Dictionnaire des rimes
Les rimes en : acoumètre
Que signifie "acoumètre" ?
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- Instrument propre à mesurer l’étendue du sens de l’ouïe chez l’homme.
- Le seul acoumètre précis qui existe actuellement est celui qui a été couronné en 1902 par l’Académie de Médecine. — (Comptes rendus hebdomadaires des séances de l’Académie des sciences, volume 162, 1916)
Mots qui riment avec "etre"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "acoumètre".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ètre , ètres , etre , etres , être , êtres , ettre , ettres , aitre , aitres , aître et aîtres .
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baromètre
- (Métrologie) (Météorologie, Physique) Instrument qui mesure la pression de l’atmosphère et dont les indications ont des rapports plus ou moins marqués avec les changements de temps.
- On nomme baromètres des instruments propres à mesurer la pression atmosphérique. Dans les baromètres ordinaires, cette pression est mesurée par la hauteur d'une colonne de mercure dans un tube de verre, comme dans l'expérience de Torricelli. — (Adolphe Ganot, Traité élémentaire de physique expérimentale et appliquée et de météorologie, Paris : chez l’auteur, 7e édition, 1857, page 118)
- Le vent du nord couvrait le pays de son souffle glacé. Le baromètre restait au « beau sec », et, de ce sol qui ne formait plus qu’un immense icefield, aucune vapeur ne se dégageait. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
- À ce moment mes yeux tombèrent sur le baromètre enregistreur qui marquait une chute subite de 1 mm. 8. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Le baromètre a baissé terriblement pendant la nuit et la matinée. Je m’attends à du gros temps. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil ; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- (Sens figuré) Indicateur qui permet de mesurer une tendance.
- Nos passions sont-elles bien sincères ? qui peut savoir sûrement ce qu’il veut et connaître au juste le baromètre de son cœur ? — (Charles Baudelaire, La Fanfarlo, 1847 ; Gallimard, 2012, collection Folio, page 70)
- Les manuscrits que reçoivent les éditeurs sont un excellent baromètre de l’état de la société. — (Journal 20 minutes, édition Paris, no 944, 7 avril 2006)
- baromètre politique : sondage indiquant l’état de l’opinion sur la même question, effectué à intervalles réguliers.
- (Sens figuré) Insigne officiel des députés et des sénateurs en France.
- La tourbe des parlementaires se distinguait par cet insigne qu’ils appellent plaisamment leur « baromètre » et par leurs écharpes. — (Léon Daudet, Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux, Grasset, 1914, réédition Le Livre de Poche, page 89)
- (Botanique) Carline à feuilles d'acanthe.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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diamètre
- (Géométrie) Ligne droite qui va d’un point de la circonférence d’un cercle (ou d’une sphère) à un autre point en passant par le centre. Le diamètre représente deux fois le rayon.
- On appelle rayon, toute droite CA menée du centre à la circonférence, et diamètre, toute droite DB, qui passe par le centre et qui se termine de part et d'autre à la circonférence. — (Cours de mathématiques, par Charles Bossut, membre de l'Institut National des Sciences et des Arts, etc., tome 2, Paris : chez Firmin Didot, an IX, p. 7)
- Ainsi l'échardonneur Garnett opère au moyen d'un cylindre peigneur de 0m562 de diamètre; ayant soixante peignes disposés sur sa demi-circonférence, soit une rangée de peignes par 14 millimètres de circonférence. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- Viennent ensuite les conduites forcées qui mènent l'eau jusqu'aux turbines. Ces impressionnants tuyaux en acier de 1,9 à 2,3 mètres de diamètre peuvent supporter une pression de 28 bars. — (Ludovic Dupin, La centrale qui a électrifié la Bavière, dans L’Usine nouvelle, no 3252, 8 septembre 2011, page 8)
- (Mathématiques) Deux notions distinctes.
- dans un espace métrique, plus grande distance entre deux points de l'objet mathématique considéré.
- Diamètre conjugué d'une direction de sous-espace : une définition rigoureuse dépasserait les limites que se fixe un dictionnaire de langues.
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kerdomètre
- (Téléphonie) Appareil qui servait, sur les anciennes lignes téléphoniques analogiques, à mesurer le bruit et par conséquence le gain (sens électronique).
