Dictionnaire des rimes
Les rimes en : absout
Mots qui riment avec "ou"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "absout".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ou , ous , out , outs , oux , oup , oups , oût , oûts , oue et oues .
-
bout
- Partie extrême d’une chose.
- Il leur suffisait de tremper le bout des doigts dans une pipe de cidre ou une cuvée de vin pour changer cidre et vin en bouse liquide ; […]. — (Octave Mirbeau, Rabalan,)
- Il y a encore une autre région frontière orificielle qui est un foyer sexuel tactile de haute importance : le bout des seins. — (Havelock Ellis, La Sélection Sexuelle chez l'Homme : Toucher, odorat, ouïe, vision, traduit par A. Van Gennep, Paris : Mercure de France, 1922, page 45)
- Il habite à l’autre bout de la ville.
- Le gros bout de poitrine, morceau de boucherie, à l'avant de la poitrine.
- Ce qui garnit l’extrémité de certaines choses.
- Le bout d’un parapluie.
- Le bout d’une allumette.
- Petite partie de certaines choses ; morceau résiduel.
- De mon cigare il ne me restait plus qu’un bout entre les lèvres, et, après en avoir aspiré les dernières bouffées, je le jette par-dessus le bord. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre III, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- […], M. Smallways se livrait à l’horticulture, sur ce dernier bout de terrain investi de jour en jour plus étroitement par les accaparements urbains. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 7 de l’édition de 1921)
- Fin, terme, d’une chose qui dure dans le temps.
- Au bout du mois vous recevrez votre salaire.
- C’est une affaire dont il ne verra jamais le bout.
- Telle était, ce soir, la misère d’Yves, qu’il n’imaginait même pas d’en voir jamais le bout. — (François Mauriac, Le Mystère Frontenac, 1933, réédition Le Livre de Poche, pages 71-72)
- le Périat a été mon précepteur, un si saint homme qu’on a dû le jeter dehors avant le bout de l’an, parce qu’on ne pouvait pas garder une bonne avec lui, qu’il ne l’eût mise enceinte, avant le bout du mois. — (Marcel Jouhandeau, Chaminadour, Gallimard, 1941 et 1953, collection Le Livre de Poche, page 358)
- (Cartes à jouer) Carte spéciale dans certains jeux de cartes, comme le tarot
- Au tarot, il y a trois bouts : le petit (le un d’atout), l’excuse et le 21 d’atout.
- (Marine) Avant, proue, du bâtiment.
- Ce bâtiment a le bout à terre.
- Naviguer vent de bout.
- (Maçonnerie, Mécanique, Menuiserie) Bord le plus court d'une plaque, d'une tôle, d'une planche ; et plus généralement, face étroite d’un objet pris dans sa largeur, par opposition au plat et au chant.
-
escout
- Écoute, action d’écouter.
- Tuit li baron sont en escot — (Le Roman de Thèbes, édition de Constans, page 73, tome I)
- Tous les barons sont à l’écoute
- Espion.
- Par Deu ! ço dist l’escut, cist gab valt .iij. des altres — (Pèlerinage de Charlemagne, édition de Francisque Michel, page 26.)
- lauroux
- mazous
- lassouts
- recoux
-
dégoût
- Manque de goût, d’appétit.
- Il a un si grand dégoût, qu’il ne peut manger de rien.
- Il n’a plus de fièvre, mais il lui est resté du dégoût.
- Vaincre, surmonter son dégoût.
- Répugnance violente éprouvée pour ce qui est perçu comme nuisible à sa santé.
- D’écœurement, de dégoût et d’indigestion, Tintin vomit tripes et boyaux et faillit en crever pendant la nuit. — (Louis Pergaud, « La Traque aux nids », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Des hoquets de dégoût convulsèrent de nouveau leurs faces hâlées, zébrées de rides : depuis un mois, ils avaient bu de l’eau dans laquelle mijotait ce noyé ; depuis un mois tout le pays s’abreuvait de cette pourriture. — (Louis Pergaud, « Un petit logement », dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Le dégoût est une réaction émotionnelle de défense atavique à l’encontre d’agents extérieurs susceptibles de nous contaminer : les sécrétions corporelles (morves, vomissures, excréments), les parasites (vers, poux, etc.), les corps en décomposition et les vecteurs de maladies contagieuses (pestiférés, lépreux). Le dégoût entraîne une réaction de rejet, voire de destruction, des substances ou des individus virtuellement contaminants. — (Mathieu Ricard, Plaidoyer pour l’altruisme, NiL, Paris, 2013, page 450)
- Répugnance qu’on a pour certains aliments.
