Dictionnaire des rimes
Les rimes en : accaparons
Que signifie "accaparons" ?
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- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe accaparer.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe accaparer.
Mots qui riment avec "on"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "accaparons".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : on , ons , ont , onts , ond , onds , omb , ombs , noms et nom .
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afféagions
?- Première personne du pluriel de l’indicatif imparfait du verbe afféager.
- Première personne du pluriel du subjonctif présent du verbe afféager.
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abâtardirons
?- Première personne du pluriel du futur du verbe abâtardir.
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affermirons
?- Première personne du pluriel du futur du verbe affermir.
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appellation
?- Action d’appeler.
- Appellation à haute voix, familière, injurieuse.
- (Spécialement) Façon de dénommer quelqu’un ou quelque chose.
- Ces nodules sphéroïdes ou cylindroïdes, si singulièrement affublés, en Champagne, comme en Picardie ou en Haute-Normandie, de l’appellation imprévue de pierres de tonnerre ou de pierres de foudre sont formés de cristaux prismatiques de bisulfure de fer irradiant de leur centre. — (Stanislas Meunier, « Recherches sur la craie blanche », dans le Compte rendu de l’Association française pour l'avancement des sciences, actes du congrès de Reims - 1907, partie 2, 1908, p. 378)
- […], on les désignait généralement, le premier sous le nom de gros Zidore, le second sous celui de gros Léon, appellations qui leur seyaient d’autant mieux qu’ils avaient conquis, comme il convenait à leur âge et à leur position sociale, la pointe de bedon qui confère toute son importance au campagnard cossu. — (Louis Pergaud, Un renseignement précis, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- L’autre, sec, noueux, noiraud, correct à la façon d’un danseur salarié, répondait à l’appellation du « Mondain ». — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
- L’appellation « hydroxyde d’ammonium » de cette bouteille contenant de l’ammoniaque, nom donné à une solution aqueuse d’ammoniac, est incorrecte. — (John C. Kotz & Paul M. Treichel Jr, Chimie générale, traduit de l'anglais, De Boeck Supérieur, 2006, page 345)
- Action de nommer chaque lettre de l’alphabet.
- (Droit) Appel d’un jugement. — Note : Il ne se dit guère que dans les formules des arrêts et des jugements.
- La Cour a mis l’appellation à néant.
- Le jugement sera exécuté nonobstant opposition ou appellation quelconque.
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abstinssions
?- Première personne du pluriel de l’imparfait du subjonctif du verbe s’abstenir.
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abonnirons
?- Première personne du pluriel du futur du verbe abonnir.
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comparaison
?- Action de comparer, de chercher les ressemblances ou les différences qui peuvent exister entre deux personnes ou deux choses.
- Ce premier mémoire est terminé par des rapprochemens très-ingénieux , qui résultent de la comparaison de la plombagine, de l’anthracite, du charbon et du diamant. — (Extrait de plusieurs Mémoires sur le Diamant; par M. Guyton-de-Morveau, dans la Correspondance sur l'École impériale Polytechnique, Paris : Veuve Courcier, 1814, vol. 2 (janvier 1809-janvier 1813), page 458)
- Faire la comparaison, faire comparaison d’une chose avec une autre.
- Faire la comparaison de deux étoffes, de deux couleurs, de deux odeurs.
- Ce morceau de musique ne soutient pas la comparaison avec tel autre.
- On ne saurait établir de comparaison entre ces deux personnes, entre ces deux choses.
- Cette personne, cette chose ne peut entrer en comparaison avec telle autre.
- Pièce de comparaison, pièce dont l’écriture et la signature sont reconnues pour certaines et que l’on compare à une pièce arguée de faux, pour voir si l’écriture est la même.
- [La commande expr] peut évaluer des expressions arithmétiques, des comparaisons numériques ou de chaînes de caractères, des opérations booléennes, des opérations sur des chaînes de caractères, et des comparaisons de chaînes de caractères avec des expressions régulières. — (Martial Bornet, Expressions régulières, Éditions ENI, 2015, page 239)
- Similitude, se dit de cette figure de style dont les orateurs et les poètes se servent en comparant une chose ou une personne à quelque autre, pour orner le discours ou pour y apporter de la clarté.
- Il y a de belles comparaisons dans Homère.
- Cette comparaison est juste, est ingénieuse.
- Le premier, le second membre d’une comparaison.
- La métaphore n’est qu’une comparaison dont un terme est sous-entendu.
- Rapprochement rapide que l’on fait de deux objets dissemblables, mais entre lesquels on établit par la pensée une certaine analogie.
