Dictionnaire des rimes
Les rimes en : abaisseur
Que signifie "abaisseur" ?
Afficher la définitionMasquer la définitionwiktionary.org
- (Anatomie) Muscle servant à abaisser une partie du corps.
- L’abaisseur du sourcil
- L’abaisseur de l’angle des lèvres.
- L’abaisseur de la langue.
- (Médecine) (Archaïsme) Instrument servant à abaisser et à maintenir la langue, quand on examine le fond de la bouche.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Mots qui riment avec "eur"
Cette page a pour but de vous proposer une liste de rimes avec le mot "abaisseur".
Ces rimes vous permettront, je l'espère, de trouver de l'inspiration pour l'écriture de vos vers et textes poétiques.
Cette liste comprend des mots se terminant par : eur , eurs , eure , eures , eurre , eurres et œur .
-
cœur
- (Anatomie) Organe musculaire, creux et pulsatile assurant la circulation sanguine dans le corps humain ou animal.
- Après irrigation de l’organisme, le sang revient au cœur par les veines, puis il est envoyé aux poumons. Le compartiment droit du cœur est de taille inférieure à celle du compartiment gauche parce que le travail qu’il fournit pour envoyer le sang dans les poumons est moins important que pour l’envoyer dans tout l’organisme. À chaque battement de cœur, les muscles se détendent, ce qui permet le retour du sang dans le cœur. Puis les muscles se contractent de nouveau pour envoyer le sang dans toutes les parties du corps et le circuit reprend. — (Bill Forse, Christian Meyer, et al., Que faire sans vétérinaire ?, Cirad / CTA / Kathala, 2002, page 41)
- Le crapaud a la vie très dure. Il survit plusieurs heures à la décapitation, plusieurs jours à l’avulsion du cœur, quarante jours à l’ablation des poumons, plusieurs semaines à l’amputation du museau en arrière des yeux. — (Jean Rostand, La Vie des crapauds, 1933)
- Son grand succès était la célèbre « Chanson du Cœur » qui m’émouvait au plus haut point. Il y est question d’un fils acoquiné avec une gourgandine qui lui demande « le cœur de sa mère pour son chien » ; ayant tué sa mère et rapportant son cœur saignant, le fils tombe ; on entend alors le cœur lui dire : « T’es-tu fait mal, mon enfant ? ». — (Michel Leiris, L’âge d’homme, 1939, collection Folio, page 92)
- La respiration demeure calme, le cœur est encore bon, mais le sang lui dégouline du crâne sur le nez, dans les yeux, poisse la chemise. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- (En particulier) Organe considéré comme susceptible de mouvements causés par les passions.
- Le cœur en émoi, secouée de pressentiments inquiets, Zaheira se vêtit et gagna le village voisin sur un âne. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans « Trois contes de l’Amour et de la Mort », 1940)
- Son cœur ne se serrait pas, n’était pas plus ou moins flétri ; non, sa nature fraîche et fleurie se pétrifiait par la lente action d’une douleur intolérable parce qu’elle était sans but. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- Rien n'est plus malaisé que l’exploitation méthodique d’un évènement du cœur, rien ne s’amortit plus vite que les ondes d’un coup de foudre. — (Paul Nizan, La Conspiration, 1938, page 44)
- Me Demange achève sa plaidoirie, dont la péroraison très sobre, très courte, mais puissante par la chaleur de l’accent et de l’élévation de la pensée, touche visiblement le cœur des juges : […]. — (Maurice Paléologue, Journal de l’Affaire Dreyfus 1894-1899 : L'affaire Dreyfus et le Quai d’Orsay, Paris : Librairie Plon, 1955, page 260)
- (Par extension) Être aimant et aimé.
- Depuis longtemps il cherchait en vain un cœur capable de l’aimer pour lui-même, et s’affligeait de ne pouvoir le trouver. — (Marie-Jeanne Riccoboni, Histoire d’Ernestine, 1762, édition Œuvres complètes de Mme Riccoboni, tome I, Foucault, 1818)
- Un jour, alors qu'il est parti, pauvre cœur aux yeux soulignés par des cernes mauvâtres, au dos de plus en plus voûté, à la pâleur carcérale, je décide, prise d'un besoin pressant, de me lever. — (Ananda Devi, Manger l'autre, Editions Grasset, 2018)
- (Par métonymie) Partie de la poitrine où les battements du cœur se font sentir.
- Il le pressa, il le serra tendrement contre son cœur. - Mettre la main sur son cœur.
- (Par extension) (Familier) Estomac.