- Elle nous imposait ses goûts et ses dégoûts. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 23)
- (Sens figuré) Aversion qu’on prend pour une chose ou pour une personne.
- Elle guettait les passants, mais avec un air d'indifférence profonde, presque de dégoût. — (Isabelle Eberhardt, Yasmina,1902)
- Si Gobineau a été l'objet du dégoût, de la crainte, de l’ostracisme de nos « rationalistes », c’est qu’il s'est élevé à la fois contre leurs faux raisonnements et contre leur absurde principe de la primauté de la raison : […]. — (Louis Thomas, Arthur de Gobineau, inventeur du racisme (1816-1882), Paris : Mercure de France, 1941, page 33)
- (Sens figuré) Déception dans l’usage d’une chose qui en amène la répugnance. — Note : En ce sens, on l’emploie surtout au pluriel.
- Il fut abreuvé de dégoûts.
- Il a eu bien des dégoûts dans sa carrière.
- Éprouver, essuyer des dégoûts.
- Il connaît tous les dégoûts du métier.
- chalmoux
- pouilloux
- domloup
-
boulou
- (Linguistique) Langue bantoue parlée au Cameroun.
- Plus à l’est et vers le sud s’étend le domaine des langues béti, incluant l’ewondo (aux environs de Yaoundé), le fang (également en usage en Guinée équatoriale) et le boulou. — (Jean Sellier, Histoire des langues et des peuples qui les parlent, La Découverte, 2019, page 580)
- barboux
-
zou
- (Familier) En avant, hors d’ici.
- Allez, zou ! du balai ! Laissez-moi un peu respirer.
- Bon allez, zou ! j’y vais. À la prochaine.
- Zou, on bouge.
- J’irais faire un bon tour dans Piccadilly et dans Oxford Street ; puis « zou » ou, si vous préférez, forward, je me rendrais en avion – sans me tromper de porte, je vous prie de le croire –, directement à Marseille […] — (Léon Daudet, Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux/Vingt-neuf mois d’exil, Grasset, réédition Le Livre de Poche, page 507)
- « Allez, zou, donnez-moi quelques paquets, je veux vous accompagner ! » — (Marcel Pagnol, Le château de ma mère, 1958, collection Le Livre de Poche, page 237)
- « Allez, zou ! Au travail ! » — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets, 1960, collection Le Livre de Poche, page 15)
- lanloup
- ventoux
- campistrous
- brenoux
- trincou
- buoux
- trioulou
- arrou
-
cantalou
- (Familier) Relatif au Cantal, département français, ou à ses habitants.
- La 20e édition du Festival international de théâtre de rue d’Aurillac ouvre pendant 4 jours les rues, les places, les squares et les alentours de la cité cantaloue aux artistes de rue et à quelque 100.000 spectateurs, pour offrir une programmation ouverte sur l’international. — (Le Nouvel Observateur, Festival de théâtre de rue à Aurillac, nouvelobs.com, 19/08/2005)
-
loup
- (Mammifères) Mammifère carnivore de la famille des canidés, à l'allure d'un grand chien au pelage gris jaunâtre, aux yeux obliques et aux oreilles dressées, de nom scientifique Canis lupus lupus, et de même espèce (Canis lupus) que le chien domestique dont il est le pendant sauvage.
- C’est ainsi que je sortis, après avoir remercié M. Goulden, qui m’avertit de ne pas rentrer trop tard, parce que le froid augmente à la nuit, et qu’une grande quantité de loups devaient avoir passé le Rhin sur la glace. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813, J. Hetzel, 1864)
- Ils semblaient inquiets, quelques-uns paraissaient pris de folie, les loups surtout, qui arrivaient en bandes échevelées, puis disparaissaient en poussant de rauques aboiements. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures, J. Hetzel et Cie, Paris, 1873)
- Très vite incriminés, les naturalistes ont procédé à une enquête visant à reconstituer la progression des loups depuis les Abruzzes jusqu’au Mercantour. — (Isabelle Mauz, Gens, cornes et crocs, Éditions Quae, 2005, page 221)
- Comme il s’en revenait du champ le 13 septembre 1759, Joseph Nevoret est éventré et mangé par un loup carnassier à Viriat (Ain) : on était « environ le soleil couchant ». — (Jean-Marc Moriceau, Histoire du méchant loup : 3 000 attaques sur l’homme en France (XVe-XXe siècle), Fayard, 2007)
- La malbête a encore attaqué ! répète-t-il. Le grand Berlot est blessé ! Tandis que le garçon raconte le combat acharné du solide moissonneur contre le loup enragé, les habitants de Mosnay se tournent vers la maison des Aufour en deuil. — (Xian Moriarty, Catherine Loiseau & Béatrice Ruffié Lacas, Monstres à toute vapeur, Lune Écarlate Éditions, 2014, page 51)
- (Familier) Terme d’affection.