- Beau comme le jour, Prompt comme l’éclair, Bavard comme une pie sont des comparaisons.
- (Grammaire) Ce qui sert à indiquer un rapport de supériorité, d’égalité ou d’infériorité entre deux ou plusieurs choses, ou entre deux états d’une même chose.
- Degrés de comparaison, le positif, le comparatif et le superlatif.
- Adverbes de comparaison.
- Comparaison de supériorité.
- Comparaison d’égalité.
- Comparaison d’infériorité.
- (Philosophie) Opération de l’esprit qui consiste à rapprocher deux idées pour découvrir leurs rapports.
- Le produit de la comparaison est un jugement.
- (En particulier) (Mathématiques) Détermination du classement relatif de plusieurs éléments (typiquement des nombres) dans une relation d’ordre.
- [La commande expr] peut évaluer des expressions arithmétiques, des comparaisons numériques ou de chaînes de caractères, des opérations booléennes, des opérations sur des chaînes de caractères, et des comparaisons de chaînes de caractères avec des expressions régulières. — (Martial Bornet, Expressions régulières, Éditions ENI, 2015, page 239)
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adulation
?- Action d’aduler.
- Je ne regimbai point contre des adulations qui ne pouvaient plus en aucun cas me faire changer d’avis ; je les accueillis comme la naïve expression du médiocre avait rendu le goût indulgent et émoussé le sens acéré des choses supérieures. — (Eugène Fromentin, Dominique, L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, page 212)
- Sous les gouvernements autoritaires, comme le premier Empire, l'Etat s’en est servi pour contraindre le clergé catholique à la soumission la plus humiliante, aux adulations les plus basses, même à un rôle répugnant de policier, en usant contre les ministres des cultes récalcitrants de moyens coercitifs violents. — (Discours d’Émile Combes à Auxerre, 4 septembre 1904)
- L’adulation atteignait un tel niveau que la moindre critique émise par des journalistes ou commentateurs politiques était vivement vilipendée. — (Le Journal de Montréal, 4 octobre 2020)
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acoquinons
?- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe acoquiner.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe acoquiner.
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affection
?- Sentiment d'aimer quelqu'un avec attachement ou tendresse, et qui nous porte à vouloir son bien-être ou son bonheur ; amitié ou amour non passionnel ou romantique.
- Et si les sentiments de jalousie demeurent dans le cœur de chacun vis-à-vis de l’autre, ce n’est pas dans la douleur d’une affection déçue qu’ils résident ; c’est dans l’instinct de propriété. — (Alfred Naquet, Vers l’union libre, E. Juven, Paris, 1908)
- Il s’était excusé sur sa peur des amitiés nouvelles, ce qu’il avait appelé, par galanterie, sa peur d’être malheureux. « Vous avez peur d’une affection ? comme c’est drôle, moi qui ne cherche que cela, qui donnerais ma vie pour en trouver une, avait-elle dit d’une voix si naturelle, si convaincue, qu’il en avait été remué. — (Marcel Proust, Un amour de Swann, 1913, réédition Le Livre de Poche, page 18)
- Thomyra est l’amie et l’amante de la belle fille qui se nomme Penthésilée, et elle craint de perdre une affection qui lui est chère, si elle devient grosse des œuvres du captif. — (Renée Dunan, Ces Dames de Lesbos, 1928)
- Avec beaucoup de tact, ce vieillard, qui savait n’être ni autoritaire ni égoïste, s’efforçait de gagner l’affection de Nazira et de se faire pardonner d’être vieux. — (Out-el-Kouloub, Nazira, dans "Trois contes de l’Amour et de la Mort", Édition Corrêa, 1940)
- À ses remerciements, Olga avait répondu : « Mais, madame, c’est par affection. » Maman répéta plusieurs fois d’un air rêveur et pénétré : « Elle m’a dit : c’est par affection. » — (Simone de Beauvoir, Une mort très douce, Gallimard, 1964, Le Livre de Poche, page 13)
- (Par extension) Divers mouvements de l’âme.
- Les affections de l’âme.
- Affections humaines, naturelles.
- Toutes ses affections sont douces.
- Affections déréglées.
- (Médecine) Maladie.