- Mal de cœur. - Il a mal au cœur. - Il a le cœur barbouillé. - Cela lui fait mal au cœur. - Il est sujet à des maux de cœur. - Cela lui fait soulever le cœur.
- (Sens figuré) Organe considéré comme le siège de la sensibilité morale, des sentiments et des passions.
- Bois-Guilbert, répondit la juive, tu ne connais pas le cœur des femmes […] — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- C'est à l'idéologie, […] qui, […] , veut sur ses bases fonder la législation des peuples, au lieu d'approprier les lois à la connaissance du cœur humain et aux leçons de l'histoire, qu'il faut attribuer tous les malheurs qu'a éprouvés notre belle France. — (Procès du général Malet, dans Causes célèbres du XIXe siècle: rédigées par une société d'avocats et de publicistes, Paris : H. Langlois fils & Cie, 1827 & Paris : P. Pourrat frères et Bazouge-Pigoreau, 1834, volume 2, page 70)
- J’ai la passion de la philosophie et de la science qui vont cherchant l’inconnu du cœur de l’homme et le pourquoi des lois de la vie. — (Octave Mirbeau, Contes cruels : La Chanson de Carmen (1882))
- (En particulier) Quant à la tendresse, l’amour et l’affection.
- C’est qu’à son insu, par la force des sympathies cachées qui existent entre tous les êtres dans la grande famille humaine, son cœur avait rencontré le cœur qu’il cherchait. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas, 1858)
- Julie avait deviné que madame de Sérizy était la femme qui lui avait enlevé le cœur de son mari. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
- J’ai pitié du pauvre cœur qui a si peu longtemps ce qu’il a ; j’ai pitié des hommes qui ont un cœur pour ne plus aimer. — (Henri Barbusse, L’Enfer, Éditions Albin Michel, Paris, 1908)
- (En particulier) Quant aux qualités morales liées à la compassion, vertu, générosité.
- C'est la pauvreté d'esprit qui purifie le cœur des ordures dont les richesses l’ont souillé. — (Instruction chrétienne sur les huit Béatitudes par demandes et réponses, Paris : chez Witte & chez Henry, 1732, page 286)
- Admirons deux fois l’homme chez qui le cœur et le caractère égalent en perfection le talent. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
- À la vue de traitements aussi atroces que l’on fait éprouver aux chevaux de course, le cœur de tout homme sensé se révolte. — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France, École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
- […] le respect de la personne humaine, la fidélité sexuelle et le dévouement pour les faibles constituent les éléments de moralité dont sont fiers tous les hommes d’un cœur élevé — c’est même très souvent à cela que l’on réduit la morale. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chap. VII, La Morale des producteurs, 1908, page 340)
-
abatteur
- Celui qui abat.
- Ce bûcheron est un grand abatteur de bois.
- C’est un grand abatteur de quilles, c’est un homme fort adroit au jeu de quilles.
- Vétérans chevronnés de la guerre des boutons, grands maraudeurs de pommes et abatteurs de noix, tous, garnements de dix à douze ans, nous avions ce printemps-là reformé notre association de bandits grimpeurs, pillards aériens et détrousseurs de nids. — (Louis Pergaud, La Traque aux nids, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
- Assis bas sur une chauffeuse bancale, les mains en avant, devant l'âtre qui fut celui de Bertine et où brûle encore ce noueux bois de culée qui appartient à l'abatteur et que Jobeau, ahanant, a dû passer des heures à fendre, je n'ai plus qu'à écouter Marthe. — (Hervé Bazin, Cri de la chouette, Grasset, 1972, réédition Le Livre de Poche, page 144)
- En Afrique équatoriale francophone, bûcheron spécialisé dans l’abattage des arbres de grandes dimensions.
- Celui qui abat du travail.
- Il avait un don unique entre tous, un don particulièrement précieux pour le travailleur, pour le producteur, pour un bourreau de travail comme lui, pour un gros abatteur de besogne. — (Charles Péguy, Victor-Marie, Comte Hugo, 1910)
- (Industrie minière) Ouvrier qui attaque la veine au pic, avec ou sans le secours d’explosifs, pour en faire tomber la houille en blocs et morceaux.
- (Ironique) Homme qui se vante de prouesses qu’il n’a pas faites.
-
douceur
- Qualité de ce qui est doux ; la chose même qui a cette qualité. — Note : S’emploie au propre et au figuré.