- Les mesures de gain en basse fréquence, en particulier celles des répéteurs 51 L, répéteurs-dédoubleurs, amplificateurs de radio-circuits, sont effectuées à l'aide d'un kerdomètre différentiel semi-automatique. — (Cables & transmission, volumes 22-23, page 318, Éd. SOTELEC., 1968)
- rompometre
- séricimètre
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graphomètre
- Instrument de géomètre servant à mesurer les angles dans les opérations de l’arpentage.
- On reste muet devant un télescope binoculaire, un vilebrequin à couronne pour trépanations, un graphomètre à lunettes pour effectuer des relevés géodésique, etc...— (Frédéric Mounier Pierre le Grand, un tsar à Versailles – Journal La Croix, page 20, 21 juin 2017)
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aitre
- Variante orthographique de aître.
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fluviomètre
- Instrument servant à mesurer la crue d’un cours d’eau.
- Oui, 90 au fluviomètre de Coblence, 60 à celui de Kaub, 1,20 m à celui de Cologne. — (Pierre Ayçoberry, Marc Ferro, Une histoire du Rhin, 1981)
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connaitre
- Faire ou avoir fait l’expérience permettant une représentation mentale de quelque chose ou quelqu’un. Avoir l’idée, la notion d’une personne ou d’une chose.
- Je ne connais cette personne que de nom, de réputation, de vue.
- Je ne connais rien de plus vil qu’une telle conduite.
- Faire connaitre son opinion.
- Cet enfant ne connait pas encore ses lettres.
- Connaitre le bien et le mal.
- Je ne lui connais point de défauts.
- Il connut alors que le danger devenait pressant.
- Ce chien connait bien son maitre.
- Ce cheval connait le chemin.
- La plupart des animaux connaissent les plantes qui peuvent leur être nuisibles.
- (Sens figuré) Faire acception, prendre en considération.
- Ne point connaitre, ne plus connaitre quelqu’un, quelque chose : N’en pas faire acception, ne point le prendre en considération.
- Il veut que tous soient également soumis à la discipline et il ne connait à cet égard ni parents ni amis.
- Quand il s’agit de ses intérêts, il ne connait personne.
- Ne plus connaitre quelqu’un : Le traiter comme un inconnu, l’oublier, le mépriser.
- Depuis qu’il est en place, il ne connait plus ses amis, il ne connait plus personne.
- J’estime qu’il s’est déshonoré : je ne le connais plus.
- Se faire connaitre : Dire son nom, sa qualité aux gens dont on n’est pas connu.
- Comme on lui refusait l’entrée, il se fit connaitre.
- L’auteur de ce livre ne veut pas se faire connaitre : Ne veut pas se nommer.
- On dit en des sens analogues
- Faire connaitre qui on est.
- Ne vouloir pas être connu.
- Faire ou dire quelque chose qui décèle les dispositions, les qualités bonnes ou mauvaises que l’on a.
- Caton se fit connaitre de bonne heure par son amour pour la liberté.
- Il s’est fait connaitre avantageusement.
- Acquérir une notoriété, une réputation.
- Il s’est fait connaitre par ses écrits.
- Se dit aussi en parlant des choses qu’on a étudiées, dont on a une grande pratique, un grand usage, auxquelles on s’entend bien.
- Il voudrait tout connaitre.
- Connaitre une langue, une science, un art.
- Il connait les mathématiques, le grec, le latin.
- Connaitre à fond une science, une affaire.
- Connaitre les livres, les pierreries, les tableaux, etc.
- Je ne parle point de ce que je ne connais pas.
- Il connait les ruses du métier, ce que l’expérience nous apprend à connaitre.
- Connaitre ses intérêts.
- Il n’y a rien de si connu.
- Le désir de connaitre : Le désir de s’instruire, de s’éclairer.
- Se dit, dans un sens analogue, en parlant des personnes.
- Je connais bien cet homme, et je peux compter sur lui.
- Je le connais pour ce qu’il est.
- Il a trompé bien du monde, on ne le connaissait pas.
- Cet homme gagne à être connu.
- Je le connais incapable de mentir.
- Je connais votre cœur.
- Vous me connaissez mal, si vous m’attribuez de telles intentions.
- Que vous connaissez peu les hommes !
- C’est un homme qui connait bien le monde.
- Dans le même sens, mais avec une légère nuance, il se dit pour apprécier, juger.
- Le siècle qui posséda ce grand homme ne le connut pas.
- On perdit cet écrivain lorsqu’on commençait enfin à le connatre.
- C’est un homme connu.
- Il est connu par son mérite.
- Signifie en outre avoir des liaisons, des relations avec quelqu’un.
- Connaissez-vous quelqu’un de mes juges ?
