératif de acquérir.
Mots qui riment avec "on"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "acquérons".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : on , ons , ont , onts , ond , onds , omb , ombs , noms et nom .
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abjuration
- Action de rejeter ses idées propres au profit d’une idée nouvelle.
- L’abjuration ne discrédite plus : on sait bien qu’elle est forcée. Que pourraient-ils faire d’autre, sinon aller en prison? dictée mot à mot. — (Victor Serge, Portrait de Staline, 1940)
- Selon la légende, Galilée aurait ponctué son abjuration par : « Et pourtant elle tourne ».
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acétifions
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe acétifier.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe acétifier.
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emmèneront
- Troisième personne du pluriel du futur de emmener.
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leçon
- (Éducation) Petite portion d’une discipline enseignée à un groupe de personnes ou à une seule personne.
- — C’te veine, monologuait-il ! Une classe de gouappée, et moi que j’savais justement pas ma leçon de système métrique. Les mesures de volume, c’est ça qu’est emm… bêtant ! — (Louis Pergaud, L’Argument décisif, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Ce cabinet était la demeure favorite du roi ; c’était là qu’il prenait ses leçons d’escrime avec Pompée, et ses leçons de poésie avec Ronsard. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre III)
- (Éducation) Ce que le maître donne à l’écolier à apprendre et que celui-ci doit répéter, généralement par cœur.
- Arsène André étend ce mépris aux méthodes scolaires. […], une pédagogie qui refuse par système le bénéfice éprouvé des leçons sues par cœur. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- (Par extension) Instructions ou conseils donnés à une personne relativement à sa conduite dans la vie ou dans quelque affaire.
- Cette dépravée, cette aventurière qui vient nous narguer et a le toupet de nous donner des leçons ! — (Ferdinand Déléris, Le Vazaha, l'étranger, page 161, 1995)
- Place Charles-Surugue, des feldgendarmes apprennent aux Auxerrois à traverser dans les passages cloutés qu'ils semblaient ignorer. C'est une leçon de prévention routière avant la lettre. — (Robert Bailly, Les feuilles tombèrent en avril, Paris, Éditions sociales, 1977, page 69)
- Avant de l’envoyer traiter pour moi de cette affaire, je lui ai fait la leçon.
- (Sens figuré) Avertissement salutaire ou correction qu’on reçoit des personnes ou des choses.
- Louis XVIII […] avait appris et retenu cette leçon : ce qui bouge trop meurt vite, et s'était enfermé dans l'étiquette, les usages râpés et les habitudes hiératiques d'antan. — (François Mitterrand, Le coup d'État permanent, 1965)
- Il me parlait malhonnêtement ; mais je lui ai bien fait sa leçon.
- Recevoir une leçon.
- Les leçons de l’expérience sont perdues pour la plupart des hommes.
- Cet événement a été pour moi une bonne leçon.
- Le théâtre peut offrir des leçons profitables.
- (Sens figuré) Réciter sa leçon, Répéter fidèlement ce qu’on vous a recommandé de dire.
- (Paléographie) Texte d’un auteur, par comparaison à une ou plusieurs autres copies du même texte.
- Il y a deux leçons différentes de ce texte. Voici la bonne leçon. Confronter les diverses leçons d’un passage.
- la leçon de Reiffenberg, dous feiz, est sûrement la bonne — (Romania ; recueil trimestriel consacré à l’étude des langues et des littératures romanes., page 379, 1876. Compte-rendu de Gaston Paris)
- leçon : variante textuelle. Les diverses leçons, ou variantes, ornant quasiment chaque verset (grec) du Nouveau Testament sont une aide précieuse pour qui entend rétrovertir le texte vers son hébreu originel. — (Bernard Dubourg, L’invention de Jésus, tome I, « L’hébreu du Nouveau Testament », Paris, Éditions Gallimard, 1987, p. 258)
- Une fois le collationnement refait, le problème qui se posait était celui de l’interprétation des leçons variantes. — (Madeleine Alcover, « Critique textuelle », dans Savinien Cyrano de Bergerac, Les États et empires de la lune et du soleil, Honoré Champion, Paris, 2004, ISBN 2-7453-1079-8, page CXXX)
- (Littérature) Récit qui diffère d’un autre relatif au même fait.