- C'est la vallée de la Seine, le pays royal, où les routes et les forêts semblent continuer les beaux parcs, – où des oiseaux chantent toujours. C’est le commencement de l'été : on respire ; et l'on sent jusqu'au fond du cœur la douceur de la France. — (Valery Larbaud, Fermina Márquez, 1911, réédition Le Livre de Poche, page 26)
- La vigogne a une toison formée de poils laineux très fins et d'une grande douceur. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
- Secteur aquitanien, qui doit à la douceur de son climat d’avoir conservé beaucoup de latéméditerranéennes. — (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, page 85)
- (Par extension) (Au pluriel) Les friandises propres à flatter le goût.
- Arrivée d’une somptueuse corbeille de fruits et de « douceurs » offerte par Duke Ellington. Ô merveille, ils sont aussi bons que beaux ! — (Hugues Panassié, Cinq mois à New-York, Éditions Corrêa, 1947, page 153)
- […], on lui glisse toujours quelques douceurs. Elle les refuse, puis finit par les accepter pour sa vieille mère : un pot de miel, une paire de grives, une hottée de pommes. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Durant ma maladie, il m’apportait chaque jour des douceurs. — Acheter des douceurs à un enfant.
- (Par analogie) (Au pluriel) Choses morales qui flattent l’âme, l’esprit, comme les substances douces flattent le goût.
- Les douceurs de la fortune, du succès, de la renommée.
- (En particulier) (Absolument) Façon d’agir douce et éloignée de toute sorte de violence.
- On concédera aux partisans de la douceur que la violence peut gêner le progrès économique et même qu'elle peut être dangereuse pour la moralité, lorsqu'elle dépasse une certaine limite. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chapitre VI, La moralité de la violence, 1908, page 256)
- Le coffre-fort ne veut pas être brutalisé, violenté ; il faut user de douceur avec lui, le caresser longuement. Une pince-monseigneur, un chalumeau ? Allons donc. Un petit air de flûte. Le charme opère. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 187)
- Une lueur cynique brillait dans son regard et Isabel eut un frisson involontaire quand il ajouta avec une douceur trompeuse : — Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras, c'est ce qu'on dit dans votre langue, je crois. Donc, je répète : quel est votre prix ? — (Diana Hamilton, L'amant espagnol, traduit de l'anglais par Françoise Pinto-Maïa, Éditions Harlequin, 2009, chapitre 3)
- (Par extension) Paroles aimables et particulièrement des paroles galantes qu’un individu adresse à un autre individu pour tâcher de lui plaire, de s’en faire aimer.
- Conter, dire des douceurs à une femme.
- Prêter l’oreille aux douceurs des galants.
- (Météorologie) Température agréable, chaleur modérée.
- La douceur d’une nuit d’été.
-
langueur
- Affaiblissement physique et moral qui réduit considérablement les forces et l’activité d'une personne. Action, fait de languir.
- Les Liméniennes ont toutes de belles couleurs, […], des yeux noirs d’une expression indéfinissable d’esprit, de fierté et de langueur ; […]. — (Flora Tristan; Les Femmes de Lima, dans Revue de Paris, tome 32, 1836)
- Les sanglots longsDes violonsDe l’automneBlessent mon cœurD’une langueurMonotone. — (Paul Verlaine, Chanson d’automne, 1866)
- Un long baiser rescella leur pacte. Aïssa, lourde de langueur, avait renversé sa tête sur l’épaule de son amant. — (Victor Margueritte, Un cœur farouche, Paris : Ernest Flammarion, 1921, page 61)
- Marguerite tombait en langueur. Elle travaillait toujours et personne ne pouvait lui faire de gros reproches à ce sujet, mais elle travaillait sans joie, d’une allure lasse, comme à regret. — (Ernest Pérochon, Les Gardiennes, 1924, réédition Les Moissons, 2021, page 170)
- Atteint d’un mal nommé porphyrie, le pauvre garçon est contraint de s’abreuver de sang humain pour conjurer sa langueur chronique. — (François Rivière, Dracula, cent ans et toutes ses dents, dans Libération (journal), 31 décembre 1987)
- État d’abattement d’une personne faible et malade.
- Il ne sent point les langueurs de l’âge.
- Maladie de langueur (On l’employait dans ce sens au pluriel).
- Louis XIII tomba dans un grand fauteuil garni d’oreillers, demanda et but un verre d’élixir préparé pour le fortifier contre les évanouissements fréquents que lui causait sa maladie de langueur, fit un geste pour éloigner tout le monde, et seul avec Richelieu, lui parla d’une voix languissante. — (Alfred de Vigny, Cinq-Mars, chapitre XXIV, 1826)
- Il y a deux ans, la reine le fit appeler pour soigner le dauphin atteint d’une maladie de langueur. — (Anatole France, L’Étui de nacre, 1892, réédition Calmann-Lévy, 1923, page 193)
- — Tranquillisez-vous, ma petite. C’est un peu de langueur. Dans deux jours vous serez sur pied. Reposez-vous. Vous prendrez votre potion, bien sagement, comme je vous l’ai ordonné… N’est-ce pas ? Vous me le promettez ?… — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, pages 123-124)
- Ce qu’il appelle le «languishing», ou la langueur en français, c’est le sentiment de stagner, une profonde impression de vide. — (Anne-Sophie Roy, L’indifférence, ce nouveau mal de vivre qui frappe les gens, Le Journal de Montréal, 25 avril 2021)
- (Vieilli) (Littéraire) Cause d’abattement et de nature physique (maladie ou blessure).