- Maxime eut soin de se placer à une certaine distance de quelques vieillots qui par habitude se mettent en espalier, dès une heure après midi, pour sécher leurs affections rhumatiques. — (Honoré de Balzac, Béatrix, 1838-1844, troisième partie)
- Ce troupeau appartenait au juge de Werst, le biró Koltz, lequel payait à la commune un gros droit de brébiage, et qui appréciait fort son pâtour Frik, le sachant très habile à la tonte, et très entendu au traitement des maladies, muguet, affilée, avertin, douve, encaussement, falère, clavelée, piétin, rabuze et autres affections d’origine pécuaire. — (Jules Verne, Le Château des Carpathes, J. Hetzel et Compagnie, 1892, pages 1-16)
- Outre les traumatismes et brûlures par produits chimiques, les affections de la langue les plus fréquentes chez les bovins sont l’actinobacillose ou langue de bois et la nécrobacillose. — (Institut de l’élevage, Maladies des bovins : manuel pratique, France Agricole Éditions, 2008, page 146)
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cuisson
?- Action de cuire ; résultat de cette action.
- La cuisson peut être intermittente ou continue : dans le premier cas on défourne la chaux produite après chaque opération ; dans le second on continue indéfiniment la calcination en retirant la chaux à mesure qu’elle est cuite […]. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 42)
- Elle ne salait les mets qu’après la cuisson, bien qu’elle sût à quel point la fadeur lui en était désagréable. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 23)
- Dans Mythologiques, Claude Lévi-Strauss écrit que cuire un aliment, c’est couper court au processus naturel qui fait qu’à terme un aliment cru (un légume, un fruit, un morceau de viande) devient une chose pourrie. La cuisson stoppe ce que la nature a commencé. — (Françoise Vergès, À vos mangues !, traduction de Dominique Malaquais, dans Politique africaine, 2005/4, n° 100, p. 320)
- Pour s'en sortir sans remplacer cet élément, on peut diminuer cette pression s'il existe un réglage de pression (2 vis sur ressort), sans trop si on ne veut pas de problème de cuisson du toner. — (Problèmes classiques des imprimantes laser)
- La cuisson est le plus souvent un « traitement thermique en phase aqueuse » : traitement thermique, parce que l’on chauffe ; en phase aqueuse, parce que les tissus animaux et végétaux, qui font l’essentiel de nos aliments, sont principalement faits d’eau. — (Hervé This, Mijotons, 23 septembre 2011)
- (Par métonymie) Liquide présent dans le récipient de cuisson à la fin de la cuisson d’un plat.
- Couper la selle d’agneau en tranches fines, les dresser sur un plat chaud et napper avec la cuisson montée au beurre. — (300 recettes Avec les jeunes restaurateurs de France, Brunétoile, 1986, 5e édition, janvier 1989, page 201)
- D’autre part, faire cuire un homard comme pour l’américaine; une fois cuit le décarapacer ; laisser réduire la cuisson ; la monter au beurre d’écrevisse et la passer à l’étamine. — (Joseph Favre, Dictionnaire universel de cuisine pratique)
- (Par analogie) Douleur que l’on ressent d’un mal qui est cuisant.
- Je sens une horrible cuisson dans ma plaie.
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marron
?- Fruit rond comestible de certains châtaigniers, plus gros qu’une châtaigne ordinaire, de couleur brune.
- Chaud là, les marrons, chaud ! — (Ernest Grenet-Dancourt, Monologues comiques et dramatiques, Librairie Ollendorf, 1883, page 157)
- Quoique la châtaigne et le marron soient de la même espèce, on préfère le marron, parce qu’il est plus gros et plus sucré. — (Balthazar Georges Sage, Supplément aux institutions de physique, 1812, page 46 → lire en ligne)
- Sur le trottoir, un type en passe-montagne vendait des marrons chauds. — (Éric Neuhoff, La Petite Française, Albin Michel, 1997, page 152)
- Nous achetions des marrons pour nous chauffer les doigts dans la poche de nos pèlerines. — (Alexandre Vialatte, Fred et Bérénice, Le Rocher, 2007, page 124)
- Devant l’Uniprix t’avais l’hiver un marchand de marrons chauds, qui te les grillait juste devant toi dans une grande bassine en tôle avec des trous partout dans le fond et de la braise en dessous. — (Alain René Poirier, Souvenirs mélangés d’un Parisien malgré lui, 2017, page 178)
- Avec le succès de son entreprise, M. Chestnut décide de se développer et d’acheter le fonds de commerce de son confrère M. Marron, qui vend des marrons chauds au parc Montsouris. — (André Lévy-Lang, L’Argent, la finance et le risque, 2006, page 126)
- Le scientifique appelle marron le fruit du châtaignier qui ne possède qu’une amande sous le tégument coriace et châtaigne celui qui en possède plusieurs séparés par le tan. L’industriel et le commerçant … auraient tendance à élargir la notion de marron à toutes les châtaignes un peu grosses et dodues. Quant au gastronome, … de la purée ou de la crème de marron, … châtaigne blanchie, … on parle de boudins aux châtaignes et de dinde aux marrons ! — (Robert Bourdu, Le châtaignier, 1996, Actes Sud, Le nom de l’arbre, page 21)
- (Par analogie) Brun, couleur du fruit mûr. #a04000 #602000 #402000 Voir la note sur les accords grammaticaux des noms de couleurs employés comme noms ou adjectifs.
