Dictionnaire des rimes
Les rimes en : abomine
Mots qui riment avec "ine"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "abomine".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : ine , ines , inne , innes , îne , înes , yne et ynes .
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couine
- Première personne du singulier de l’indicatif présent de couiner.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de couiner.
- Première personne du singulier du subjonctif présent de couiner.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent de couiner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de couiner.
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dessine
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif de dessiner.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de dessiner.
- Installé devant la table, près de la fenêtre, il feuillette des albums, il lit, il dessine, il peinturlure, il fait des devoirs d’écolier, mais aussi il rêvasse beaucoup. — (Léon Frapié, Le tyran, dans Les contes de la maternelle, éditions Self, 1945, page 126)
- Ce que la loi historique associant crise religieuse et baisse de la fécondité suggère cependant avec force, c’est que l’islamisme est un moment et non la fin de l’histoire, et qu’au-delà se dessine l’éventualité, à terme, presque certaine d’un monde musulman désislamisé, comme il existe déjà un monde chrétien déchristianisé et un monde bouddhiste « débouddhisé ». — (Youssef Courbage, Emmanuel Todd, Le rendez-vous des civilisations, 2007, page 28)
- Première personne du singulier du présent du subjonctif de dessiner.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de dessiner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif de dessiner.
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fuchsine
- soit le composé de fuchsia et -ine, par analogie de couleur.
- soit le composé de Fuchs et -ine. Fuchs, traduit Renard Frères, firme qui a breveté le produit et pour laquelle travaillait le chimiste Emmanuel Verguin, de Lyon, qui a préparé industriellement ce produit inventé par le chimiste allemand A.-G. Hofmann.
- mélanostimuline
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jardine
- Première personne du singulier du présent de l’indicatif du verbe jardiner.
- Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif du verbe jardiner.
- Première personne du singulier du présent du subjonctif du verbe jardiner.
- Troisième personne du singulier du présent du subjonctif du verbe jardiner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe jardiner.
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nitroglycérine
- (Chimie) Ester du glycérol et de l'acide nitrique de formule brute C3H5N3O9 qui se présente comme une huile jaunâtre, corrosive, extrêmement toxique et d’une grande force explosive, qui peut également avoir un usage médical comme vasodilatateur.
- Dans les manipulations, quand pour charger une torpille, par exemple, on sera forcé de la décartoucher, opération qui ne peut guère être faite qu’avec les mains, il faudra, aussitôt le travail terminé, se laver avec soin et faire disparaître de la peau et surtout des ongles toute trace de nitroglycérine. — (La Revue maritime, 1875, volume 44, page 303)
- La nitroglycérine, poursuit le gros O’Brien, en voici. — (Georges Arnaud, Le salaire de la Peur, 1950)
- (Par extension) (Familier) Utilisé pour qualifier des situations tendues, instables qui peuvent, comme le produit d’origine, exploser à tout instant.
- « La question du français au Québec ? C’est de la nitroglycérine ! Un sujet explosif ! », prévient Éric Bouchard, du mouvement pour un Québec français (MQF). — (Jean-Claude Raspiengeas, Le Québec, un îlot de résistance dans l’océan anglophone, journal La Croix, 3 août 2017, page 21)
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gouine
- Mot normand[1] signifiant autrefois « femme » du terme scandinave kvinna (même sens). Le mot est plus tard devenu péjoratif. Le normand a aussi les termes gouënipe ou couénipe « femme de mauvaise vie ».