- Je n’en connais pas un.
- Il connait tout le monde.
- Je vous le ferai connaitre.
- Je ne connais point cet homme-là, ni ne veux le connaitre.
- Nous vous connaissons depuis longtemps.
- (Par euphémisme) Avoir des relations sexuelles.
- Casanova a connu plus d'une centaine de femmes dans sa vie. Casanova, l'amour à Venise
- Sentir, éprouver, tant au sens physique qu’au sens moral.
- On ne connait point l’hiver à la Martinique.
- Vous êtes heureux de n’avoir jamais connu le mal de dents, le mal de tête.
- Il ne connaissait plus le sommeil.
- Connaitre le plaisir, la peur.
- Il n’a jamais connu la haine, la jalousie, etc.
- Son cœur allait bientôt connaitre l’amour.
- Il ne connait point la crainte.
- J’ai connu l’infortune.
- Pratiquer une chose, l’admettre, s’y conformer, s’y soumettre ; dans ce sens, il se joint ordinairement avec la négation.
- En Angleterre, on ne connait point la loi salique.
- Cet usage n’est point connu dans tel pays.
- Ce peuple ne connait point les raffinements du luxe.
- Il ne connait point ces vains ménagements.
- Sa rage ne connut plus de frein.
- Ce cheval connait la bride, les éperons, etc.
- Ne point connaitre de supérieur, de maitre : N’avoir point de supérieur, de maitre, ou prétendre n’en point avoir, et ne pas vouloir obéir.
- Je ne connais de maitre que vous, que lui, etc.
- Il ne connait plus rien : Sa passion le domine tellement qu’aucune considération n’est capable de l’arrêter.
- Sa fureur ne connait plus rien.
- Avoir autorité et compétence pour juger de certaines matières. En ce sens, il se construit toujours avec de ou un équivalent.
- Ce juge connait des matières civiles et criminelles.
- Il en connait en première instance.
- Il en connait par appel.
- Il ne peut pas connaitre de cela.
- (Pronominal) Prendre une juste idée de soi-même, de ses forces, de sa dignité, etc.
- « Connais-toi toi-même » est une des plus belles maximes de la philosophie antique.
- Je me connais, à sa vue il me serait impossible de me contenir.
- Apprenez à mieux vous connaitre.
- Ne point se connaitre, ne plus se connaitre : Se dit d’une personne que la passion met hors d’elle-même.
- Un homme sage et qui sait se connaitre.
- Il ne se connait plus.
- Se connaitre à quelque chose, en quelque chose : Savoir en bien juger.
- Il se connait en mérite, en poésie.
- Vous connaissez-vous à cela ?
- Je m’y connais mieux que vous.
- Il ne s’y connait point du tout.
- (Pronominal) En parlant des choses, être connu, être perçu d’une façon.
- (Proverbial) (Sens figuré), L’arbre se connait à ses fruits : Une doctrine se juge par ses conséquences.
- (Pronominal) S'utilise avec comme sujet une compétence, et comme COD celui qui la possède[1].
- L’informatique, ça me connait.
- radiamètre
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lettre
- Chacun des caractères d’un alphabet représentant un son, voyelle ou consonne.
- Et le ch dur, par quoi le remplacer ? Ici je me sépare de Ronsard, qui voulait qu’on le remplaçât par le k. Non ; le k n’est pas une lettre française, c’est une lettre à air barbare, cela doit venir du Kamtchatka. — (Émile Faguet, Simplification simple de l’orthographe, 1905)
- Épinal ! Nous descendons. À 425 kilomètres de Paris 326 mètres d’altitude, nous apprend la plaque bleue aux lettres blanches apposée dans la gare […] — (Gustave Fraipont, Les Vosges, 1923)
- Près du commissariat […] un magasin de nouveauté s’intitulait, en lettres énormes également : À la Belle Polonaise […] — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- Il en conclut que si Guillaume aime tant cette lettre K, c’est parce qu’elle affecte l’allure d’un soldat prussien marchant au pas de l’oie. — (Bruno de Perthuis, Du Kapitaine à la Grande Guerre des K, dans Images de l’étranger, Pulim, 2006, page 155)
- Écrire un nombre en lettres ou en toutes lettres : L’écrire, non en chiffres, mais avec les mots qui correspondent aux chiffres.
- (Par extension) (Typographie) Police de caractères ou manière de représenter les lettres.