- Ils étaient évidemment des amoureux et sans doute des néoconjoints.Bientôt, je m’endormis au roucoulement de cette pseudo-ménagerie disparate, et au petit jour, je fus éveillé par des mon petit loup et des mon gros canard sans fin. — (Alphonse Allais, Le petit loup et le gros canard, dans Deux et deux font cinq, Paris, Paul Ollendorff, 1895)
- (Pêche) Sorte de poisson ; loup de mer.
- Les poissons qu’on y pêche sont d'un goût excellent; ceux qu’on estime le plus et qu'on rencontre le plus fréquemment, sont : le rouget, le maquereau, le loup, la sole, deux espèces de sardines enfin et sur-tout le mulet (vulgairement muge), dont nos pêcheurs distinguent aussi deux variétés. — (M. de Rivière, « Mémoire sur la Camargue », dans les Annales de l’agriculture française, 2e série, tome 34, Paris : chez Madame Huzard, avril 1826, page 76)
- Si le bar est communément appelé « loup « en Méditerranée, il existe bien un loup qui vit dans le sud des îles Britanniques (Anarhicas lupus). Le premier est d’une valeur gastronomique reconnue, tandis que le second est de bien moindre qualité. — (Pêche à pied en bord de mer, Éditions Artemis, 2005, page 146)
- Petit masque que l’on porte dans les bals masqués et qui ne couvre qu’autour des yeux.
- Dans les bosquets obscurs du « Cabaret des raccourcis », un groupe d’apaches entourait Fantômas… du moins un homme vêtu de noir et masqué d’un loup. — (Pierre Souvestre et Marcel Allain, Fantômas, La Guêpe rouge, 1912, Éditions Robert Laffont, collection Bouquins, tome 5, page 690)
- Le loup avec voilette en dentelle doublée constitue la touche finale du déguisement. — (Isabelle Hidair, Anthropologie du carnaval cayennais : une représentation en réduction de la société créole cayennaise, PubliBook, 2007, page 66)
- Aujourd'hui, je fais ce qui me plaît (me plaît), Devinez, devinez, devinez qui je suis, Derrière mon loup, je fais ce qui me plaît, me plaît — (La Compagnie créole, Le bal masqué)
- Sorte de masque porté par certains ouvriers pour protéger leur visage.
- De place en place, quelque casseur de cailloux se redressait, et regardait à travers son loup de fil de fer cette carriole enragée et hurlante emportée dans la poussière. — (Guy de Maupassant, La maison Tellier, 1881, réédition Le Livre de Poche, page 47)
- (Technique) Gros défaut d’une pièce, entraînant sa mise au rebut ; malfaçon irrémédiable d'un ouvrage.
- Arrivé à la cinquième période du travail, le puddleur doit avoir soin de bien nettoyer la sole, afin de ne pas y laisser du fer demi-affiné qui s’attacherait et formerait un loup. — (Lucien Ansiaux & Lambert Masion, Traité pratique de la fabrication du fer et de l’acier puddlé, texte, Liège, P. Gouchon & Paris, E. Lacroix, 1861, page 77)
- Les loups sont la maladie la plus fréquente des fours à puddler. La fonte blanche bien travaillée donne rarement des loups, mais les meilleurs ouvriers peuvent obtenir des loups en travaillant sur fonte grise, […]. — (Benoit Valérius, Traité théorique et pratique de la fabrication du fer, Paris, L. Augustin Mathias & Bruxelles, chez l’auteur, 1843, page 196)
- Si le [commandant du camp d'aviation] refuse de [donner à un avion expérimental] un pilote (et, vous savez, on essaie ici tout ce qui possède une hélice), vous pouvez parier que c’est un loup. — (William Faulkner, Sartoris, traduction René-Noël Raimbault & Henri Delgove, éd. Gallimard, 1937, réédition Folio, pages 455-456)
- (Jeux) Jeu d’enfants où un des participants appelé loup doit toucher un de ses camarades qui devient le loup à son tour.
- « Mais je veux jouer au loup », objecta Gérald. « Il veut jouer au loup », cria Géraldine, prenant soudain la part de son frère. « On veut jouer au loup ! » crièrent-ils de concert. — (Lucy Maud Montgomery, Anne au Domaine des peupliers, 1936, traduction Ruth & David Macdonald et John G. McClelland, 1989, éd. Québec Amérique, 2005, page 252)
- (Industrie textile) Sorte d’appareil de battage de la laine, avec des dents plus nombreuses.