- […]; encore sa vie fut-elle accidentellement écourtée, puisqu’il périt « de langueur » un an après avoir été éborgné par un corbeau. — (Jean Rostand, La vie des crapauds, 1933)
- pervertisseur
-
danseur
- Celui qui danse.
- C’est un bon danseur, un grand danseur.
- Un danseur, une danseuse de l’Opéra.
- La musique enivre et règle le danseur, tandis que le curieux voit le mouvement seul et rit de ce pantin qui s’agite sans raison, car le curieux, lui, n’entend pas la musique. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre I)
- Les deux danseurs à tour de rôle s'agitaient en frappant sur un tambourin de peaux de phoque. Ce n'était pas beaucoup plus étrange que le charleston ou le black-bottom. — (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
- Tard dans la soirée, les danseurs commencèrent à s'animer. Il y eut alors quelques essais de « upa upa », qui est d'origine tahitienne, suggestive et voluptueuse. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
- Celui qui aime à danser, qui danse souvent, ou qui fait profession de danser.
- L’autre, sec, noueux, noiraud, correct à la façon d’un danseur salarié, répondait à l’appellation du « Mondain ». — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
-
adoucisseur
- (Vieilli) (Désuet) (Miroiterie) Ouvrier qui polissait les glaces, les miroirs.
- Adoucisseur d’eau.
- (Linguistique) Mot ajouté pour faire une requête plus légère et plus acceptable à l’interlocuteur.
- Quant aux actes « mixte », tels que l’offre, on constate qu’ils sont volontiers, et adoucis, et renforcés ; par exemple dans l’énoncé : « Mais prenez donc un peu de café ! », il est permis de penser que les renforçateurs « mais » et « donc » portent sur la composante FFA de l’acte de langage (manifestation de sollicitude envers le destinataire), alors que l’adoucisseur « un peu » porte sur sa composante FTA (l’offre est aussi un acte « impositif »), un tel énoncé pouvant être paraphrasé ainsi : « En t’offrant ce café, je ne veux pas lésiner sur ma générosité (politesse positive), mais je ne veux pas non plus exercer sur toi une pression excessive (politesse négative). » — (Catherine Kerbrat-Orecchioni et Véronique Traverso, Les interactions en site commercial, 2008, ISBN 9782847881349, p. 109)
- Pour chaque acte de langage (demande, requête, offre) on a noté ensuite la présence ou l’absence d’‘adoucisseur’. Dans la perspective de Brown et Levinson évoquée ci-dessus, est considéré comme ‘adoucisseur’ tout moyen linguistique qui permet de diminuer le risque de menace pour la face d’autrui ou de minimiser le FTA. — (Christine Béal, Les interactions quotidiennes en français et en anglais, 2010, ISBN 9783034300278, p. 266)
-
brumisateur
- Appareil servant à la vaporisation.
- Il est nécessaire, dans ce cas, d’avoir recours à un brumisateur à compresseur. — (Direction des bibliothèques de France, publié 1961, Institut pédagogique national)
- Appareil servant à la vaporisation de l’eau aux fins de rafraîchir les êtres en période de chaleur, de canicule.
- En plus des ventilateurs, il prévoit d’équiper la chèvrerie de brumisateurs. — (journal Sud-Ouest, édition Charente-Maritime / Charente, 13 août 2022, page 7)
-
adaptateur
- Qui permet l’adaptation d’une chose à une autre.
- Une bague adaptatrice, un joint adaptateur.
- Le catalogue Harley-Davidson est plein d'accessoires adaptateurs qui permettent d'adapter n'importe quelle pièce d"équipement à une de leurs motos.
-
curateur
- (Droit) (France) Celui qui est établi par justice, soit pour veiller aux intérêts d’un mineur émancipé et l’assister dans certains actes, soit pour administrer les biens d’un majeur déclaré incapable de les gouverner lui-même, soit enfin pour régir une succession vacante ou une chose abandonnée.
- Établir, élire, nommer, créer un curateur.
- Le curateur d’un mineur, d’un interdit.