- C’était le papier marron qui avait toujours régné chez les miens : « Votre grand-mère adore le marron. » — (François Mauriac, Un adolescent d’autrefois, Flammarion, 1969, page 135)
- Le marron est issu du mélange des trois couleurs primaires. Les nuances de marron sont donc infinies selon la proportion de ces trois couleurs, plus le noir et le blanc pour la désaturation. — (Allan Carrasco, Le Grand Livre de la Peinture sur Figurines, 2007, page 46)
- Le choix de la couleur divise la population : le vert ne plaît pas, le marron est jugé fade, le jaune trop voyant et le noir salissant. — (Benigno Cacérès, Le bourg de nos vacances, 1970)
- Malartic et Lampourde, dont l’attention était éveillée, aperçurent un homme de moyenne taille, mais singulièrement alerte et vigoureux, hâlé de visage comme un More d’Espagne, les cheveux noués d’un mouchoir, vêtu d’un caban de couleur marron qui en s’entr’ouvrant permettait de voir un justaucorps de buffle et des chausses brunes ornées sur la couture d’un rang de boutons de cuivre en forme de grelots. — (Théophile Gautier, Le Capitaine Fracasse, 1863, pages 111-112)
- (Sens figuré) (Populaire) Coup de poing, châtaigne, gnon.
- Il s’était trouvé un cloporte pour le dénoncer, le directeur ne voulait pas d’ennuis et, manque de bol, ça avait déclenché un foin du tonnerre de Zeus vu qu’il lui avait mis un marron dans la gueule, au cloporte, un putain de marron… Les cloportes, c’est tout ce que ça mérite… L’Abbé avait bien fait, considérait Baudelaire. — (Françoise Guyon, Le diable bat sa femme et marie sa fille, 2010, page 32)
- Y m’a filé une beigne,j’y ai filé un marron,m’a filé une châtaigne,j’y ai filé mon blouson. — (Renaud, Laisse béton, 1977)
- — Quand on a reçu un marron, on fait l’mort. — (Léon Frapié, Réalisme, dans Les contes de la maternelle, Éditions Self, 1945, page 131)
- (Botanique) Marron d’Inde, graine non comestible du marronnier d’Inde.
- En 1825 , M. Vergnaud-Romagnési, dans ses travaux sur le marron d’Inde, dit que les marrons les plus avantageux rapportent 30 pour 100 de leur poids en belle fécule. — (Adolphe Thibierge et Dr Remilly, De l’amidon du marron d’Inde, ou des fécules amylacées des végétaux non-alimentaires, 1857, pages 101-102)
- Au fond une vingtaine de marronniers lâchaient comme des bombes leurs bogues piquantes sur la tête des enfants. Ceux-ci nous apportaient en cadeau des dizaines de marrons bien lustrés dont nous ne savions que faire. — (José Herbert, L’instituteur impertinent : Récit de vie, 2016)
- Quant au fruit à venir, le marron, c’est un excellent vasoconstricteur, base appréciée de médicaments pour traiter varices et hémorroïdes. — (Bernard Boullard, Plantes et arbres remarquables des rues, squares et jardins de Rouen, 2006 → lire en ligne)
- (Pyrotechnie) Pétard dont la détonation évoque l’éclatement d’une châtaigne sur le feu.
- Le tir de deux marrons d’air qui ont éclaté à 300 ou 350 mètres de hauteur a fait dans le nuage une large échancrure à travers laquelle apparut le ciel bleu ; deux autres marrons divisèrent le nuage en deux parties, qui prirent la direction des forces composant la résultante suivant laquelle se dirigeait sa masse. — (Congrès international de défense contre la grêle, Troisième Congrès international de défense contre la grêle et Congrès de l'hybridation de la vigne, 1902, tome 1, page 306)
- Peu d’instans après, le marron éclate en donnant une détonation sourde, et le glaçon se trouve brisé en morceaux assez petits pour passer sous les ponts ou dans les canaux d’une usine, sans causer aucun dommage. — (Bulletin des sciences technologiques, 1829, tome 12, page 363 → lire en ligne)
- Jeton servant à contrôler la présence d’une personne à son poste. Notamment en usage dans les mines, les casiers où ils se rangeaient se nommaient marronniers.