- Puis, en grosses lettres, cette phrase : « Plus il y aura d'acheteurs de blé, meuniers ou négociants, plus les agriculteurs vendront le leur facilement et cher. ». — (Annales de la Chambre des députés : Débats parlementaires, Paris : Imprimerie du journal officiel, 1921, page 1002)
- Lettre gothique, italienne, bâtarde, ronde ou française, cursive ou courante.
- (Typographie) Chacun des caractères individuels d’une police.
- Le plein, le délié, les jambages, le corps, la queue d’une lettre.
- L’œil de cette lettre est trop petit, est trop gros.
- Bien former, mal former ses lettres.
- Lettre majuscule, minuscule.
- Lettre capitale.
- Lettre du bas de casse.
- Lettre italique.
- Message écrit sur du papier, expédié à un destinataire, généralement sous pli.
- Grégoire ! cria La Hurière, du papier blanc pour écrire une lettre, des ciseaux pour en tailler l’enveloppe ! — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre VII)
- Dans un tiroir, il y avait trente billets de mille francs, trente, attachés, par paquets de dix, avec des faveurs roses, ainsi que des lettres d’amour… — (Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886)
- Il trouva des papiers d’un caractère absolument privé, et, entre autres, d’ardentes lettres d’amour tracées d’une grande écriture féminine. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 90 de l’édition de 1921)
- le général Sarrail […] interdit aux militaires sous ses ordres d’envoyer leurs lettres par la poste. Toutes les correspondances doivent être remises au vaguemestre. La surveillance est ainsi plus facile. — (Pierre Audibert, Les Comédies de la Guerre, 1928, page 93)
- Dans une lettre adressée au duc de Nevers, en 1208, Innocent III exhale sa rancœur contre les juifs. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- La vieille route est une fondrière que sauf le « piéton », porteur de la gazette ou de lettres, nul étranger n’emprunte plus… — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Pour communiquer une information importante à l’opinion, l’administration publique (centrale et locale) procède principalement par voie d’affichage dans ses bâtiments, ses périodiques et recourt aussi à des communiqués de presse et à des lettres d’information, ainsi qu’à la radio et à la télévision dans un certain nombre de villes et de régions. — (OCDE, Des citoyens partenaires : information, consultation et participation à la formulation des politiques publiques, 2002)
- Nous agissons en écrivant des lettres lorsque nous constatons le non-respect des règles d’utilisation de la majuscule. — (Alain Bouissière, Le Bar du subjonctif, Hatier, 1999)
- Lettre pastorale : Communication adressée par un évêque aux fidèles de son diocèse et lue en chaire par les curés.
- (Imprimerie) Caractère de métal, alliage de plomb, d’antimoine et d’étain, représentant en relief une des lettres de l’alphabet.
- Lettre grise : Grande lettre capitale ornée de certaines figures et ordinairement gravée sur bois ou sur cuivre.
- Faire de la lettre : Distribuer la composition.
- Lever la lettre : Prendre les lettres les unes après les autres dans les cassetins d’une casse et les aligner sur le composteur pour en faire des mots et des chapitres.
- Lettre moulée : Lettre imprimée.
- (Par métonymie) En parlant d’un texte, se dit du sens littéral, par opposition au sens figuré ou extensif.
- La religion comme elle était établie, organisée, hiérarchisée, ressassait une parole morte, elle avait perdu l’esprit pour la lettre. — (Éric-Emmanuel Schmitt, L’Évangile selon Pilate, prologue, Albin Michel, 2000)
- La lettre tue, mais l’esprit vivifie.
- Juger suivant la lettre de la loi.
- S’en tenir à la lettre.
- Il ne faut pas prendre cette phrase, cette expression à la lettre, au pied de la lettre.
- La chose doit s’entendre à la lettre.
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micromètre
- (Métrologie) Unité de mesure de longueur du Système international (SI), valant 10−6 mètre, et dont le symbole est μm.
- Il y a un million de micromètres dans un mètre.
- (Métrologie) Appareil qui sert à mesurer avec une très grande précision de petites distances et de petites grandeurs.
- Le diamètre a été mesuré à l’aide d’un microscope muni d’un micromètre oculaire qui avait été comparé préalablement à un micromètre étalon placé dans l’objectif. — (Pierre Curie, Propriétés magnétiques des corps à diverses températures, Annales de Chimie & de Physique, 7e série, tome V, juillet 1895)
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magnétomètre
- (Magnétisme) Instrument de mesure employé dans les observations ou expériences magnétiques.