- Vous racontez ainsi l’aventure ; mais il y a une autre leçon, une leçon différente.
- (Catholicisme) Petit chapitre de l’écriture ou des pères, qui fait partie du bréviaire, et que l’on récite ou que l’on chante à matines.
- Il y a trois leçons à chaque nocturne.
- (Musique) Genre musical créé pour accompagner les leçons (au sens de « textes religieux ») pendant la semaine sainte.
- Les leçons de Ténèbres.
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proposition
- Action de proposer, de soumettre à un examen, à une délibération.
- Favrolles prend la parole. Son vide intérieur, son inconscience braillarde se masquent sous l'énergie de ses propositions. — (Léon Trotsky, Le drame du prolétariat français, 1922, annexe à l'édition de 1964 de Littérature et Révolution (les Lettres Nouvelles, éditeur))
- (Spécialement) (Par ellipse) Proposition de loi.
- Chose qui a été proposée.
- La proposition de ce député a été prise en considération.
- Il a retiré sa proposition.
- (En particulier) Chose proposée pour arriver à la conclusion d’une affaire ou à un arrangement.
- Le résultat de cette proposition conciliatrice fut que les deux jeunes gens […] se prirent par le bras, et, ajustant leurs épées, se dirigèrent vers la porte de l’hôtellerie, sur le seuil de laquelle se tenait l’hôte. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
- Tout ce qu'il entendait autour de lui, les tuyaux refilés d'une oreille à l'autre, les vaines discussions d'intérêts sordides, les propositions abracadabrantes, lui occasionnaient parfois des nausées. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930)
- proposition raisonnable, satisfaisante, absurde, ridicule.
- Faire des propositions à quelqu’un.
- Propositions de paix, d’accommodement, de conciliation.
- Expression d’une idée, affirmation ou la négation de quelque chose.
- […], ils formulèrent la proposition suivant laquelle l’obéissance au souverain, bon ou mauvais, était préférable à la fitna (anarchie, désordre). Ce qui équivalait à la consécration formelle du quiétisme politique de l’islam. — (Panayiotis Jerasimof Vatikiotis, L’Islam et l’État, 1987, traduction d’Odette Guitard, 1992, page 93)
- proposition universelle, générale, particulière.
- proposition hasardée.
- proposition insoutenable.
- Soutenir une proposition.
- Condamner une proposition.
- Censurer une proposition.
- proposition en matière de foi.
- (Grammaire) Membre de phrase composé essentiellement d’un sujet et d’un verbe et accessoirement d’un complément ou d’un attribut.
- Le terme de proposition remonte aux grammaires logiques où il désignait toute construction minimale porteuse d'un jugement : l'association d'un sujet (ce dont on dit quelque chose) et d'un prédicat (ce que l'on dit du sujet). Ainsi les grammairiens de Port-Royal analysaient la phrase « Dieu invisible a créé le monde visible » en trois propositions : Dieu a créé le monde — Dieu est invisible — Le monde est visible. Progressivement, la notion de proposition s'est confondue avec celle de phrase pour désigner l'unité syntaxique et prédicative combinant un sujet grammatical et un groupe verbal. — (Martin Riegel et alii, Grammaire méthodique du français, 1994)
- Ce La Fontaine qui me prouvait qu’il existe des propositions dont le verbe est au participe : Marché fait, les oiseaux forgent une machine. Ce Corneille qui me fournissait un exemple de propositions principales juxtaposées : J’ai fait ce que j’ai dû, je fais ce que je dois, tandis que Victor Hugo m’offrait un modèle d’indépendantes juxtaposées :Esclave, apporte-moi des roses !Le parfum des roses est doux ! — (Paul Guth, Le mariage du Naïf, 1957, réédition Le Livre de Poche, page 74)
- La syntaxe moderne nous a déjà habitués à considérer la proposition comme un nexus, un noyau, fonctionnant à la manière d'un accordéon dont les éléments sont extensibles ou comprimables à volonté. — (Cahiers de lexicologie, 1961, volume 2, page 48)
- Un cahier de grammaire m’apprend que la proposition indépendante était dite absolue, la principale pouvait s’appeler aussi primordiale alors que la subordonnée se satisfaisait de secondaire. La nomenclature grammaticale a quelque peu évolué depuis, mais à force de nuances, est-elle devenue plus claire ? — (Édouard Bled, Mes écoles, Robert Laffont, 1977, page 128)
- (Logique) Énoncé doué d’une valeur de vérité, généralement le vrai ou le faux.