- Auguste Creuzé de Lesser[2] tire ce mot de la reine Goïne (à rapprocher avec le gaélique coinne, « femme », l’anglais queen, « reine ») qui trompait son mari et le fit périr pour fuir avec son amant :« Quoiqu’en amour à la bonté j’incline,Je n’en ai pas pour la reine Goïne ;Et jusqu’à nous son nom un peu changéVint justement en proverbe érigé. » — (La Table ronde, 1810)
- Auguste Scheler[3] soulignant que l’ancien français avait godine (sens identique), propose une racine god : le verbe godailler (« boire avec excès ») ayant subi lui aussi une évolution vers gouailler (« s’amuser ») d’où gouaille. Cette racine, selon ce même auteur faisant référence au philologue allemand Friedrich Christian Diez, n’est pas issue du latin gaudere (« jouir »), mais est plutôt d’origine celte et se retrouve dans le gallois god (« luxure »), l'ancien français godon (« femme de mauvaise vie ») ou, plus proche de nous, godelureau.
- De l’arabe قينة, qayna (le « ق -q » arabe étant souvent retranscrit en « g », comme dans le mot qahba donnant gaupe, et comme il est fréquemment prononcé dans certains dialectes, tel قلب qalb (« cœur » en français), prononcé « galb » en Tunisie et dans la Péninsule arabique). Une qayna était une esclave-musicienne au Moyen-Orient, d'où la réputation de femme de mauvaise vie.
- Probablement issu plus ou moins directement de la racine indo-européenne gʷḗn ("femme"). À rapprocher du sens 2.
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autodiscipline
- Discipline personnelle, créant de nouvelles habitudes ou actions en vue de s’améliorer et d’atteindre les buts que l’on s’est fixés.
- L’autodiscipline est le principe par lequel nous créons volontairement notre modèle de pensée pour le faire correspondre à nos objectifs et à notre volonté. — (Claudie Woehrlé, Comment rencontrer le Bonheur: Une fois pour toutes, 2013)
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hétérodyne
- Générateur d’oscillations électriques sinusoïdales, généralement employé dans un récepteur radioélectrique pour effectuer un changement de fréquence.
- En regard, accumulons une succession de notes d’harmonium, tournons le bouton d’un hétérodyne, ou écoutons une sirène d’alarme: la forme (dynamique) est sensiblement fixe (musicalement) ; mais on aperçoit clairement l’évolution du contenu harmonique ou mélodique, qui constitue la matière du son. — (Pierre Schaeffer, Traité des objets musicaux, 1966)
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crétine
- (Médecine) Celle qui est affectée de crétinisme ou, par extension, de myxœdème congénital.
- Franchement quelle crétine celle-la.
- (Familier) (Péjoratif) Idiote.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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équine
- Féminin singulier de équin.
- Le sarcoïde est la tumeur cutanée équine la plus fréquente, régulièrement rencontrée dans les EEP des zèbres de Hartmann et des ânes de Somalie, mais peu décrite chez les zèbres de Grévy. — (Céline Uhlrich-Meunier, Contribution à l’étude du sarcoïde chez le zèbre de Hartmann, le zèbre de Grévy et l’âne de Somalie, au sein des programmes d’élevage européens, 2015)
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espouline
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe espouliner.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe espouliner.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe espouliner.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe espouliner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe espouliner.
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muscardine
- (Soierie) Maladie cryptogamique du ver à soie.
- Cet aspect cotonneux de la muscardine lui a valu le nom vulgaire de « dragée ». Le mal se répand par dissémination des spores ; c’est donc au moment où le ver a blanchi qu’il est dangereux pour ses voisins. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature ; 1re partie : Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
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consanguine
- (Droit) Sœur, née du même père, mais non de la même mère.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
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déchagrine
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe déchagriner.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe déchagriner.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe déchagriner.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe déchagriner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe déchagriner.
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invagine
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe invaginer.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe invaginer.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe invaginer.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe invaginer.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe invaginer.
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cameline
- (Botanique) Plante de la famille des Brassicacées (ou Crucifères) également appelée « lin bâtard » ou « sésame d'Allemagne », dont les graines fournissent une huile au taux d'acides gras oméga-3 très élevé (plus de 45 %) et utilisée en cuisine, en cosmétique, en peinture, comme combustible, dans la fabrication du savon noir, etc.