- Les marrons sont entre les mains des factionnaires : les rondiers les trouvent en faisant leur ronde et les déposent ensuite dans la boîte à marrons, dont le contenu est vérifié le matin par le capitaine d’armes. — (Robert de Parfouru, Manuel du marin, 1911, page 86)
- Un surveillant de ronde, qui inspectait le dortoir d’en bas du bâtiment-neuf, au moment de mettre son marron dans la boîte à marrons, − c’est le moyen qu’on employait pour s’assurer que les surveillants faisaient exactement leur service ; toutes les heures un marron devait tomber dans toutes les boîtes clouées aux portes des dortoirs. — (Victor Hugo, Les Misérables, 1862)
- (Populaire) Tête.
- Il a reçu un coup sur le marron.
- (Technique) Grumeau de farine se formant dans la pâte à pain lors du pétrissage.
- Marron, grumeau dans la pâte mal pétrie. — (Prudence Boissière, Dictionnaire analogique de la langue française, 1862, page 1080)
- (Technique) Peloton coagulé dans une table de plomb mal fondue.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- MARRON […] Sorte de grumeau qui reste dans le plomb mal fondu. — (Pierre Larrouse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle, 1873, tome 10, page 1247)
- (Technique) Noyau non calciné d’une pierre passée au four à chaux.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Marbrerie) Partie très dure incluse dans le marbre et nuisant à son polissage.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Plâtrerie) Grumeau dans le plâtre.
- Cette gâchée est pleine de marrons !
- (Coiffure) Grosse boucle de cheveux ronde et nouée avec un ruban.
- Étienne de Jouy, le célèbre librettiste d’opéra, s’étonne en arrivant chez un ami pour dîner d’y trouver le père de celui-ci en habit de droguet à fleurs avec une perruque à marrons, son ami vêtu d’un habit français, sa femme en grande robe à la Médicis, tenant sur son bras un châle indien ; sa fille est vêtue à la grecque, son fils aîné à l’anglaise et les petits en mameluks. — (Patrick Barbier, À l’Opéra au temps de Balzac et Rossini, 2003 → lire en ligne)
- Le costume des juges peut paraître grotesque à un étranger : non que leur robe rouge doublée de satin blanc et leur rochet d’hermine n’aient de l’éclat et de la dignité ; mais ils sont affublés d’une perruque à marrons et à petite queue retroussée en plusieurs nœuds, poudrée plus ou moins également, et jetée au hasard de travers sur leurs cheveux, qu’elle ne cache pas en entier et qui déborde de toutes parts. — (Basile-Joseph Ducos, Itinéraire et souvenirs d’Angleterre et d’Écosse, 1834, page 34)
- (Ichtyologie) Petit poisson méditerranéen de la famille des pomacentridés, aplati latéralement (Chromis chromis)[17].
- Le Marron, ſelon Willughby, eſt un petit poiſſon qui n’a qu’environ quatre pouces de longueur, ſur une épaiſſeur aſſez conſidérable. — (Encyclopédie méthodique, Histoire naturelle, 1787, tome 3, page 247 → lire en ligne)
- Le marron a la chair fade et pleine d’arêtes.
- (Cinéma) Copie intermédiaire d’un film permettant de travailler sur une copie sans abîmer l’original.
- La première étape de la restauration a donc consisté à tirer un nouveau marron image à partir du négatif original et de rajouter les éléments manquants grâce à ce safety. — (Béatrice Valbin-Constant, Camille Blot-Wellens, Restauration du film « Donne-moi tes yeux » de Sacha Guitry, 3 décembre 2007, www.cinematheque.fr)
- Lettres et chiffres découpés en à jour dans une feuille de métal, destiné à être utilisé en tant que pochoir.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Désuet) (Alpes) (Lanslebourg-Mont-Cenis) Porteur savoyard dans les Alpes, guide de montagne, en particulier en Maurienne au Mont-Cenis.