- Il comprit et approuva immédiatement et se lança avec un enthousiasme incroyable dans la réalisation de ce qui devait se révéler pendant plusieurs années le meilleur magnétomètre à champ terrestre existant. — (Anatole Abragam, De la physique avant toute chose ?, nouvelle édition, 2000)
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promettre
- S’engager verbalement ou par écrit à quelque chose.
- Celui-ci promettait naturellement à ses électeurs, comme don de joyeux avènement, la séparation de l’Église et de l’État, l'instruction laïque et la suppression du budget des cultes. — (Paul-Gabriel d’Haussonville, L’Enfance à Paris, 1879, Calmann-Lévy, p.161)
- Laurier avait promis ce subside, mais ne l'avait pas fait voter avant son départ pour la conférence impériale de Londres. — (Philippe Auguste Choquette & Robert Rumilly, Un demi-siècle de vie politique, Éditions Beauchemin, 1936, p. 144)
- Dans les cabarets et dans les foires, il haranguait les paysans, et leur promettait la suppression de la robot (corvée) et celle de l'impôt sur le sel et sur le tabac. — (La Revue des deux Mondes, n°21 à 24, page 911, 1949)
- Depuis que le comte lui avait promis son soutien pour les prochaines cantonales, il fayotait sans vergogne et Archibald, en qualité de protégé de ce dernier, trouvait à ses yeux toutes les grâces du monde. — (Dominique Moimeaux, Un coin tranquille à mourir, Editions Edilivre, 2015, chap.21)
- (Sens figuré) Annoncer, prédire, en parlant des personnes et des choses.
- Sous la première République, au moment même où toute l’Europe nous tombait sur le dos, c'est les curés qui ont excités la guerre civile en Vendée, fanatisant les paysans, les menant au combat, et leur promettant le paradis s'ils étaient tués. — (Émile Thirion, La Politique au village, p. 203, Fischbacher, 1896)
- Encore fallait-il savoir quand, où, et comment, nous prenions le risque de contrevenir aux lois de l'Église, notre mère fouettarde. Car en cas de flagrant délit, on nous promettait la géhenne, on imaginait de vertigineuses oubliettes où seraient jetés les coupables. — (Jérome Garçin, « Confesser ses péchés », dans Les huit péchés capitaux, présentation de Jérome Garçin, Editions Complexe, 1991, p. 9)
- Voilà un ciel qui nous promet de l’orage.
- Cette campagne promet une riche moisson.
- (Absolument) (Sens figuré) Faire espérer, donner des espérances, en parlant des personnes et des choses.
- Le seul désir d'avoir des enfants me fit acheter une esclave, dont j'eus un fils qui promettait infiniment. — (Les Mille et Une Nuits, traduction Antoine Galland,1704. IVe nuit)
- Les blés promettent beaucoup cette année.
- (Familier) Assurer qu’une chose sera.
- Je vous promets que je ne le ménagerai pas ; et je vous promets qu’il s’en repentira.
- (Pronominal) Espérer.
- Sa langue, d'une mobilité étonnante, courait amoureusement sur ses lèvres comme si elle se promettait de goûter à toutes les félicités d'ici-bas. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 12)
- Il se promet cela de votre bonté. — Il se promet d’y être bientôt.
- Je n’oserais me promettre que vous me ferez cet honneur.
- Je m’étais promis plus de plaisir que je n’en ai eu. — Qui peut se promettre d’éviter un tel malheur ?
- (Pronominal) Prendre une ferme résolution.
- C'est une idée fixe chez moi et je me suis promis que l'imagerie d’Épinal aurait ma première visite. Y allons-nous ? — (Gustave Fraipont; Les Vosges, 1923)
- (Pronominal) S'engager à se lier à quelqu'un.
- Il faut que vous le sachiez maintenant : en secret je m’étais promise à vous dès l’instant où je vous ai vu vous dévouer d’une manière si magnanime. — (André Gide, Les Caves du Vatican, 1914)
- (Sens figuré) Destiner ; affecter.
- C'est là que, soudain, un lundi matin, mon attachée de presse a cessé de me regarder comme un invendu promis au pilonnage. — (Didier Van Cauwelaert, Le Principe de Pauline, Éditions Albin Michel, 2014)
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oscillomètre
- Instrument propre à mesurer des oscillations.
- lactobutyrometre
- microcalorimètre
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capacimètre
- (Métrologie) (Électricité) Instrument qui mesure la capacité électrique.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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déchevêtre
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe déchevêtrer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe déchevêtrer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe déchevêtrer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe déchevêtrer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe déchevêtrer.