- Le mineur non émancipé aura son domicile chez ses père et mère ou tuteur ; le majeur interdit aura le sien chez son curateur. — (Code civil des Français, Livre Premier - Des Personnes, Titre III - Du domicile)
- Curateur aux biens d’un absent, d’un condamné.
- (Droit) (Belgique) Celui qui est désigné par le tribunal de commerce pour administrer une faillite, procéder à la liquidation de celle-ci et en répartir le produit entre les créanciers déclarés du failli.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Muséologie) Celui qui gère une collection d’œuvres d’art.
- Partant du postulat que la fiction, lorsqu’elle parle du futur, est souvent anxiogène et possiblement contre-productive, le curateur d’Aléas, Ludovic Austry, souhaite invoquer d’autres territoires, à travers le regard, à la fois critique et poétique, de différents artistes qui proposeront ici de nouvelles perspectives. — (https://www.galeriehoug.com/actu/aleas-voyage)
- (Antiquité) Fonctionnaire impérial romain soit de rang prétorien, c’est-à-dire occupant la fonction de préteur, soit ceux de rang consulaire. Ils sont chargés de veiller sur les édifices sacrés, les constructions et les lieux publics, la voirie, le cours du Tibre.
- Frontin exerça la charge de curateur des eaux sous l’empereur Nerva.
-
concasseur
- Appareil qui sert à concasser du sucre, du poivre, des olives, etc.
- D’une masse de cinquante tonnes, il possédait deux paires de meules, l’une à farine de froment et l’autre à pâtée de méteil, une bluterie et un concasseur à avoine. — (Gérard Boutet, Paroles de nos anciens, 2013)
- Personne qui concasse.
- Elle me montra des photographies : des têtes d’assassins surgis des fourrés, des mâchoires de concasseurs. — (Paul Guth, Le mariage du Naïf, 1957, réédition Le Livre de Poche, page 79)
- Un jour Kiki la cocotte demande à Coco le concasseur de cacao de lui offrir un caraco kaki avec un col de caracul. Coco le concasseur de cacao voulut bien offrir à Kiki la cocotte le caraco kaki mais sans col de caracul. Or vint un coquin qui conquit le cœur de Kiki la cocotte. Il offrit à Kiki la cocotte le caraco kaki avec le col de caracul ! Conclusion : Coco le concasseur de cacao fut cocu. — (site www.vulgarisation-informatique.com/forum)
-
peur
- Crainte, frayeur, émotion pénible produite par l’idée ou la vue d’un danger.
- Aucun être humain ne peut supporter une terreur continuelle : la peur se retire finalement au second plan de l’esprit ; on l’accepte, on la met en place et on n’en veut plus entendre parler. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 261 de l’édition de 1921)
- À peine, dans une halte où se terminait la mission des meneurs de chevaux, je pus remarquer que les gradés qui faisaient le tri des hommes et des chevaux avaient grand’peur des lieux où ils nous envoyaient. Cette peur que l’on a de loin, et que j’ai éprouvée quelquefois dans la suite, diffère beaucoup de la vraie peur, mais elle n’est pas moins pénible. — (Alain, Souvenirs de guerre, Hartmann, 1937, page 14)
- Bientôt tes appels ne seront plus que rauquements de plus en plus sourds, beuglements de désespoir si fatigués qu’ils ne dépasseront plus ta gorge, étranglée de terreur par la furieuse certitude, la peur atroce et annihilante, la frayeur immonde de périr en Fagne. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
- Chez les possédants, l’agitation sociale réveille une vieille hantise particulièrement vivace chez les bourgeois français : la peur de l’ouvrier. — (Jacques Delpierrié de Bayac, Histoire du Front populaire, Fayard, 1972, page 13)
- Haï, Épicure le fut et le sera parce qu’il est un des héros de l’humanité. […]. Et si, à sa suite, l’ensemble de l’épicurisme fut maudit, et calomnié comme libertinage dévergondé, c’est parce qu’il guérit de la peur dont tout pouvoir, religieux ou politique, a besoin ! — (Robert Redeker, Les épicuriens, professeurs de liberté, dans Marianne du 5 au 11 février 2011, pages 72-73)
- Elle est aujourd'hui considérée comme une émotion négative dont il faut se libérer. Elle, c'est la peur. — (Jean-Guilhem Xerri, La vie profonde, éditions du Cerf, Paris, 2021, page 69)
- Crainte faible ; appréhension.