- Du Passeur au Guide. Alors, et alors seulement, les marrons de Novalaise prennent une autre figure, à l’image de la montagne. On voit ses marrons l’aider, lui expliquer ce qu’on trouve en montagne […]. — (Renaud de Bellefon, Histoire des Guides de Montagne : Alpes et Pyrénées, 1760-1980, 2003, page 123)
- Apparut alors, disent les textes, quoddam genus hominum qui « marrones » vocantur (une sorte d’homme qu’on appelait marrons). On relève marones, marronai, marronnes, marucci, mazanes, et, en Val d’Aoste plus particulièrement, celle de marronniers. Leur clientèle était faite de grands personnages : diplomates, ambassadeurs, parfois de papes, d’ecclésiastiques […]. — (Nicolas Giudici, La philosophie du Mont-blanc, 2003, Literary Collections)
- On les appelle ordinairement Marrons. Ils sont divisés en plusieurs bandes et ont des petites chaises qu’ils portent tousjours à la main Quand la neige ni y est pas assez forte ni assez gelée, ils portent sur ces chaises les voyageurs, mais quand le froid a rendu la neige bien dur, et ils accommodent leurs chaises de façon, qu’ils ne portent a plus les voyageurs, mais les font glisser sur la neige avec tant de vitesse, particulièrement à la descente du Mont-Cenis, qu’à peine les peut on suivre des yeux. — (Guido Bentivoglio, 1713, Mémoires du Cardinal Bentivoglio, page 39)
- (Argot) Bagarre, baston, rixe.
- Prens toutes tes Baioffes [armes à feu], car il pourra bien y avoir du marron. — (Louis Ansiaume, Glossaire argotique des mots employés au bagne de Brest, 1821)
- (Argot) Testicule.
- À ce moment précis, j’ai dû vraiment agacer les abeilles car, à peine avais-je grimpé un iota de plus que BEEUUINZZZ BZZZZZ, toute une brigade ou compagnie m’attaqua, et vas-y que je te pique de la tête aux pieds, partout, semblait-il, avec un acharnement particulier sur mes fesses, ma saucisse beige et mes deux marrons couleur foncée ! — (Saer Maty Ba, Le serment du maître ignorant, 2020)
- (Cameroun) Beignet à base de farine de manioc ou de maïs.
- Kanga, achète-moi des marrons !
- Dans le calendrier républicain, nom du 29e jour du mois de fructidor[18].
- Dans le calendrier républicain c’était le 29e jour dans le mois de fructidor, le jour du marron. — (Jean Mayet, 365 jours ou Les Éphémérides allant du XVIe au XXe siècle, 2013, page 500 → lire en ligne)
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abêtirons
?- Première personne du pluriel du futur du verbe abêtir.
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version
?- (Linguistique) Traduction d’une langue étrangère vers la langue maternelle du traducteur (par opposition à thème).
- Version littérale.
- Version fidèle, exacte.
- Faire une version.
- Anciennes traductions de l’écriture.
- La version des Septante.
- Traductions que les écoliers font d’une langue ancienne ou étrangère en leur propre langue.
- Son fils a remporté le prix de version grecque.
- Faire une version anglaise, allemande.
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imagination
?- Faculté d’imaginer, de se représenter quelque chose dans l’esprit.
- Loin du danger, il ne rêve qu’exploits héroïques, entreprises surhumaines et gigantesques ; mais, quand vient le péril, son imagination trop vive lui représente la douleur des blessures, le visage camard de la mort, et le cœur lui manque ; […]. — (Théophile Gautier, Le capitaine Fracasse, volume 1, page 270, Charpentier, 1871)
- Il était la proie de Carmen […]. Et non seulement il la subissait, mais encore il la recherchait, épris de sa chair de grande amoureuse lascive et insatisfaite, parfois ruée dans des débordements insensés, de quoi combler l’imagination la plus follement macérée dans les laves de l'érotisme épuisant. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 103)
- Moyennant quoi rien ne réfrénait sa connardise que le manque d’imagination. Il ne faisait de doute pour personne que le connard n’était pas réformable. — (François Bégaudeau, Vers la douceur, Gallimard, 2009, page 59)
- Mais la figure de la quarante-huitarde en culottes partage dans l’imagination des humoristes la place avec des révoltées enjuponnées, montrant sans pudeur leurs jambes. — (Christine Bard, Une histoire politique du pantalon, éditions du Seuil, 2010, page 137)
- (En particulier) (Littérature) Faculté d’inventer, de concevoir, jointe au talent de rendre vivement ses conceptions.
- Ce poète, ce peintre a une imagination créatrice.
- Avoir l’imagination fertile, riche, heureuse, brillante, forte, hardie, fougueuse.
- Une grande vivacité d’imagination.
- Les écarts de l’imagination.
- S’abandonner à son imagination.
- Le feu de l’imagination.
- Littérature d’imagination.
- ouvrages d’imagination.
- Les arts de l’imagination.
- Roman plein d’imagination.
- (Par extension) (Plus rare) Produit de ces inventions talentueuses.