- La culture de la cameline a presque entièrement disparu. Les derniers champs cultivés se trouvent dans la région du Nord, surtout dans le Pas-de-Calais et la Somme. — (M. Jouven, Les plantes à huile, Paris : éditions de Monsouris (collection Rustica), 1942, page 41)
- Dans les environs de Montdidier , on ne sème presque toujours la cameline que sur les parties des pièces de froment où ce grain a manqué ; […]. — (François Rozier, Jean-Antoine Chaptal, André Thouin & al., Cours complet d'agriculture, Paris, 1805, vol.11, p.292)
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fine
- (Typographie) Terme utilisé communément dans l’imprimerie et par les typographes pour désigner une espace insécable, mais d'une largeur fixe non justifiable (en cas de justification des lignes complètes de paragraphes entre les deux marges), et plus fine (entre un sixième et un quart de cadratin, selon les polices de caractères utilisées) que l’espace normale (un demi cadratin) séparant les mots ; la fine est utilisée soit en juxtaposition avec certains signes de ponctuation, soit aussi (dans les conventions typographiques françaises) comme séparateur de groupes de chiffres dans un nombre ou un numéro.
- On insèrera en français une fine avant les signes de ponctuation double comme les deux-points, le point-virgule, le point d’exclamation, le point d’interrogation, ainsi qu’à l’intérieur des guillemets français, ou parfois aussi après une puce ou un tiret demi-cadratin en tête d’un élément dans une liste ou énumération afin que les premiers termes de chaque élément apparaissent verticalement alignés en cas de justification des paragraphes. On utilisera aussi la fine comme séparateur de groupes de chiffres dans les nombres et numéros.
- Les fines typographiques juxtaposées aux signes de ponctuation dans les documents déjà mis en page sont le plus souvent codées U+2009 (un cinquième de cadratin, soit 0,2 em) dans les normes Unicode et ISO/IEC 10646. Cependant les typographes francophones recommandent traditionnellement souvent plutôt U+2005 (la fine d’un quart de cadratin, soit 0,25 em), contrairement aux typographes anglophones qui lui préfèrent traditionnellement U+2006 (la fine d’un sixième de cadratin, soit 0,166 em, presque invisible et très souvent omise). La différence de largeur entre les fines dépend de la façon dont sont conçues les polices de caractères utilisées, et notamment de l’approche incluse dans les glyphes eux-mêmes, puisque les typographes français ont souvent utilisé dans leurs polices une avance plus réduite que les typographes anglophones, afin de faire tenir plus de texte dans les lignes de paragraphes, sans trop augmenter le nombre de pages dans les ouvrages imprimés. Les polices de caractère modernes tiennent compte de la conception de leur glyphes pour ajuster la largeur de la fine typographique U+2009 qu’elles contiennent. Les autres fines à largeur constante U+2005 et U+2006 sont réservées aux typographes pour le rendu final des documents déjà totalement mis en page, avec des polices de caractères bien déterminées.
- Dans certains cas, la fine typographique U+2009 peut être partiellement justifiable (et légèrement agrandie) mais uniquement en cas d’activation de la justification des espaces d’approche intercaractère. La justification usuelle des paragraphes ne fait souvent pas appel à cet ajustement (nécessaire seulement dans la présentation de colonnes de texte très étroites afin d’éviter des espacements excessifs entre les mots lorsque les paragraphes sont justifiés), mais ne justifiera que les autres espaces. Les autres espaces fixes U+2000..U+2006, exprimées en cadratins, ne sont normalement pas affectées par la justification, et sont donc recommandées chaque fois que l’espace doit absolument conserver une largeur fixe, mais elles restent sécables.