- J'attends votre première lettre avec une impatience qu'elle ne remplira peut-être point; j'ai bien peur de l'attendre encore après l'avoir reçue. — (Madame du Châtelet, « Lettres inédites au Maréchal de Richelieu et à Saint-Lambert », dans la Revue des deux Mondes, tome 3, Bruxelles, 1845, page 589)
- – Ce qui est certain, c'est que cette image est restée liée à ce livre et qu'est resté intact le sentiment qu’elle me donnait d'une appréhension, d'une peur qui n'était pas de la peur pour de bon, mais juste une peur drôle, pour s'amuser. — (Nathalie Sarraute, Enfance, Gallimard, 1983, collection Folio, page 48)
- Ah ! oui. J'ai bien peur que ce soit un cas de mariage en hâte dont ils se repentiront après. Ça fait juste trois ans qu'ils se connaissent. J'ai bien peur que Peter découvre que les beaux plumages font pas toujours de bons oiseaux. Fanny est très paresseuse, j'en ai peur. — (Lucy Maud Montgomery, Anne au Domaine des peupliers, traduit de l'anglais par Hélène Rioux, Québec Amérique, 2005, page 212)
-
bluffeur
- Personne qui bluffe, qui pratique le bluff, qui ment avec assurance pour tromper l’adversaire, pour gagner au poker, pour gagner à un jeu, pour séduire en trompant, pour épater la galerie.
- C’est un bluffeur, un menteur professionnel.
- « On les connaît les promesses de la marraine ! C’est une bluffeuse. » — (Édouard Bled, J’avais un an en 1900, Fayard, 1987, Le Livre de Poche, page 107.)
- Bluffeur et sans complexe, c’est le Donald Trump que nous connaissons maintenant bien que nous a offert NBC. — (Richard Latendresse, Quatre ans plus tard, toujours captivés ou épuisés?, Le journal de Montréal, 18 octobre 2020)
-
baroudeur
- (Sens propre) Soldat ou guerrier qui a beaucoup combattu.
- J'avais un brigadier-chef qui avait fait l’Indochine, le parfait baroudeur, qui commençait à être violent. — (Patrick Rotman, L'Ennemi intime, éditions du Seuil, 2009.)
- […], l'aspirant de réserve Seveau, le passionné de botanique, porte lui aussi le brevet de pilote de l'armée de l'air. Et pourtant, il va se révéler dans les mois à venir comme le plus redoutable « baroudeur » de toute la LVF ! — (Éric Lefèvre & Jean Mabire, La Légion perdue : Face aux partisans (1942), Paris : chez J. Grancher, 1995)
- (Par extension) Aventurier ; voyageur intrépide ; globe-trotteur.
- (Cyclisme) Coureur qui va chercher les échappées.
- Le baroudeur est un cycliste de bonne volonté. Son tempérament le porte à l'attaque. Il flingue. Dans une débauche d'énergie dont il a le secret, il se porte à l'avant et tient tête à tout un peloton déchaîné. — (Paul Fournel, Méli-Vélo : abécédaire amoureux du vélo, Éditions du Seuil, 2013)
- Jusqu'à cette période, tout coureur était un baroudeur, car le succès d'une course dépendait à l'époque de tactiques mouvementées : il fallait attaquer tôt et avec beaucoup de détermination, […]. — (Peter Cossins, Comment remporter une course cycliste ?, traduit de l'anglais, Éditions Marabout, 2018)
- Un groupe de baroudeurs, sans tricolore, s’est échappé par l'avant. Mais le peloton des meilleurs a décidé de chasser les courageux. Sans pitié. — (Jean Emmanuel Ducoin, Go Lance, Librairie A. Fayard, 2013, chap. 65)
-
brailleur
- (Familier) Qui a le défaut de brailler.
-
insulteur
- Celui qui insulte habituellement ou qui fait pour ainsi dire métier d’insulter.
- Le reste des insulteurs se compose d’inconscients, de ramollots à rengaines patriotiques, ou d’émotifs comme vous, qui préfèrent en rester sur une impression, plutôt que de chercher à s’éclairer. — (L. Bertrand, Lettre à Émile Baumann, 1898, dans L-A. Maugendre, La Renaissance catholique au début du XXe siècle, volume 3, 1966, page 264)
- Depuis 1870 le nombre des insulteurs du Dieu des chrétiens s’est accru d’une dizaine de millions ; vous le constatiez vous-même l’an dernier. — (Henri Louatron, À la messe noire ou le Luciférisme existe, Mamers (Sarthe) : à compte d'auteur, sans date (vers 1918-1920), page 39)
- À côté des insulteurs, quelques critiques de bonne foi. J’écris ce livre pour eux. — (André Gide, Retouches à mon "Retour de l’U.R.S.S.", 1937)
- Mama Makosi : Quand on lui demande sa profession, il répond : insulteur de la nation !Mokutu : Insulteur de la nation ?Lumumba : Ça existe dans certaines tribus. Leur rôle : engueuler les chefs. Pour qu’ils ne se prennent trop au sérieux. Ça peut être utile. — (Aimé Césaire, Une saison au Congo, 1973, acte I, scène 1, éditions Points, pages 57-58)
-
mystificateur
- Qui mystifie.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
-
classificateur
- (Didactique) Auteur de classifications.