- Une phrase impérative ou interrogative n’est pas une proposition logique.
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délivrons
- Première personne du pluriel du présent de l’indicatif de délivrer.
- Première personne du pluriel de l’impératif de délivrer.
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abâtardiront
- Troisième personne du pluriel du futur du verbe abâtardir.
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plairont
- Troisième personne du pluriel du futur de plaire.
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abêtiront
- Troisième personne du pluriel du futur du verbe abêtir.
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rentrons
- Première personne du pluriel du présent de l’indicatif de rentrer.
- Première personne du pluriel de l’impératif de rentrer.
- Rentrons sans tarder à la maison, ça mouillasse ! lui lança-t-elle. — (Alain Dubos, Les Tribus du roi, 2011)
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abrutirons
- Première personne du pluriel du futur du verbe abrutir.
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acérons
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe acérer.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe acérer.
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accentuons
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe accentuer.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe accentuer.
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construisons
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent de construire.
- Première personne du pluriel de l’impératif de construire.
- parkinson
- poséidon
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affaissons
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe affaisser.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe affaisser.
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explication
- Discours par lequel on cherche à faire comprendre un texte, une idée ou une œuvre en ajoutant des renseignements supplémentaires ou en en exposant les détails ou les motifs.
- Cela demande explication.
- L’explication d’une scène, d’un tableau, d’un panorama.
- Cet article n’est pas clair, il peut souffrir/recevoir deux explications différentes.
- La leçon de droit débute par la dictée des cahiers du professeur, et se poursuit par une explication, voire des interrogations. Cette procédure didactique n'est pas sans rappeler l'enseignement du droit tel qu'il se développe depuis le Moyen Âge. — (Nader Hakim, L'autorité de la doctrine civiliste française au XIXe siècle, éditions L.G.D.J., 2002, page 177)
- En vain donc ces dangereux interprètes nous crient que le gros des Pères n'a jamais examiné critiquement, le vrai ou le faux des explications littérales de la Bible ; […]. — (Père Ignace de Laubrussel, Traité des Abus de la Critique en Matière de Religion, Paris : Grégoire du Puis, 1711, volume 2, page 135)
- À la fin des trois confinements, on avait 60 millions d’épidémiologistes tellement nous étions abreuvés d’explications. — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 2 septembre 2022, page 6)
- Ce qui aide à trouver la cause, le motif d’une chose difficile à concevoir.
- Cela me donne l’explication d’un fait dont je n’avais pu encore me rendre compte.
- Informations peu satisfaisantes données pour justifier un acte, un comportement ou une situation; faux-fuyant.
- C'est une gang d'hypocrites ! Menteurs un jour, menteurs toujours ! Ils changeront jamais. Tout le temps des cachettes, des belles explications pour se justifier, du blabla, du blabla… pas autre chose que du blabla. — (Robert Maltais, Le Curé du Mile End, Québec Amérique, 2009, page 251)
- Ce par quoi l'on prouve ou démontre.
- Enfin ne craignons pas de substituer à la science cabalistique ancienne, l’explication du monde par l’observation des phénomènes de la nature. — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France, École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
- Simple traduction ou interprétation orale d’un auteur.
- Le professeur nous fait faire des explications de Virgile, de Tacite.
- Cet élève s’est fort bien tiré de son explication.
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abréaction
- (Psychanalyse) Réaction émotive par laquelle le malade se libère, par des gestes ou des mots, de tendances refoulées dans le subconscient ou d'obsessions résultant d'un choc affectif ancien.