- — Ah ! ma pauvre fille, lui dit ce jour-là le docteur, peut-on perdre son temps à de telles imaginations ! — (Émile Zola, Le Docteur Pascal, G. Charpentier, 1893, chapitre IV)
- À première vue, on attribuerait au gothique flamboyant cette maîtresse œuvre où l'on découvre bientôt les volutes, les ornements, toutes les riches imaginations de la Renaissance. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Pensée, conception.
- Une belle imagination. Une agréable imagination.
- Croyance, opinion qu’on a de quelque chose sans beaucoup de fondement.
- Ainsi va l'activité incessante de l'imagination humaine, défaisant, refaisant sans cesse, brodant le vieux, cousant le neuf; […]. — (Jean-Jacques Ampère, La Chine et les travaux d'Abel Rémusat, Revue des Deux Mondes, 1832, tome 8)
- La Vouivre, dans l’imagination du peuple séquanien, qui lui prête d'ailleurs une figure assez uniforme, est un serpent ailé, dont le corps est souvent de feu, […]. — (Désiré Monnier, Traditions populaires comparée, 1854, Chapitre 24, La Vouivre, page 99)
- Si le Dieu s’oubliait, devenait un tyran, voulait enténébrer l’imagination de terreurs serviles, l'esprit armé d'une telle langue, lui retrouvant ses origines, dirait : « Qui t'a créé, c'est moi. » — (Jules Michelet, Bible de l'Humanité, Calmann-Lévy, 1876, page 35)
- Cependant, ce que Jacques aimait en Yasmina, en son ignorance absolue de l'âme de la Bédouine, c'était un être purement imaginaire, issu de son imagination, et bien certainement fort peu semblable à la réalité... — (Isabelle Eberhardt, Yasmina,1902)
- Ce miracle, ignoré du clergé local au XVIIe s., est sûrement le produit de l'imagination de certains spécialistes en hagiographie. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- Fantaisie bizarre, idée chimérique et extravagante.
- Il y a toujours, dans l’imagination d'un gamin de quinze ans, quelque modèle dont il imite jusqu'à la voix. — (Alain, Souvenirs de guerre, Hartmann, 1937, page 174)
- Quelques jeunes clubmen, dont l’imagination aventureuse s’était enflammée de patriotisme, s’entassèrent dans cinq ou six automobiles et partirent clandestinement pour Beacon Hill. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 234 de l’édition de 1921)
- Ne regardons donc plus comme des principes absolus des faits n’ayant jamais existé que dans l’imagination de ceux qui les ont conçus ; […]. — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France, École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
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possession
?- (Droit de propriété) Jouissance, faculté actuelle de disposer ou de jouir d’un bien.
- La possession et l’exploitation du sol par indivis, rationnelle, juste, féconde, nécessaire même, tant que la société exploitante n’excède pas les limites d’une proche parenté, - père, mère, aïeul et aïeule, enfants, beaux-fils et belles-filles, domestiques, oncles et tantes ; - est aussi solide que la famille même. — (Pierre-Joseph Proudhon, Théorie de la propriété, 1866)
- Au moment où il se présenta, Alice, qui l’avait vu venir, entrait aussi dans la salle, où son père et ses trois assidus discutaient à grand fracas sur le parti qu’il y avait à prendre pour rentrer en possession du diamant volé. — (Jules Verne, L’Étoile du sud, 1884)
- Mais quand l’Église, profitant de l’effondrement de la puissance romaine et du désarroi provoqué à travers les Gaules par les invasions barbares, s’installa dans le pays sans que nul n’y prît garde, son premier soin fut de s’assurer de la possession des terres. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- (Grammaire) Rapport possessif ou analogue à la possession, exprimé par les adjectifs possessifs comme ma, les pronoms possessifs comme le mien, les adpositions comme de, les verbes comme avoir, etc.
- (Au pluriel) Terres possédées par un État ou par un particulier.
- Dans ce but il demanda à la régence d’Ensisheim communication de l’engagement pris par les parties guerroyantes de respecter les possessions autrichiennes, ainsi que les villes impériales. — (J. Gyss, Histoire de la Ville D'Obernai, tome 1, Strasbourg : chez Salomon, 1866, page 380)
- Probablement dans un temps assez rapproché, la Russie cédera ses possessions américaines au gouvernement des Etats-Unis. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, 1873)
- (Absolument) (En particulier) Jouissance de certains plaisirs, de certaines choses qu’on a recherchées avec ardeur.
- La musique […] emplit tout d’une caresse nostalgique. Ici sur un tressautement appliqué de java, là, sur la houle passionnée et la lente possession de danses moins animales. — (Francis Carco, L’Amour vénal, Éditions Albin Michel, Paris, 1927, page 16 & 17)
- La possession diminue ordinairement le prix des choses qu’on a le plus désirées. La possession n’a fait qu’augmenter son amour.