- Toutefois, toutes ces fines ont le défaut de rester encore sécables (à cause d’une omission non corrigeable dans les propriétés Unicode du caractère U+2009), et une autre fine de largeur équivalente (mais insécable) a été ajoutée plus récemment (depuis Unicode 5.1) pour corriger ce défaut, codée U+202F. Cette dernière n’est pas encore supportée par nombre de polices, et les navigateurs internet ou moteurs de rendus, s’ils la traitent correctement comme insécable, omettent souvent de la remplacer par U+2009 quand cette dernière est disponible dans les polices utilisées. Pour ces raisons, la fine typographique devrait plutôt être représentée en SGML de façon symbolique avec « &nnbsp; », afin que les moteurs de rendus puissent déterminer plus librement le caractère Unicode équivalent à utiliser ; en HTML cependant (et aussi dans les documents graphiques SVG), cette référence symbolique (absente de leurs normes) n’est que rarement supportée par les moteurs de rendu : on lui préférera alors «   » (U+2009), un caractère bien supporté mais rendu insécable par une propriété CSS « white-space:nowrap ».
- (Vieilli) Eau-de-vie de raisin, en particulier cognac, de qualité supérieure. Apocope de fine champagne.
- — Je veux, dit Bénin, un grog au rhum.— Tiens ! moi aussi.— Je ne connais pas ça messieurs…, mais j’ai de la fine que je ne vous dis que ça.— Donnez de la fine ! — (Jules Romains, Les Copains, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 83)
- Sur ces mots, il a commandé trois nouvelles fines à l'eau. — (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre IX, Série noire, Gallimard, 1956, page 89)
- Ce traitement, on l’imagine N’est que pour la petite angine,Car s’il s’agit d’une grosse angineFaut ajouter un litre de fine. — (Jean Constantin, La petite angine, 1960)
- L’oncle Jules rapportait du Roussillon des raisins à l’eau-de-vie, des gâteaux mielleux qui collaient aux dents, un foie d’oie comme un cœur de veau, de la fine d’avant le déluge, et des R remis à neuf. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets, 1960, collection Le Livre de Poche, page 26)
- Toute seule au barDans un coin noirUne blonde platineSirote sa fine — (Chagrin d'amour (groupe), Chacun fait (c'qui lui plaît), 1981)
- (Industrie minière) Fraction fine issue d’un concassage ou d’un broyage.
- Les opérations de broyage marquent usuellement le terme des opérations d’épuration des fines, que celles-ci soient destinées à l’agglomération ou à la carbonisation. — (Ch. Berthelot, Épuration, séchage, agglomération et broyage du charbon, Paris : chez Dunod, 1938, page 362)
- Aphérèse de perle fine.
- Et voilà au cou de Bertille, médusée, deux cents fines tirées du profond des mers chaudes où le requin parfois vient croquer du plongeur. — (Hervé Bazin, Cri de la chouette, Grasset, 1972, réédition Le Livre de Poche, page 114)
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dégasoline
- Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe dégasoliner.
- Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe dégasoliner.
- Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe dégasoliner.
- Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe dégasoliner.
- Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe dégasoliner.
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grenadine
- Suc de grenade.
- Sirop de grenadine.
- (Par analogie) Préparation sirupeuse industrielle à base de mélange de jus de fruits rouges, et destiné à être diluée pour l’alimentation humaine.
- Sur la table, près de la chevelure de la fille, un verre à moitié plein d'un liquide dont Louis se demanda, à cause de sa couleur, si c'était de la grenadine. — (Patrick Modiano, Une jeunesse, Gallimard, collection Folio, 1981, pages 58-59)
- Ils s'assirent à une table dans le jardin de la ferme d'Auteuil et commandèrent deux laits grenadine. — (Patrick Modiano, Une jeunesse, Gallimard, collection Folio, 1981, page 115)
- À dix-sept heures, comme un grand nombre d’amoureuses locales, je reçus un kori à la grenadine. Je croquai la glace pilée et colorée avec enthousiasme. — (Amélie Nothomb, Ni d’Ève ni d’Adam, Albin Michel, Paris, 2007, p. 66)
- (Textile) Soie qu’on emploie dans la fabrication de la dentelle noire.
- Signalons encore le marabout qu’on mouline à nouveau après teinture, la soie à coudre, composée de trois à vingt-deux fils, la soie à tricoter, la soie tordue, l'ovalée, la plate, la grenadine. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- (Par analogie) Tissu léger fait de soie noire.