- Nous avions tous deux l’impression d’avoir achevé notre tâche, néanmoins je me disais que, malgré tout, l’abréaction de la tendance réprimée n’avait pas été poussée jusqu’au bout. — (Sigmund Freud, Études sur l'hystérie, traduction de 1956)
- L'abréaction, c'est la réaction différée ou tardive, qui fait revivre l'événement traumatisant accompagné des affects pénibles avec lesquels il avait été vécu, et qui offre à ces affects une voie d'expression propice à leur décharge. — (Louis Crocq, Les traumatismes psychiques de guerre, 1999)
- (Par extension) Toute réaction psychologique de défense par laquelle le sujet se libère d'une émotion en la racontant.
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adouciront
- Troisième personne du pluriel du futur du verbe adoucir.
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discussion
- Action de discuter.
- Cinq mois après l’annonce de la mise en vente du groupe de cinéma CGR (Circuit Georges-Raymond), dont la valeur était estimée à 1 milliard d'euros, « l’heure n’est pas encore aux discussions serrées avec un repreneur potentiel », indique Jocelyn Bouyssy, le directeur général. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 20 août 2022, page 17)
- Quant aux discussions philosophiques, je pense qu’elles sont absolument vaines. On ne peut rien contrôler, rien vérifier. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- Car, insoucieux en effet du temps, ivre de vin et de discussions métaphysiques, le Mousse avait visité une à une toutes les fermes du plateau. — (Louis Pergaud, Le retour, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- La connaissance, dis-je, avancera par la discussion, la confrontation, parlons... — (Philippe Sollers, Éloge de l’infini, Gallimard, page 897)
- Le dialogue est le contraire d'une discussion, qui correspond au langage du plus fort : quand le conjoint exprime une idée, avant même qu'il ne l'ait exprimée à fond, l'autre entre en discussion. Il a son avis sur la chose, et il émet jugements et/ou critiques. […] La discussion est un combat avec un gagnant et un perdant. — (Robert Henckes, Au rendez-vous de Cana, éditions Fidélité, Namur, 1999, page 153)
- (Droit) Recherche des biens d’un débiteur pour les faire vendre en justice.
- Dispute, contestation.
- L’Assemblée de Versailles, […], consuma toute une année en controverses stériles, en discussions puériles, en luttes bysantines. — (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises, A. Duquesne, 1879)
- Les discussions avec les camarades se réglaient toujours à la manière antique, par des bordées d’injures qui précédaient le crêpage en règle des tignasses. — (Louis Pergaud, Une revanche, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Tout ce qu’il entendait autour de lui, les tuyaux refilés d’une oreille à l’autre, les vaines discussions d’intérêts sordides, les propositions abracadabrantes, lui occasionnaient parfois des nausées. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930)
- Le ton péremptoire et l’expression allusive me glacèrent. J’eus le pressentiment d’une discussion immédiate et violente. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 142)
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abrutissons
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe abrutir.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe abrutir.
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garçon
- Enfant ou adolescent mâle, par opposition à fille.
- De ces cervelles fines, la plus fine était la petite Brulette, emmi les filles, et des plus épaisses, la plus épaisse paraissait celle de Joseph, emmi les garçons. — (George Sand, Les Maitres sonneurs, Londres : George Bell & Sons (Les Classiques Français Illustrés, publiés sous la direction de Daniel O’Connor), 1908, page 4)
- Ses deux premières femmes n’avaient pas su lui donner de garçon : tant pis pour elles. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans « Trois contes de l’Amour et de la Mort », Édition Corrêa, 1940)
- Devant nous, sur la chaussée, une bande de jeunes garçons s’efforçaient de maîtriser un kérabau emballé. — (Kazuo Ishiguro, Quand nous étions orphelins, traduit par François Rosso, Éditions Gallimard, 2014)
- Madame, les garçons sont les soucis des mères. — (Victor Hugo)
- (Par extension) Jeune homme.