- Il ne faut pas oublier l’Italien C. Émery, grand classificateur qui s’est consacré au travail ingrat, aride, mais nécessaire qui consiste à établir le signalement détaillé et technique, la fiche myrmécologique, si l’on peut dire, de la plupart des fourmis afin qu’on puisse les identifier sans erreur. — (Maurice Maeterlinck, La Vie des Fourmis, Paris : Bibliothèque Charpentier - Fasquelle Éditeurs, 1930, page 18)
- Comment font les classificateurs ? — (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 19 septembre 2022, page 15 (en référence aux classes de handisport))
- (Grammaire) Mot ou morphème indiquant la classe d’un référent, utilisé dans certains contextes comme le compte, dans certaines langues, notamment en langues chinoises, en japonais, en langues tai-kadai et en langue des signes française. Par exemple, dans le groupe nominal en chinois 三个人 (sān gè rén), signifiant « trois hommes », 三 (sān) signifie « trois », 人 (rén) signifie « homme » et 个 (gè) est un classificateur.
-
clameur
- Grand cri, cris confus de plusieurs personnes réunies.
- Le bruit dans l’intérieur du château, bruit occasionné par les apprêts de la défense, devint plus considérable, et se changea en tumulte et en clameurs de plus en plus assourdissantes. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- La clameur fut si forte et si unanimement vocifératrice, qu'il fallut, malgré le froid, ouvrir les portières, car on ne s'entendait plus. — (Octave Mirbeau, Paysage d'hiver, dans La vache tachetée, 1918)
- La poésie est une clameur, elle doit être entendue comme la musique. — (Léo Ferré, Préface à Poètes..vos papiers!, 1956)
- Quelle clameur justifiée une telle décision eût soulevée dans une démocratie où l'on avait le sentiment fondé que les classes riches étaient ménagées par le fisc! — (Joseph Caillaux, Mes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse, 1942)
- (Sens figuré) — Tous deux durent revenir trois fois dans la clameur des cuivres et s'incliner devant la rampe, face au public dont les bravos, du haut en bas de la salle, crépitaient sans faiblir. — (Francis Carco, L’Homme de minuit, Éditions Albin Michel, Paris, 1938)
- (Sens figuré) Injure, outrage.
- Et voilà notre poissarde qui s'échauffe, emplit l'air de ses clameurs. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- (Sens figuré) Indignation.
- Seule la clameur mondiale peut empêcher un génocide. — (Le Monde avec AFP, De rares images des Awa, tribu isolée et menacée en Amazonie, Le Monde. Mis en ligne le 23 juillet 2019)
- La clameur publique, L’indignation publique, manifestée de quelque manière que ce soit.
-
affûteur
- (Chasse) Chasseur à l’affût.
- Presque tous les matins, avant le jour, il sortait pour surveiller les colleteurs et affûteurs. — (Gazette des Tribunaux 6 mars 1874, page 225, 4e colonne)
- L’ours lève alors le gîte, et va donner en fuyant dans la ligne des affûteurs. — (Journal officiel 21 oct. 1872, page 6599, 3e colonne)
- Reconnaître si elles [les populations armées] sont ou non organisées, et si elles doivent être considérées comme des ennemis loyaux ou de simples affûteurs, Confér. de Bruxelles, 1874, protoc. n° 14. — (Journal officiel 7 nov. 1874, page 7437, 3e colonne)
-
brunisseur
- (Art) Celui qui brunit les ouvrages d’or et d’argent.
- Un brunisseur habile ne tracerait pas des arabesques si délicates. — (Le Correspondant : religion, philosophie, politique, sciences, littératures, beaux-arts, volume 3, 1843)
- Elle avait aperçu la petite Adèle, une brunisseuse qui dînait à leur restaurant, — (Emile Zola, L’Assomoir, 2008, Gallimard, page 9)
- Il prend sa plume, souffle soigneusement les mies de pain tombées sur son grand livre, fait un geste pour bien poser sa main, et de sa plus belle ronde il écrit le nom qu’il vient de déchiffrer sur le livret mouillé :Félicie Rameau, brunisseuse, dix-sept ans. — (Alphonse Daudet, Un teneur de livres , dans Contes du lundi, 1873, Fasquelle, collection Le Livre de Poche, 1974, page 159)
-
chanteur
- Personne qui chante, qui module sa voix pour produire de la musique.