- (Théologie chrétienne) État d’un homme qu’on dit possédé par le démon.
- La possession diffère de l’obsession en ce que, dans la possession, le démon est censé agir au-dedans, et que, dans l’obsession, il est censé agir au-dehors.
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aidons
?- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe aider.
- « Le pays dans lequel nous intervenons importe peu. Nous aidons nos collègues français », avance le chef du détachement Cristian Buhaiànu. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 13 août 2022, page 2)
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe aider.
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admettront
?- Troisième personne du pluriel du futur de admettre.
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adouciront
?- Troisième personne du pluriel du futur du verbe adoucir.
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vocation
?- (Religion) Mouvement intérieur ressenti comme un appel de Dieu à se consacrer à son service.
- De là vint l’usage, pour les matrones et les jeunes filles nobles, de prendre le voile et de se réfugier dans les couvents, non pas parce qu’elles y étaient appelées par la vocation, mais seulement pour préserver leur honneur de la méchanceté sans frein de l’homme. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Inclination que l’on ressent pour un état.
- Charles résolut de hasarder sur le tapis rouge de la Guerre son audace provençale qu’il prit, à l’exemple de tant d’autres, pour une vocation. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- La vraie marque d'une vocation est l'impossibilité d'y forfaire, c'est-à-dire de réussir à autre chose que ce pour quoi l'on a été créé. L'homme qui a une vocation sacrifie tout involontairement à sa maîtresse œuvre. — (Ernest Renan, Souvenirs d’enfance et de jeunesse, 1883, collection Folio, page 52.)
- La nostalgie d'une vocation est elle-même une vocation. — (Julien Green, Journal, 10 décembre 1961)
- Le statut d’entrepreneur individuel spécialisé dans la chnouf semble en contradiction avec une vocation de pédagogue se destinant à enseigner les valeurs du sport. À moins de se spécialiser dans le cyclisme. — (Bourse d'études, dans Marianne (magazine), n°772 du 11 février 2012, page 43)
- Disposition, talent.
- De ces leçons, de ces efforts, il en était résulté ce phénomène, assez ordinaire chez les natures poussées par la vocation, que, sans le savoir, Modeste composait, comme on peut composer sans connaître l’harmonie, des cantilènes purement mélodiques. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- M. Tom Smallways était fruitier de son état et jardinier par vocation, et Jessica, sa modeste épouse, vaquait aux soins de la boutique. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 6 de l’édition de 1921)
- Fonction supérieure que l'on croit devoir remplir pour des raisons morales ou transcendantes.
- La vocation de l’homme est d’être utile à ses semblables.
- Il remplit sa vocation en soulageant les infortunés.
- But, utilité, fonction, raison d'être.
- [...] les deux types de société qui s'affrontent depuis la victoire, à la fin des années 1920, de la révolution bolchevique en Russie, exaltent le travail en oubliant que les machines n'ont d'autre vocation que de nous en délivrer. — (Virgil Tanase, Saint-Exupéry, Gallimard, « folio - biographies », 2013, page 193)
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aimons
?- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe aimer.
- Il semble qu’une autre vie commence et qu’elle se cantonne, là, dans notre tache d’ombre, avec un petit coq arrogant au milieu de ses poules, deux pigeons sur une selle d’Agadès aux appliques de cuir vert et rouge, avec le Corse Scarbonchi — déjà très targuisé, et nous l’aimons comme ça! — El-Ranaffi, astucieux goumier et notre hôte Kinan qui nous observe avec discrétion par-dessus son litham. — (Jean Gabus, Initiation au désert, 1993, page 51)
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe aimer.
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accoudons
?- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe accouder.
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe accouder.
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confondront
?- Troisième personne du pluriel du futur de confondre.
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acclimatation
?- Action d’acclimater, d'habituer à un nouveau milieu.
- Jardin d’acclimatation, société d’acclimatation.
- Fait de s'acclimater, de s’accoutumer.
- Une ascension progressive permet une bonne acclimatation à l’altitude
- ll faut faire comprendre que la période d'acclimatation est la plus importante et que jamais un médicament ne remplacera une acclimatation « naturelle ». — (Hugues Monod, Pierre Rochcongar, Médecine du sport, 2009)
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arrivons
?- Première personne du pluriel de l’indicatif présent du verbe arriver.
- Nous arrivons juste à temps pour reboire une larmichette de café avec la brigade, dont la journée vient de commencer. — (Fanny Deschamps, Croque-en-bouche, 2014)
- Première personne du pluriel de l’impératif du verbe arriver.
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.