- Même, sans avoir la moindre envie d’en acheter, elle se fit montrer de la grenadine et de la gaze de Chambéry. — (Émile Zola, Au Bonheur des Dames, 1883)
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gâtine
- (Agriculture) Terre marécageuse, en friche ou de faible rendement, difficile à cultiver.
- […] : car il n'y a nulle justesse à opposer les seules terres cultivables de l’Égypte, à toutes les terres de la France en général: il falloit au moins en excepter les forêts, les gâtines, les bruieres, les landes de Bourdeaux, & d’autres cantons, qui ne valent pas mieux que les hauteurs de la Thébaïde, où le bédouins trouvent de quoi faire paître leurs chevaux. — (Corneille de Pauw, Recherches philosophiques sur les Egyptiens et les Chinois, tome 1, Berlin , chez G. J. Decker, 1773, page 100)
- La départementale 59, dont nous parcourons les longues lignes droites depuis notre départ, est mollement vallonnée, roulante et peu encombrée. Les manuels de géographie nous disent que cette région est une gâtine – très précisément la gâtine de Loches et de Montrésor - terme qui signifiait « désert » en vieux français et « terre marécageuse, imperméable et stérile » dans les dictionnaires actuels. Ces définitions suffisent à décrire l’environnement sans grand intérêt que notre petit groupe traverse. — (Gilbert Jaccon, Le Livre de mes Rayons du Centre, tome 2 (2006-2010), chez l'auteur/Lulu.com, nouvelle édition, janvier 2016, page 162)
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nitrobenzine
- (Chimie) Combinaison d’acide nitrique et de benzine.
- Nous devons attirer ici l’attention sur l’essence de mirbane ou nitrobenzine qui a la même odeur que l’essence d’amandes amères et qui pour cette raison s'est trouvée employée pour parfumer des savons bon marché. Il est utile de rappeler que la nitrobenzine est toxique et devrait être absolument bannie de cette sorte d’emploi. — (Marcel Hégelbacher; La Parfumerie et la Savonnerie. -1924, page 29)
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bouquine
- Féminin singulier de bouquin.
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feutrine
- Feutre de laine, souple et mince, généralement teint de couleurs vives, utilisé en confection, décoration.
- Elle déplace un écrin, soulève la feutrine qui tapisse le tiroir, […]. — (Didier van Cauwelaert, La vie interdite, Albin Michel, page 171).
- Par cette technique de feutrage, on obtient des plaques de feutrine en surfaces planes ou des objets en feutre d’une forme précise et sans couture en utilisant un gabarit spécifique (par exemple : un gabarit de sac à main). — (comment feutrer la laine par la technique du lavage ?, abcfeminin.com)
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induline
- Matière colorante jaune dérivée de l'aniline, appelée aussi aniline jaune (dans certains ouvrages). On nomme aussi couramment de ce nom, suivi d'un numéro ou d'une lettre, plusieurs colorants dérivés : (induline3 ; induline 6 ; induline 6B, écarlate d'induline (rouge), induline R ou bleu Coupier, induline Scarlet (jaune safran), induline noire, flavinduline (jaune), etc.). Sa formule brute est C12H11N3.
- Pour le rH par exemple, on utilise des dérivés de l’indigo, de l’induline, la diphénylamine... qui virent le plus souvent par simple décoloration due à la réduction. — (Maurice Déribéré, La couleur: « Que sais-je ? » n° 220, 1964)
- Traitée par l'aniline, elle donne des matières colorantes de la classe des indulines. — (Edmond Frémy, Encyclopédie chimique: Introduction and atlas, 1892)
- Le bleu Coupier est une induline soluble qui s'emploie beaucoup pour la soie et la teinture des drap de laine. — (Léon Lefêvre, Traité des matières colorantes organiques artificielles, éd. Masson, 1896)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.