- Le louvetage termine l’épuration de la laine ; il est analogue à l’opération précédente ; seulement, le loup est armé d’un beaucoup plus grand nombre de dents, et il est animé d’une plus grande vitesse : il fait 6 à 800 tours par minute […] — (Jean Baptiste Dumas, Traité de chimie appliquée aux arts, volume 8, 1846)
- (Armement) Verrou qui bloque le chien d’une arme à feu.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Métallurgie) Morceau de fonte qui obstrue le creuset.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Pêche) Filet que l’on tend sur trois perches de bois.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Orfèvrerie) Morceau d’ivoire brut servant de brunissoir, de polissoir.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Technique) Grosse pince destinée à l’arrachage des clous.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- Armoiries avec deux loups (sens héraldique) (Héraldique) Meuble représentant l’animal du même nom dans les armoiries. Il est généralement représenté passant la queue relevée. À rapprocher de chien, goupil, levrette, lévrier et renard.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- Tranché : au 1er d’argent au loup passant en bande d’or, au 2e de gueules au loup passant en bande d’argent, qui est d’Échenans → voir illustration « armoiries avec deux loups »
- (Sylviculture) Arbre supervital mal conformé.
- Un chêne dominant n’est éliminé pour une question de forme que s’il s’agit d’un véritable « loup » (arbre flexueux, fourchu ou très branchu à moins de 5 m, sans dominance apicale…). En cas de doute sur le fait qu’il s’agisse bien d’un loup irrécupérable, il est conservé, les chênes ayant en effet une forte capacité à améliorer leur forme avec le temps. — (Thierry Sardin, Chênaies continentales, Office national des forêts, 2008, ISBN 978-2-84207-321-3 → lire en ligne)
- (Sens figuré) Problème caché ou dissimulé.
- Mais les syndicats ont vu le loup, caché derrière cette rationalisation de bon sens : la volonté de sortir les usines allemandes du système de cogestion qui donne aux syndicats un droit de regard sur la gestion et l’emploi dans les sites. — (Philippe Escande, « Automobile : « En danger de mort, les constructeurs allemands rationalisent à tout-va » », dans Le Monde, 18 novembre 2021 [texte intégral])
- (Vieilli) Créancier.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
cloue
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe clouer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe clouer.
- Elle possède au plus haut degré cette science de l’existence qui bonifie les moindres parcelles de la matérialité, qui fait que votre pantoufle est la plus exquise pantoufle du monde, qui donne à votre linge une saveur indicible, qui double de cèdre et parfume les commodes ; qui verse à l’heure dite un thé suave, savamment déplié, qui bannit la poussière, cloue des tapis depuis la première marche jusque dans les derniers replis de la maison, brosse les murs des caves, polit le marteau de la porte, assouplit les ressorts du carrosse, qui fait de la matière une pulpe nourrissante et cotonneuse, brillante et propre au sein de laquelle l’âme expire sous la jouissance, qui produit l’affreuse monotonie du bien-être, donne une vie sans opposition, dénuée de spontanéité et qui pour tout dire vous machinise. — (Honoré de Balzac, Le Lys dans la vallée, 1836 (en parlant de l’Angleterre))
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe clouer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe clouer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe clouer.
-
courroux
- (Soutenu) Irritation véhémente, colère.
- Il faut perdre Aricie, il faut de mon épouxContre un sang odieux réveiller le courroux. — (Racine, Phèdre, acte IV, scène 6)
- Tandis que les courtisans, […], suivaient l’exemple de leur prince, en lançant un trait de ridicule contre Cédric, la figure du Saxon s’enflammait de courroux, et il dardait des regards fiers de l’un à l’autre, …. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- « C’est étrange, il y a des mots qui sont aussi beaux dans les deux langues… écoute comme il est beau en russe, le mot ‘gniev’, et comme en français ‘courroux’ est beau… c’est difficile de dire lequel a plus de force, plus de noblesse… elle répète avec une sorte de bonheur ‘Gniev’… ‘Courroux’… elle écoute, elle hoche la tête… Dieu que c’et beau… et je réponds Oui. » — (Nathalie Sarraute, Enfance, Gallimard, 1983, collection Folio, page 258)
- Une publicité […] faisant un "usage abusif" de son image déclenche le courroux de M. Sarkozy. — (Le Monde, 30 janvier 2008)
- (Sens figuré) (Poétique) Le courroux de la mer, des flots. - Les flots en courroux.
- Done Elvire -- Je ne viens point ici pleine de ce courroux que j'ai tantôt fait éclater, et vous me voyez bien changée de ce que j'étais ce matin. — (Molière, Don Juan, acte IV, scène V)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.