- Pendant la fête, elle ne quittait pas mon bras et refusait de danser avec les autres garçons du village. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813, J. Hetzel, 1864)
- Il accordait à son frère une grande habileté. Selon lui, ce gros garçon endormi ne sommeillait jamais que d’un œil, comme les chats à l’affût devant un trou de souris. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon, G. Charpentier, Paris, 1871, chapitre III ; réédition 1879, pages 98-99)
- Ce qui tourmentait et désolait et retournait le curé de Melotte, c’était le dévergondage des filles et des garçons du pays. — (Louis Pergaud, Le Sermon difficile, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Les garçons revenus du service militaire ont trouvé de plus en plus ennuyeuses les soirées du Causse enténébré et silencieux. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Cette gentillesse qui abrégeait les formes et supprimait les fadaises ridicules que tout garçon se croit tenu de débiter à la belle fille dont il essaie de faire sa maîtresse, m’avait séduit. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- François Cadet, un bel homme, un beau garçon dont les filles s’éprennent d’abord, pour qui elles se jalousent et se déchirent. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 31)
- (Par extension) Homme de genre masculin.
- Je me rappelai la soirée et la nuit. Il y avait donc un garçon dans le lit. Quelle stratégie adopter ? — (Amélie Nothomb, Ni d’Ève ni d’Adam, Albin Michel, Paris, 2007, p. 61)
- Je reçois bon nombre de messages me demandant d'expliquer la fin, et la quasi totalité en provenance de... GARÇONS ! — (Solange te parle, tweet du 17 octobre 2012)
- (Par extension) Homme célibataire.
- — Ainsi, vous êtes encore garçon ? reprit-elle lorsque l’Anglais lui eut fait observer que sa vie errante depuis trois ans eût été peu conciliable avec les liens de l’hyménée. — (George Sand, Jeanne, 1844)
- Si ce grand seigneur restait encore garçon, il y avait moins de sa faute que de celle de sa tante, qui ne connaissait pas les fables de La Fontaine. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844 ; page 252 de l’édition Houssiaux de 1855)
- […]; sans doute, ils ont, eux aussi, certains du moins, des ascendants névrosiques, mais la mysophobie atteint le plus souvent des gens minutieux ou méticuleux par tempérament, par exemple, des vieilles filles ou des garçons âgés, célibataires. — (Édouard Gélineau, Des peurs maladives ou phobies, Paris : Société d’éditions scientifiques, 1894, page 92)
- Pinglet. — Toute réflexion faite, je ne dînerai pas ici… Tu vas chez ta sœur, je suis garçon… je vais m’offrir un petit repas fin au restaurant !… — (Georges Feydeau, L'Hôtel du libre échange, 1894)
- Être vieux garçon, ça a ses avantages et ses inconvénients. — (Jo Barnais , Mort aux ténors, ch. XIII, Série noire, Gallimard, 1956, page 113)
- (Travail) Employé subalterne affecté à un service particulier. Celui qui travaille sous les ordres d’un maître, d’un patron ou d’un chef.
- Bert effleura successivement un bon nombre de métiers : il fut groom dans un magasin de nouveautés et chez un médecin, garçon de pharmacie, apprenti plombier. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 11 de l’édition de 1921)
- (En particulier) Serveur d’un café, d’un restaurant ou d’un hôtel.
- Nous nous mîmes à table. J’avais recommandé la carte au garçon : mes convives parurent contents. — (Alexandre Dumas, Impressions de voyage, La Revue des Deux Mondes, tome 1, 1833)
- Garçon!… garçon!… des pieds de mouton à la poulette, et servez chaud… Allons, vivement. — (J. Gabriel et Charles Dupeuty, Fanfan le batonniste, acte I, scène 5, représentée au théâtre du Vaudeville le 30 août 1845 ; dans La France dramatique au dix-neuvième siècle : choix de pièces modernes, volume 13, Paris : C. Tresse)
- Les bistros regorgeaient d’hommes, de femmes endormis, que parfois le garçon réveillait pour qu’ils cédassent la place à de nouveaux venus. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- Il sollicita le garçon d’un timbre retentissant, en cognant bruyamment ses vastes pattes. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 11)
- Paresseusement, Colombe égoutta les trois verres dans le seau à glace, avec une indifférence de vieux garçon, et les emplit de café tiède. — (Colette, Le toutounier, 1939)
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abaissons
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe abaisser.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe abaisser.
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adoubons
- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe adouber.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe adouber.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.