- (En particulier) Personne qui fait métier de chanter.
- Appartenant à la grande confrérie des conteurs et chanteurs errants, ce troubadour marocain ne possède pour toute fortune qu’un âne famélique, un vieux haïk en lambeaux, une pipe et une blague à kif et un petit instrument primitif à deux cordes, un gimbri, attribut de son état. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 32)
- Tu n’as pas une vilaine voix et la mienne est très bien. De tous les chanteurs de plages que j’ai entendus, il n’y en a pas un seul que je n’aurais dégoté facilement. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 69 de l’édition de 1921)
- Les chanteurs sont supérieurs à ceux du même ordre entendus à Paris. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
- Le chanteur des rues qui brame :« À vot’bon cœur, messieurs-dames »Paris sera toujours PanameEt tout ça ne vaut pas l’amour. — (Jean-Roger Caussimon, Paris jadis, 1977)
-
corroyeur
- (Travail du cuir) Celui qui corroie les cuirs.
- Si les corporations exclusivement féminines restent l’exception, les corporations mixtes qui admettent indistinctement les hommes et les femmes sont extrêmement nombreuses. Parmi celles-ci, il faut citer les drapiers, les tisserands, les grainiers (Rouen, Paris), les passementiers (Paris, Tours, Clermont), les cabaretiers (Tours, Orléans), les tonneliers (Nîmes), les tailleurs (Coutances, Angoulême, Dijon), les boulangers (Orléans, Paris), les merciers (Paris, Caen), les poissonniers (Paris, Dijon), les imprimeurs (Paris, Orléans, Caen), les limonadiers (Caen), les maçons (Apt), les corroyeurs (Annonay), les orfèvres (Lyon), les chaudronniers (Orléans), les charcutiers. — (Léon Abensour, La Femme et le Féminisme avant la Révolution, Éditions Ernest Leroux, Paris, 1923, page 186)
- Le maître-tanneur, qui est aussi corroyeur, est un homme fort occupé. — (Hélène Pelletier-Baillargeon, Olivar Asselin et son temps, 1996)
-
gageure
- Promesse que des personnes se font réciproquement de payer ce dont elles conviennent en gageant.
- Faire une gageure.
- Gagner une gageure, la gageure.
- Perdre une gageure, la gageure.
- Hasarder une gageure.
- Soutenir la gageure.
- (Par extension) Chose gagée.
- Voilà la gageure que je vous dois.
- Quand me paierez-vous ma gageure ?
- (Sens figuré) (Familier) Action, opinion singulière et étrange, qui semble un défi au bon sens.
- La dégringolade des notes trimestrielles de l’élève jusque là modèle aurait été due à une de ces gageures héroïques comme on n’en fait que dans l’adolescence : pour laisser à l’étrangère la première place, Fernande s’éclipsait, travaillait mal, bafouillait exprès. — (Marguerite Yourcenar, Souvenirs pieux, 1974, collection Folio, page 290)
- Avoir 15 ans et déjà un plan pour sa vie est une gageure pour la plupart des jeunes. — (Eric Nunès, Dyspraxie : la lutte contre le handicap d’un futur ingénieur, Le Monde. Mis en ligne le 10 octobre 2018)
- Si l’on s’élève un peu cependant, le secteur touristique fait face à un autre défi d’ampleur : il est aujourd’hui responsable d’un dixième des émissions de gaz à effet de serre au niveau mondial, et cela ne fait que commencer. Penser le futur, à dix ou vingt ans, relève alors de la gageure : il faudrait imaginer une expérience touristique sans accrocs tout en réduisant l’impact du secteur sur la biosphère. Ces deux injonctions sont-elles seulement compatibles ? — (Mais où va le Web ?, Tourisme, désir et prospective, 20 novembre 2018 → lire en ligne)
-
connecteur
- Qui connecte.
- La portion de la cellule à laquelle s’est soudé le tube connecteur reste vide ; mais elle est bientôt complètement recouverte par le développement de la masse sporifère. — (Adolphe Brongniart & Joseph Decaisne, Annales des Sciences naturelles : Botanique, tome 7, 1867)
Cette liste se basant uniquement sur la terminaison des mots, elle n'est très probablement pas sans erreur mais je m'efforce de la maintenir la plus juste possible. Si vous le souhaitez, vous pouvez me signaler les mots qui ne correspondent pas et la page sur laquelle ils se trouvent.