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heptamètre
- (Ancienne métrique) Se dit d’un vers qui a sept pieds.
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être
- Définir un état, une caractéristique du sujet. Note : En grammaire, ce type de verbe est appelé une copule, et le mot qu’il introduit est un attribut. En linguistique, il existe différentes manières de caractériser ces constructions attributives, existentielles, locatives ou posturales qui peuvent être introduites en français par être.
- Les anciens avaient justement montré le rôle de l’organisme vivant comme cause génératrice des maladies, les éléments extérieurs en étant les causes provocatrices. — (Joseph Grasset, Traité élémentaire de physiopathologie clinique, tome 2, Éditions Coulet, 1911, page 13)
- De fait, René se sentait apaisé plus que ne l’eût été aucun mortel en un lieu moins épouvantable qu'un franc-bord de canal au milieu de la nuit. — (Jean Lahougue, « Un amour de René Descartes », chapitre 8, dans le recueil de nouvelles: La Ressemblance et autres abus de langage, Paris : les Impressions nouvelles, 1989)
- — D’où est-il ?— Il est de Paris.
- Se situer, se trouver, rester, spécifiant une location, une situation.
- Nous sommes en ville.
- (Absolument) Exister.
- Je suis l’homme qui est en proie à une idée fixe, et cette idée est que vous soyez député de la Gironde. Cela sera-t-il ? — (Hector Malot, Un mariage sous le Second Empire, 1873)
- Je pense, donc je suis. — (René Descartes)
- Être, ou ne pas être, c’est là la question.Y a-t-il plus de noblesse d’âme à subirla fronde et les flèches de la fortune outrageante,ou bien à s’armer contre une mer de douleurset à l’arrêter par une révolte ? — (William Shakespeare, Hamlet, prince de Danemark acte III, scène 1)
- Il n’est plus, il est mort.
- L’Algérie française était ; elle n’est plus. — (Alexis Jenni, L’Art français de la guerre, 2011, page 604)
- (Impersonnel) (Soutenu) Il y a.
- J’ai donc rédigé un long billet, intitulé Attention manip : le “pacte 2012” de “l’Institut pour la Justice”, où je démontais point par point le procédé sur la forme, et le message sur le fond. Je n’y reviendrai pas, il n’est que de le lire. — (Maître Eolas, Eolas contre Institut pour la Justice : Episode 1. Le Compteur Fantôme., 14 janvier 2019 → lire en ligne)
- Il est des hommes que la résistance anime, il en est d’autres qu’elle décourage.
- (Impersonnel) Le moment de la journée. Note : Dans certaines régions, le démonstratif est utilisé à la place du pronom impersonnel afin de demander : C’est quelle heure ?
- — Quelle heure est-il ?— Il est quatorze heures cinquante huit.
- Il est l’heure de partir.
- Il est tard.
- Le jour de la semaine ou la date du moment.
- Pendant cette année 1912 je travaillais d’arrache-pied. Nous étions en mars et le certificat d'étude était pour la mi-juin. — (Joseph Ligneau, Comment j'ai passé le certificat d'études 1912, édité par Didier H Touchet, Tampa Florida L.L.C., 2016, page 67)
- — Quel jour sommes-nous ?— Nous sommes mardi.
- Nous sommes le deux novembre deux mille sept.
- (Familier) Aller, se rendre. Note : Avec l’auxiliaire avoir.
- Avez-vous été à Paris la semaine dernière ?
- (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former les temps composés de certains verbes intransitifs indiquant un mouvement ou un changement d’état et tous les verbes réflexifs.
- Il est passé.
- Il est tombé.
- Il s’est trompé.
- (Auxiliaire) Verbe auxiliaire servant à former la forme passive.
- Quand il sera aimé.
- (Familier) (Construit avec sur ou dessus) S’occuper d’une affaire particulière, s’en occuper.
- — Je suis sur un dossier là... C’est vraiment pas du propre. — (2017, Fares C. aka John Mitzewich)
- (Familier) (Construit avec à) Posséder.
- C'est la voiture à Paul.
- siccomètre
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machmètre
- Instrument de vol montrant le nombre de Mach, la vitesse de l'air relative à la vitesse du son.
- On trouve, dans chaque compartiment cabine, un machmètre placé sur la cloison avant. — (Xavier Massé, Avion Concorde: de l’évocation en 1943 au dernier vol en 2003, 2004)
- réactimètre
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vibromètre
- Vibromètre.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.